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« Évapotranspiration »

  • Préciser avec l'index

  • AGROMÉTÉOROLOGIE

    • Écrit par Emmanuel CHOISNEL, Emmanuel CLOPPET
    • 6 627 mots
    • 7 médias

    Par exemple, l'évapotranspiration potentielle calculée par la formule de Penman combine les effets de la durée d'insolation, de la température de l'air, de l'humidité de l'air et de la vitesse du vent. Les principales variables agroclimatiques sont les sommes de températures au-dessus d'un seuil, l'évapotranspiration potentielle (E.T.P.), le bilan hydrique potentiel (pluie-E. Lire la suite 

  • HYDROLOGIE

    • Écrit par Pierre HUBERT, Gaston RÉMÉNIÉRAS
    • 9 853 mots
    • 12 médias

    L'évapotranspiration L'évapotranspiration est la somme de la transpiration du couvert végétal (à travers les stomates des plantes) et de l'évaporation des sols et des surfaces d'eau libre. On désigne comme évapotranspiration réelle (ETR) la valeur de ce flux à un instant donné ou de sa moyenne sur une période donnée, pour une station donnée. Lorsque la disponibilité en eau n'est pas limitative, ce flux tend vers une limite appelée évapotranspiration potentielle (ETP). Lire la suite 

  • TERRE Le système Terre et sa transformation

    • Écrit par Robert KANDEL
    • 2 182 mots
    • 1 média

    Il reste vrai que, de plus en plus, par le défrichement et la déforestation, les humains ont modifié les biotopes et le fonctionnement des échanges d'eau entre la surface et l'atmosphère, notamment la répartition entre évapotranspiration et le ruissellement. On sait que l'eau qui tombe en pluie sur l'Amazonie ne vient pas directement de l'océan Atlantique, encore moins de l'océan Pacifique à cause de la barrière andine, mais plutôt de l'évapotranspiration de la végétation de la forêt tropicale. Lire la suite 

  • EMBRYOPHYTES ou CORMOPHYTES ou ARCHÉGONIATES

    • Écrit par Jean-Yves DUBUISSON, Sabine HENNEQUIN
    • 3 252 mots
    • 7 médias

    Via les pores et les stomates, les plantes terrestres perdent également de l’eau par évapotranspiration. Pour éviter la dessiccation, l’eau perdue doit être compensée par son absorption au niveau du sol. Dans des conditions hydriques dites normales, il y a suffisamment d’eau dans le sol pour compenser les pertes dues à l’évapotranspiration. Or les plantes terrestres ont colonisé tous les milieux continentaux et les habitats les plus variés, des plus humides aux plus secs, hormis les déserts hyperarides ou polaires. Lire la suite 

  • EAU CYCLE URBAIN DE L'

    • Écrit par Nassima MOUHOUS-VOYNEAU
    • 1 760 mots
    • 4 médias

    L’évapotranspiration, dont on estime qu’elle génère de 60 à 95 p. 100 de la pluie annuelle dans les régions à dominante forestière, est très fortement diminuée en milieu urbain. Cette diminution est provoquée par la disparition de la végétation et l’imperméabilisation du sol, ce qui accélère le phénomène de ruissellement au détriment de celui d’évapotranspiration. Lire la suite 

  • ADVENTICES

    • Écrit par Marcel BOURNÉRIAS
    • 804 mots

    Cette compétition porte également sur la nutrition, notamment pour l'eau : augmentant considérablement l'évapotranspiration, la végétation adventice est particulièrement nuisible dans les régions subarides. Le prélèvement trophique exercé par les adventices parasites comme la cuscute des prairies artificielles et l'orobanche (Phelipœa ramosa) du tabac est important. Lire la suite 

  • TOURBIÈRES

    • Écrit par Marcel BOURNÉRIAS
    • 3 131 mots
    • 4 médias

    Dans la zone tempérée froide, l'élévation des températures et de la durée de végétation augmente la productivité végétale mais aussi la décomposition de la matière organique et l'évapotranspiration. Celle-ci reste cependant inférieure aux précipitations sous le climat hyperatlantique (Écosse, Irlande, par exemple) : les tourbières revêtent alors la plupart des reliefs (tourbières de couverture). Lire la suite 

  • EAU (notions de base)

    • Écrit par Jean-Paul DELÉAGE
    • 6 238 mots
    • 5 médias

    Ces derniers sont responsables des processus d'évapotranspiration en rejetant des masses considérables d'eau par leur système foliaire. Leurs racines, qui peuvent aller chercher l'eau à plusieurs mètres de profondeur dans le sol, accélèrent les mouvements ascendants sol-atmosphère. Le transit de l'eau dans les végétaux est un phénomène d'une ampleur considérable. Lire la suite 

  • SEINE

    • Écrit par Marcel-M. CHARTIER
    • 888 mots
    • 3 médias

    La Seine, ayant 776 kilomètres de longueur, connaît une alimentation homogène, réglée par l'influence successive des pluies océaniques, qui profitent aux rivières en saison froide, et de la température, qui commande les prélèvements par évapotranspiration en été : le fleuve écoule moins de 30 p. 100 du volume des eaux météoriques tombées sur son bassin-versant. Lire la suite 

  • SÈVES

    • Écrit par René HELLER
    • 7 361 mots
    • 10 médias

    On distingue l'évapotranspiration réelle (ETR) de l'évapotranspiration potentielle (ETP) qui représente le maximum de ce qu'une culture est susceptible d'évaporer lorsqu'elle est bien irriguée. L'ETP ne dépend que des facteurs climatiques (énergie reçue, vent) et indique la quantité d'eau qu'il est inutile de dépasser dans les irrigations. On la calcule par des formules théoriques ou on la mesure au moyen de lysimètres (fig. Lire la suite