« 344 »
-
Préciser avec l'index
-
-
Filtrer les résultats par type
-
-
KUMĀRAJĪVA (344-413)
- Écrit par Jean-Christian COPPIETERS
- 834 mots
Un des plus grands traducteurs chinois de textes bouddhistes. Kumārajīva est né à Kucā d'un père ancien brahmane qui s'est converti au bouddhisme, puis marié à une princesse de Kucā. Sa mère, entrée en religion, l'emmène, âgé de huit ans, au Cachemire, où il étudie les Āgama sous la direction de Bandhudatta (352-355). À douze ans, il repart avec sa mère pour la Sérinde, se fixe un an à Kashi, où il étudie l'abhidharma sarvāstivādin ainsi que les Vedas, les Cinq Sciences, la grammaire, la rhétorique et l'astrologie, étendant ses connaissances à l'ensemble du domaine indien. Lire la suite
-
GU KAIZHI [KOU K'AI-TCHE] (344 env.-env. 406)
- Écrit par Pierre RYCKMANS
- 2 055 mots
Après les périodes archaïques de production artisanale et anonyme, l'époque des Six Dynasties marque en peinture un jalon nouveau : la création picturale devient le fait de personnalités individuelles qui désormais appartiennent souvent à l'élite sociale et intellectuelle. Entre tous les artistes de cette époque dont les noms ont été préservés, Gu Kaizhi brille d'un éclat particulier : premier peintre chinois au sujet duquel on dispose d'une information biographique relativement nourrie, il est surtout, pour toute cette période, le seul nom auquel on peut associer le témoignage matériel d'une œuvre encore existante. Lire la suite
-
ART DE LA CALLIGRAPHIE (Chine)
- Écrit par Alain THOTE
- 193 mots
Cependant, vers 350, une dimension nouvelle devait être donnée à la calligraphie, la plaçant en Chine au premier rang des arts, grâce à Wang Xizhi (306-361) et à l'un de ses fils, Wang Xianzhi (344-388). L'écriture cursive (« écriture d'herbe ») fut alors comprise comme le médium parfait, capable de révéler la personnalité de celui ou de celle qui s'y adonne. Lire la suite
-
POÉSIES, Charles d'Orléans Fiche de lecture
- Écrit par Emmanuèle BAUMGARTNER
- 811 mots
Les 344 rondeaux qui ferment le recueil restent à juste titre la partie la plus connue de l'œuvre. S'y croisent pêle-mêle, dans une très grande diversité de registres, les motifs les plus variés : rondeaux sur les petits métiers, sur le retour des saisons (Yver, vous n'estes q'un vilain, et en écho, Le temps a laissié son manteau), sur le retour douloureux de la Saint-Valentin, demandes d'amour menées sur un mode plaisant, parfois grivois. Lire la suite
-
PEINTURE CHINOISE (repères chronologiques)
- Écrit par Alain THOTE
- 196 mots
Gu Kaizhi (vers 344-vers 406), premier peintre dont des œuvres sont parvenues, sous la forme de copies, à la postérité. Fin ve-début vie siècle Xie He, le premier des critiques picturaux connus en Chine. Il est l’auteur de Six Principes sur la peinture. Lire la suite
-
JIN [CHIN], dynastie chinoise (265-419)
- Écrit par Universalis
- 840 mots
Gu Kaizhi (344 env.-env. 406), qui décore la cour des Jin orientaux à Nankin, est généralement considéré comme le premier grand peintre chinois. Portraitiste de génie, il maîtrise admirablement l'art de la calligraphie. La cour s'enorgueillit également de la présence de Wang Xizhi (303-361) et de son plus jeune fils Wang Xianzhi (344-388), maîtres incontestables de l'écriture cursive (« style d'herbe »). Lire la suite
-
BASILE D'ANCYRE (IVe s.)
- Écrit par Richard GOULET
- 451 mots
De 344 (réhabilitation de Marcel par le concile de Sardique) à 350 (mort de Constant), il fut écarté de son siège. Une fois rétabli, il devint le principal animateur de la branche modérée de l'opposition au dogme de Nicée (parti homéousien). Ce parti s'imposa comme la tendance prédominante pendant une dizaine d'années (conciles de Sirmium, en 351 ; d'Ancyre, en 358 ; de Séleucie, en 359), mais il fut supplanté par les ariens radicaux (homéens et anoméens), qui refusaient non seulement l'identité de substance entre le Père et le Fils proclamée à Nicée, mais aussi la similitude totale, quant à la substance, à l'existence et à l'être, qu'enseignait le groupe de Basile. Lire la suite
-
PHILIPPE II (env. 382-336 av. J.-C.) roi de Macédoine (359-336 av. J.-C.)
- Écrit par Paul GOUKOWSKY
- 2 217 mots
- 1 média
Philippe dut seulement intervenir en Thessalie (344 av. J.-C.) pour y maintenir l'ordre, puis pour la diviser en quatre secteurs (tétrarchies) en 342 avant J.-C. C'est sans doute pourquoi il se tourne désormais vers l'Illyrie où il risque sa vie, de 346 à 344 avant J.-C., dans de durs combats mal connus. Que cherchait-il dans cette région pauvre ? Cette guerre était sans doute préventive et visait à tenir loin des frontières les plus coriaces de ses ennemis. Lire la suite
-
COHORTE, sciences sociales
- Écrit par Frédéric LEBARON
- 670 mots
Cette enquête est décrite ainsi : « À partir d'avril 2011, les professionnels de santé de 344 maternités – tirées au sort dans toute la métropole – ont proposé à tous les parents de nouveau-nés de participer à cette enquête ambitieuse et inédite. Quatre périodes de l'année 2011 ont été sélectionnées pour représenter chaque saison : début avril, fin juin-début juillet, fin septembre-début octobre et fin novembre-début décembre. Lire la suite
-
MANS LE
- Écrit par François MADORÉ
- 632 mots
- 1 média
Troisième aire urbaine de la région des Pays de la Loire après Nantes et Angers, Le Mans avec plus de 344 893 habitants en 2012, est le chef-lieu du département de la Sarthe. Le Mans est resté, jusqu'au milieu du xixe siècle, une ville de taille modeste. Elle garde de son passé pré-industriel un quartier historique, le Vieux Mans, qui a fait l'objet d'une mise en valeur patrimoniale et touristique, autour de la cathédrale Saint-Julien. Lire la suite