Abonnez-vous à Universalis pour 1 euro

« Méiose »

  • Préciser avec l'index

    • Filtrer les résultats par type

  • MÉIOSE

    • Écrit par Marguerite PICARD, Denise ZICKLER
    • 4 645 mots
    • 7 médias

    Déroulement de la méiose L'histoire des chromosomes au cours de la méiose est remarquablement constante chez tous les Eucaryotes (alors que rien de tel n'intervient dans le cas des Procaryotes). La méiose est composée de deux divisions successives, mais les chromosomes – donc l'ADN, c'est-à-dire l'acide désoxyribonucléique dont ils sont formés – ne subissent qu'une seule duplication, effectuée au moins en grande partie lorsque commence la prophase de première division. Lire la suite 

  • MÉIOSE, en bref

    • Écrit par Pascal DURIS
    • 186 mots
    • 1 média

    C'est le phénomène de méiose ou réduction chromatique. Mais, en supposant que les chromosomes d'origine mâle sont simplement éliminés, Van Beneden se méprend sur un mécanisme dont le cytologiste allemand Theodor Boveri (1862-1915) établira le véritable déroulement. Les principaux stades successifs de la méiose sont décrits pour la première fois en 1900 par Hans von Winiwarter (1875-1949), un élève de Beneden. Lire la suite 

  • REPRODUCTION, biologie

    • Écrit par Henri CAMEFORT, Jean GÉNERMONT, Philippe L'HÉRITIER, Didier LAVERGNE
    • 7 204 mots
    • 5 médias

    Les deux couples d'allèles sont disjoints indépendamment lors de la méiose. L'hétérothallisme des thallophytes se manifeste lors de confrontations d'organismes haploïdes issus d'une méiose au cours de laquelle les facteurs d'incompatibilité sont séparés. De ce fait, une fécondation entre deux individus produits par une même méiose, donc issus d'un seul zygote, demeure possible. Lire la suite 

  • PLOÏDIE

    • Écrit par Philippe L'HÉRITIER
    • 1 847 mots
    • 1 média

    Les plus connus s'observent dans les espèces qui se reproduisent par parthénogenèse obligatoire et dans lesquelles, par conséquent, les mâles ont disparu et la méiose est devenue anormale. L'exemple classique est le Crustacé Branchiopode Artemia salina, dont il existe à la fois des races diploïdes et des races polyploïdes qui ont des habitats géographiques différents. Lire la suite 

  • GAMÈTES

    • Écrit par Michel FAVRE-DUCHARTRE, Jacques TESTART
    • 4 173 mots
    • 6 médias

    Cette évolution est complexe et comprend une forme de division cellulaire originale, la méiose, spécifique des cellules germinales. Par la méiose, le gonocyte, qui était diploïde, c’est-à-dire contenait deux lots de chromosomes, hérités l'un du père, l'autre de la mère, transmettra à chacune de ses deux cellules filles, un nombre haploïde de chromosomes, dont l’origine paternelle ou maternelle est aléatoire. Lire la suite 

  • PHÉOPHYCÉES ou ALGUES BRUNES

    • Écrit par Jean FELDMANN
    • 2 806 mots
    • 7 médias

    C'est dans les zoïdocystes uniloculaires que s'effectue la méiose ; les zoïdes produits sont donc en principe haploïdes. Il n'y a, par contre, jamais de méiose lors de la formation des zoïdocystes pluriloculaires, dont les zoïdes ont le même nombre de chromosomes (haploïde ou diploïde) que l'individu qui les produit. Ces zoïdes se comportent soit comme des spores, soit comme des gamètes. Lire la suite 

  • MYXOMYCÈTES

    • Écrit par Louis FAUREL
    • 2 019 mots
    • 3 médias

    Ces noyaux subissent ensuite une méiose comportant trois divisions successives accompagnées de bipartitions, ce qui mène à la formation des spores haploïdes. L'étude des cycles de développement des Plasmodiophorales est rendue très difficile par leur vie parasitaire ; malgré de nombreuses recherches, bien des points importants restent à élucider ou à coordonner. Lire la suite 

  • AZOOSPERMIE

    • Écrit par Jean COHEN
    • 496 mots
    • 1 média

    De la périphérie vers le centre, les cellules se transforment : il y a d'abord les spermatocytes (quarante-six chromosomes), puis les spermatides (obtenus après méiose : vingt-trois chromosomes), puis les spermatozoïdes qui sont expulsés dans la lumière du tube. Certaines stérilités de l'homme sont dues à l'arrêt de ce processus de maturation des cellules germinales au stade précédant celui de spermatozoïde. Lire la suite 

  • POLYGAMIE, botanique

    • Écrit par Robert GORENFLOT
    • 469 mots

    Chez les plantes dioïques, la détermination du sexe est d'origine génétique par le truchement des chromosomes sexuels à la méiose et à la gamie : on dit qu'il y a diécie. Entre ces deux cas extrêmes, se situent les espèces dites monoïques (monécie) dont les fleurs mâles et les fleurs femelles se rencontrent sur un même individu. En fait, la distribution des fleurs hermaphrodites et des fleurs unisexuées pour une espèce donnée est souvent beaucoup plus complexe que ne le laisse supposer l'existence des trois cas signalés. Lire la suite 

  • PLANTES

    • Écrit par Marie POTAGE, Arnaud VAN HOLT
    • 6 787 mots
    • 11 médias

    Les étamines, pièces mâles de la fleur, émettent des grains de pollen après méiose ; tandis que les carpelles, pièces femelles centrales souvent soudées en un pistil, forment à l’intérieur des ovules, eux-mêmes contenus dans les cavités de l’ovaire, un sac embryonnaire après méiose. Lors de la pollinisation, les grains de pollen sont transportés par un vecteur, le plus souvent le vent ou les insectes. Lire la suite