« '''le coefficient le dissociation a''' »
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ATMOSPHÈRE Chimie
- Écrit par Marcel NICOLET
- 3 553 mots
- 5 médias
Atmosphère pure et sèche On sait depuis plus d'un siècle que l'air pur et sec soumis à une décharge électrique produit de l'ozone par dissociation de l'oxygène. Dans l'atmosphère, le même phénomène apparaît sous l'effet du rayonnement ultraviolet solaire. On a successivement la photodissociation de O2 (coefficient J2), la reformation possible de O2 (coefficient k1) à haute altitude, au-delà de 70 km, la formation de l'ozone (coefficient k2), la photodissociation de O3 (coefficient J3) et, en fin de compte, la réaction entre O3 et O (coefficient k3) : Dans ces équations, M est la troisième particule (N2 ou O2) donnant lieu à une collision triple requise pour capter l'énergie de dissociation de la molécule formée. Lire la suite
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ARRHENIUS SVANTE (1859-1927)
- Écrit par Jacques GUILLERME
- 1 836 mots
- 1 média
Il faudra tout le poids moral d'un Ostwald pour faire triompher la théorie de la dissociation électrolytique. Arrhenius n'a pas borné ses recherches à l'électrochimie ; il a consacré de patientes études à l'immunochimie, défendant l'hypothèse que la loi d'action de masse s'applique à la réaction toxine-antitoxine. Il s'est aussi intéressé à la physique « cosmique », en insistant sur l'importance de la pression de radiation. Lire la suite
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MEMBRANES, transferts
- Écrit par Michel RUMEAU
- 5 885 mots
- 10 médias
Pour exprimer la concentration en osmolarité, il faut tenir compte de la dissociation des molécules dissoutes qui peuvent donner naissance à plusieurs ions libres. Par exemple, une mole de chlorure de sodium dissociée en deux ions donnera naissance à deux osmoles. Dans le cas de molécules partiellement dissociées, il faut tenir compte du coefficient de dissociation. Lire la suite
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ACIDO-BASIQUE ÉQUILIBRE
- Écrit par Pierre KAMOUN
- 2 955 mots
- 1 média
Cependant, la constante de dissociation de l'oxyhémoglobine est supérieure à celle de l'hémoglobine, ce qui revient à dire que l'oxyhémoglobine est un acide plus fort que l'hémoglobine ; elle libère donc des bases lors de sa transformation en hémoglobine dans les tissus. C'est justement à ce moment que le taux d'acide carbonique s'accroît à l'intérieur des érythrocytes ; les bases ainsi libérées donneront sur place des bicarbonates. Lire la suite
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ÉLECTROCHIMIE
- Écrit par Jacques SIMONET
- 6 252 mots
- 10 médias
La dissociation des électrolytes dépend non seulement de la nature des ions en présence mais, entre autres, de la température et du pouvoir dissociant du solvant, c'est-à-dire du caractère polaire lié à la constante diélectrique. Il s'établit, dans des conditions expérimentales bien précises, un équilibre de dissociation : cinétiques de dissociation et de recombinaison égales. Lire la suite
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RIBOSOMES
- Écrit par Carlo COCITO
- 4 724 mots
- 7 médias
Elle est liée à la dissociation périodique du ribosome 70 S dans ses sous-unités lors de la terminaison et à leur réassociation lors de l'initiation, étapes caractérisant le cycle ribosomal. L'initiation démarre avec la fixation de l'ARNm à la sous-unité 30 S, suivie de l'attachement de l'aminoacyl-ARNt initiateur, vecteur de la formylméthionine (l'anticodon du fMet-ARNt s'apparie avec le codon AUG de l'ARNm). Lire la suite
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MATIÈRE (physique) État gazeux
- Écrit par Henri DUBOST, Jean-Marie FLAUD
- 8 132 mots
- 8 médias
On a donné leur nom aux lois de variation de volume et de pression des gaz parfaits : la loi de Gay-Lussac (1802) et la loi de Charles (1798). La loi de Gay-Lussac énonce que le coefficient de dilatation d'un gaz à pression constante est indépendant de la température et de la nature du gaz : V = V0 (1 + αθ) = αTV0, où V0 est le volume du gaz à la température θ = 0 0C, soit T = 273,15 K, et est un coefficient constant. Lire la suite
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SOLVANTS
- Écrit par Jacques DEVYNCK
- 1 796 mots
- 1 média
Chaque soluté à extraire se partage entre les deux phases, l'équilibre étant caractérisé par un coefficient de distribution égal au rapport des concentrations dans chacune des phases. On peut favoriser sélectivement le passage d'un soluté d'une phase dans l'autre, par exemple de la phase aqueuse à la phase organique, en ajustant la composition de l'une ou l'autre des solutions par la mise en œuvre de réactions acide-base, par la formation de complexes ou de paire d'ions. Lire la suite
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INTERFACES
- Écrit par Simone BOUQUET, Jean-Paul LANGERON
- 8 287 mots
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Pour passer de la physisorption à la chimisorption, il faut généralement vaincre une énergie d'activation (Ea) correspondant à la dissociation de la molécule à l'état adsorbé. Cette dissociation ne se produit spontanément que si la température du substrat est suffisante pour communiquer aux molécules cette énergie Ea. Ce même résultat peut être atteint en dissociant au préalable les molécules ou, mieux, en les « excitant » avant ou après physisorption : la chimisorption peut ainsi s'opérer pour des températures plus basses du substrat. Lire la suite
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POUDRES MÉTALLURGIE DES
- Écrit par Gérard BERANGER, Georges CIZERON
- 5 029 mots
- 6 médias
Il existe plusieurs hypothèses relatives à la nature du chemin suivi par les lacunes ; en particulier, N. Cabrera a supposé que la diffusion s'effectuait avec une symétrie cylindrique et il a abouti à la loi : Dv étant le coefficient d'autodiffusion en volume. Une autre hypothèse est fondée sur le fait que les lacunes diffusent en volume, en système pseudo-cylindrique, depuis la surface latérale du pont vers la surface extérieure des sphères dont le rayon de courbure est supposé rester sensiblement constant et égal à r. Lire la suite