« Langage de programmation »
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PROGRAMMATION
- Écrit par Jean-François MONIN
- 7 691 mots
Dans le cas du raffinage, on commence par décrire le système à développer dans une sorte de langage de programmation imaginaire travaillant sur des structures ensemblistes (produits cartésiens, fonctions, etc.). On remplace alors progressivement celles-ci par des structures concrètes réalisables dans un langage de programmation réel. Similairement, on remplace des algorithmes naïfs clairement corrects par des algorithmes plus subtils. Lire la suite
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LANGAGE FORTRAN
- Écrit par Pierre MOUNIER-KUHN
- 248 mots
En informatique, les techniques de programmation ont évolué vers une plus grande facilité d'emploi par des utilisateurs de moins en moins avertis. Les algorithmes en langage-machine, code binaire adapté à l'architecture spécifique de chaque ordinateur, favorisaient la rapidité d'exécution et occupaient peu de mémoire. Toutefois, leur écriture comportait de grands risques d'erreurs et n'était accessible qu'aux spécialistes. Lire la suite
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PROGRAMME GÉNÉTIQUE
- Écrit par Corinne ABBADIE
- 8 033 mots
- 1 média
Par conséquent, le langage à quatre lettres de l'ADN est purement et simplement traduit en un langage à vingt lettres, chaque acide aminé étant codé par un triplet de nucléotides de l'ARNm (code génétique). Rôle des facteurs de transcription Historiquement, la première question qui s'est posée était de savoir si, au cours de la différenciation cellulaire, les différents types de cellules perdent certains gènes de façon différentielle ou si, au contraire, toutes les cellules gardent tous les gènes présents dans l'œuf, leur expression étant différente selon les types cellulaires. Lire la suite
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FORTRAN (FORmula TRANslation)
- Écrit par François PÊCHEUX
- 314 mots
Historiquement, Fortran peut être décrit comme l'un des premiers langages de programmation de haut niveau ayant permis d'écrire de manière complète et détaillée des procédures de calcul ou des algorithmes complexes sans faire appel au langage d'assemblage. Sa syntaxe proche de celle du langage mathématique et sa simplicité font de lui un langage particulièrement bien adapté au traitement des problèmes scientifiques. Lire la suite
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PL/1 (programming language number 1)
- Écrit par Pierre GOUJON
- 349 mots
Langage de programmation universel convenant à la fois aux problèmes scientifiques et aux applications à caractère commercial. Bien qu'on ne puisse vraiment le ranger dans la classe des langages algorithmiques, on trouve dans PL/1 l'essentiel des facilités offertes par Fortran et Algol. D'une utilisation simple, ce langage est accessible aussi bien aux programmeurs débutants qu'aux programmeurs expérimentés, quelle que soit la complexité des problèmes à résoudre. Lire la suite
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COBOL (common business oriented language)
- Écrit par Pierre GOUJON
- 332 mots
La version Cobol 2000 a introduit, outre la programmation orientée objet, les entités Unicode pour les caractères, et le langage de balisage extensible XML. Lire la suite
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MILNER ROBIN (1934-2010)
- Écrit par Universalis
- 601 mots
De retour au Royaume-Uni en 1973, il intègre l'université d'Édimbourg, où il conçoit un nouveau langage de programmation, le ML (Meta Language), étendant les possibilités de LCF. Ce langage générique a été un élément fondateur d'une importante famille de langages de programmations. Milner a également jeté les bases de la programmation concurrente avec le calcul de processus CCS (Calculus of Communicating Systems) puis avec le pi-calcul, formalismes essentiels pour la conception des systèmes de communication mobiles. Lire la suite
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ITÉRATION, mathématique
- Écrit par Jean-Paul DELAHAYE, Universalis
- 830 mots
Dans le langage de programmation Maple (largement utilisé en mathématiques), cette idée se transcrit de façon immédiate sous la forme : while A<> do if A>B then A :=A-B else B :=B-A fi ; od ; résultat :=A ; (fi repère la fin de l'instruction if... then... else ; od désigne la fin de l'action commencée par do). On oppose programmation itérative et programmation récursive. Lire la suite
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INFORMATIQUE Vue d'ensemble
- Écrit par Jean-Paul DELAHAYE
- 1 165 mots
Les méthodes de traitement du langage (dictionnaires, traduction automatique, correcteurs orthographiques et grammaticaux, etc.) sont utilisées par tout le monde. La bio-informatique permet la manipulation et le traitement des formidables quantités de données produites par les machines automatisées de séquençage du génome. L'intelligence artificielle – symbolique et neuronale – se trouve cachée dans de multiples applications (moteurs de recherche Internet, reconnaissance de caractères imprimés ou manuscrits, systèmes de dialogue en langage naturel, interfaces conviviales, etc. Lire la suite
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CALCUL, mathématique
- Écrit par Philippe FLAJOLET
- 1 785 mots
Un langage de programmation répond ainsi au double objectif d'être traduisible dans le langage binaire de la machine et d'être adapté à la transcription d'algorithmes conçus par l'homme. Il offre des constructions standardisées, telles que la composition, le test logique, et la répétition ou l'itération, ainsi que la décomposition d'une tâche en procédures plus simples, susceptibles de se contrôler mutuellement. Lire la suite