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ÉCRITURE
Le déchiffrement des hiéroglyphes
En étudiant les cartouches des souverains d'ascendance grecque, Champollion repère les lettres communes de Ptolémée et de Cléopâtre. Il peut en déduire la valeur phonétique de plusieurs hiéroglyphes, et se rend compte qu'un même son peut être rendu par différents signes. Sa connaissance...
Crédits : Encyclopædia Universalis France
Portrait de Jean-François Champollion réalisé en 1831 par Léon Cogniet (1794-1880). Huile sur toile, Musée du Louvre, Paris.
Crédits : Erich Lessing/ AKG
La découverte, en 1799, de cette stèle trilingue (grec, démotique, hiéroglyphes) en basalte a permis le déchiffrement des hiéroglyphes en 1822 par Jean-François Champollion. 196 avant J.-C. British Museum, Londres.
Crédits : Bridgeman Images
Prêtre en prière devant les symboles des dieux Marduk et Nabu
Le temple consacré à Nabu, dieu de l’écriture et des scribes et fils du dieu Marduk, était le lieu où le nouveau souverain recevait ses insignes royaux. La coutume voulait aussi que les apprentis scribes déposent à son entrée une de leurs tablettes d'exercice, ...
Crédits : Erich Lessing/ AKG
ART ÉGYPTIEN, époque gréco-romaine, IIe siècle avant J.-C.-IIe siècle après J.-C., Le pharaon devant Haoëris, bas-relief. Temple d'Horus et Sobek, Kôm-Ombo.
Crédits : Erich Lessing/ AKG
Le codex de Madrid proviendrait de Campeche ou de Tulum, comme celui de Paris. Si ce codex maya se structure autour des cérémonies de l'année nouvelle, il fait aussi mention de rituels agraires et de scènes de chasse. Museo de América, Madrid.
Crédits : Universal Images Group/ AKG-Images
Relevé d’inscriptions cunéiformes trilingues
Des inscriptions trilingues gravées par les rois perses achéménides à Persépolis et à Behistun (Iran) ont permis, à partir du XVIIIe siècle, les premiers déchiffrements de l'écriture cunéiforme des anciens Mésopotamiens. Le même texte s'y trouve gravé dans les trois langues de...
Crédits : D'après Carsten Niebuhr, "Description de l'Arabie", 1772
Le moine Eadwine travaillant au manuscrit
Le moine Eadwine travaillant au manuscrit, vers 1150, vélin. Trinity College, Cambridge, Royaume-Uni.
Crédits : Bridgeman Images