« ATPase »
-
Préciser avec l'index
-
-
Filtrer les résultats par type
-
-
PHOSPHAGÈNE
- Écrit par Geneviève DI COSTANZO
- 380 mots
Mais si l'ATPase est présente dans la cellule musculaire, il ne s'y trouve pas d'hydrolase capable de scinder la phosphocréatine en créatine et acide phosphorique et de libérer ainsi l'énergie ; en revanche, il existe dans le muscle une phosphoryl-créatine transférase qui permet le transfert, sans perte d'énergie, du groupement phosphoryle du phosphagène à l'ATP, selon le schéma :ATP + H2O → ADP + PO4H3 + énergie, ADP + phosphocréatine ⇆ ATP + créatine, ADP + phosphocréatine → ATP + H2O + créatinine. Lire la suite
-
POMPES MÉTABOLIQUES
- Écrit par René HELLER
- 792 mots
Cette pompe fonctionne souvent comme une pompe d'échange, assurant en même temps que l'efflux de sodium un influx de potassium : c'est la pompe Na-K-ATPase (elle est couplée à une hydrolyse d'ATP qui fournit l'énergie), sensible à un inhibiteur spécifique, l'ouabaïne. Dans les mitochondries et les chloroplastes, dont les membranes sont imperméables à la plupart des ions, ce sont des pompes qui assurent les échanges ioniques, alimentées par l'ATP des phosphorylations oxydatives ou des photophosphorylations. Lire la suite
-
CANAUX IONIQUES
- Écrit par Laurent COUNILLON, Mallorie POËT
- 4 298 mots
- 8 médias
Contrairement à ce que pensait Galvani, pour lequel le générateur de cette activité électrique était le cerveau, c'est en fait la pompe à sodium (Na+), la Na/K ATPase, présente dans chacune de nos cellules, qui est responsable de la création d'un gradient de charges de part et d'autre de la membrane plasmique. L'origine de l'énergie électrique responsable des potentiels d'action nerveux devient donc cellulaire. Lire la suite
-
CELLULE L'organisation
- Écrit par Pierre FAVARD
- 11 028 mots
- 10 médias
L'énergie nécessaire au transport est fournie par l'hydrolyse de l'ATP, hydrolyse qui est catalysée par la pompe elle-même appelée pour cette raison ATPase. L'ATPase membranaire la mieux connue est l'ATPase Na+, K+ dépendante qui fait sortir 3 Na+ de la cellule en même temps qu'elle y fait rentrer 2 K+. Le fonctionnement de cette pompe explique pourquoi le cytosol est toujours pauvre en Na+ et riche en K+ alors que c'est le contraire dans le milieu extracellulaire. Lire la suite
-
RESPIRATION CELLULAIRE (repères chronologiques)
- Écrit par Paul MAZLIAK
- 975 mots
Racker isole l'ATPase mitochondriale et démontre son action reverse dans la phosphorylation oxydative (l'enzyme fonctionne alors comme ATP-synthétase). 1977 P. Mitchell formule la théorie chimiosmotique : les transferts d'électrons dans la membrane interne de la mitochondrie génèrent des flux de protons, créant ainsi des différences de potentiel de part et d'autre de la membrane, suffisantes pour activer les ATP-synthétases. Lire la suite
-
PLASTES
- Écrit par Roger BUVAT, Gérard LEDOIGT
- 5 706 mots
- 4 médias
L'adénosine triphosphatase (l'ATPase) chloroplastique Les membranes des thylacoïdes portent encore un élément structural de grande importance, le complexe de l'ATPase. L'organisation de l'ATPase chloroplastique rappelle celle des mitochondries. Les répliques de cryodécapage passant par la surface des thylacoïdes en contact avec le stroma montrent des particules de 9 nm de diamètre, que l'on peut voir aussi sur des fragments de thylacoïdes préparés en coloration négative. Lire la suite
-
MYOCARDE ou MUSCLE CARDIAQUE
- Écrit par Édouard CORABOEUF, Didier GARNIER, Bernard SWYNGHEDAUW
- 6 188 mots
- 12 médias
Le gène de la (Na+, K+)-ATPase a été isolé, et le cDNA obtenu a permis de déterminer le caractère polymorphique de cette enzyme clé du fonctionnement cellulaire ; les gènes des récepteurs β1 et β2 adrénergiques sont aussi connus et isolés, dépourvus d'introns, ce qui suggère une origine très ancienne, ils codent pour une protéine complexe transmembranaire. Lire la suite
-
MUSCLES
- Écrit par Jean RAIMBAULT, Bernard SWYNGHEDAUW
- 12 921 mots
- 10 médias
Sur la courbe vitesse-charge (a), la vitesse reflète l'activité ATPase des myofibrilles pour une charge donnée ; à charge nulle, la Vmax représente la capacité maximale du muscle. Vmax, comme son équivalent biochimique, l'ATPase de la myosine mesurée dans des conditions maximales, est indépendante des conditions de charge et de longueur imposée et dépend du type de muscle, en fait du type d'isoenzyme qui compose ce muscle ; de la concentration en calcium intracellulaire et/ou extracellulaire. Lire la suite
-
MITOCHONDRIES
- Écrit par Roger DURAND
- 10 929 mots
- 20 médias
Il n'y a pas de zones non codantes entre les gènes, pas d'introns à l'intérieur des gènes et certains gènes se chevauchent (gènes ATPase 8 et ATPase 6, gènes ND4 et ND4L). Certains gènes n'ont même pas de codon d'arrêt complet. Tous les gènes sont identifiés : 2 ARNr, 22 ARNt et 13 gènes codants pour des protéines appartenant aux complexes I, III et IV de la chaîne respiratoire et à l'ATP synthétase (tabl. Lire la suite
-
SURRÉNALES
- Écrit par Jacques DECOURT, Paul DI COSTANZO
- 9 170 mots
- 6 médias
L'activation de la pompe serait due soit à la synthèse de molécules d'ATPase, soit à l'activation de celles-ci par une protéine induite par l'aldostérone. – Augmentation de la perméabilité cellulaire : une « perméase », dont la synthèse serait stimulée par l'aldostérone, faciliterait le passage du sodium au pôle muqueux de la cellule. Transport Le transport de l'aldostérone vers les cibles est réalisé par une protéine vectrice et par la sérum-albumine. Lire la suite
- 1
- 2