STRUCTURE CRISTALLINE
ALLIAGES
Dans le chapitre « Superalliages » : […] Le développement des turboréacteurs d'avion a entraîné, dès la fin de la Seconde Guerre mondiale, l'élaboration d'alliages capables de résister à des efforts mécaniques intenses dans un domaine de température où tout ce qui était connu à l'époque avait une forte propension à fluer et/ou à s'oxyder de façon catastrophique. Dans le même temps, Superman devenait un héros de télévision, et certains […] […] Lire la suite
CRISTAUX
Dans le chapitre « Les structures métalliques » : […] La cohésion des métaux est assurée par des liaisons fortes et sans orientation privilégiée entre les atomes. Dans un métal, les électrons périphériques des atomes sont complètement délocalisés et se trouvent partagés entre tous les atomes de la structure. Les structures métalliques sont caractérisées par une tendance à la compacité maximale. Dans le cas des métaux purs, constitués d'une seule sor […] […] Lire la suite
DIFFRACTION DES RAYONS X
La thèse de William Lawrence Bragg (1890-1971), publiée en 1913 dans les comptes-rendus de la Cambridge Philosophical Society et titrée Diffraction d'ondes courtes électromagnétiques par un cristal , marque la naissance de l'étude moderne des solides, et en particulier des cristaux. Après ses études à Adélaïde en Australie (sa ville natale), puis à l'université de Cambridge (Royaume-Uni), W. L. […] […] Lire la suite
MATIÈRE (physique) État solide
Dans le chapitre « Liaisons et structures » : […] Dans un solide fait d'atomes de gaz rare ou dans un métal monoatomique, tous les atomes sont identiques et nous venons de voir que les liaisons n'ont pas, comme dans la liaison covalente, de direction privilégiée. Il est raisonnable d'assimiler les atomes ou les ions à des sphères dures et d'en tirer quelques conséquences simples sur leur répartition spatiale. En effet, avec des sphères, le plus […] […] Lire la suite
MICROSCOPIE
Dans le chapitre « Comprendre les images et les clichés de diffraction » : […] À cette fin, il faut comprendre comment les électrons tombant sur l'échantillon interagissent avec lui et comment l'information qu'ils transportent est ensuite recueillie par les détecteurs. Procédons par étapes : si nous envoyons un faisceau parallèle d'électrons sur un atome isolé, il y a diffusion du faisceau par l'atome, c'est-à-dire qu'après interaction les électrons voyagent dans toutes les […] […] Lire la suite
PRESSIONS PHYSIQUE & CHIMIE DES HAUTES
Dans le chapitre « Transformations polymorphiques des solides » : […] Dans un solide, les atomes occupent des positions régulièrement distribuées, mais plusieurs arrangements sont possibles et l'effet de la pression sera de provoquer le passage vers les arrangements les plus compacts. Il s'agit donc de transformations cristallographiques dont le nombre peut être relativement élevé, comme le montre la figure qui représente une partie du diagramme de phases de l'eau […] […] Lire la suite
SURFACE PHÉNOMÈNES DE
Dans le chapitre « Phases bidimensionnelles adsorbées » : […] Un domaine très actif, et particulièrement attrayant, de la recherche sur les phénomènes de surface est celui de l'étude de films atomiques ou moléculaires formés d'une seule couche d'atomes ou de molécules adsorbés sur des surfaces cristallines. L'intérêt réside dans la nature bidimensionnelle de ces films. En effet, dans leur état adsorbé, les atomes ou les molécules ont perdu un degré de libert […] […] Lire la suite
Chlorure de césium : structure
Chaque ion a 8 plus proches voisins de signe opposé, situés à une distance égale à la moitié de la diagonale du cube.
Crédits : Encyclopædia Universalis France
Chlorure de sodium : structure
Chaque ion possède 6 plus proches voisins, de signe opposé, situés à une distance égale à la moitié de l'arête du cube.
Crédits : Encyclopædia Universalis France
Dans un cristal d'arsenic (As), chaque atome établit trois liaisons covalentes avec trois premiers voisins. Ces liaisons, non planes, forment un trièdre. Le cristal d'arsenic est formé de l'empilement de ces différentes couches reliées entre elles par des interactions de Van der Waals.
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La structure cubique du diamant comporte un atome central entouré de quatre autres atomes, sommets d'un tétraèdre.
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Réseau cristallin de la fluorine.
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Maille cubique du diamant : tout atome (0) est au centre d'un tétraèdre dont les sommets sont occupés par les atomes premiers voisins (1), (2), (3) et (4).
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Dans un métal monoatomique, les atomes ou les ions peuvent être assimilés géométriquement à des sphères. Dans un plan, les sphères sont juxtaposées et chacune est tangente à six voisines. Dans les plans voisins, les sphères peuvent occuper les positions B ou C. On obtient...
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Structure cristalline de l'uranium
Crédits : Encyclopædia Universalis France
Structure cristalline dans le système cubique face centrée
Un cristal de NaCl rassemble des ions Na+ et Cl—, alternativement disposés sur des faisceaux de base carrée. En termes de structure cristalline, NaCl cristallise dans le système cubique face centrée (c.f.c.).
Crédits : Encyclopædia Universalis France
Structure de l'émeraude. Le motif élémentaire de l'émeraude est un anneau de six tétraèdres de silice [SiO
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Structure de l’olivine cristalline et fondue
Dans ces structures de l'olivine cristalline (à gauche) et fondue (à droite), le parallélépipède bleu indique la maille cristalline élémentaire de l'olivine. Les tétraèdres sont constitués d'un atome de silicium en leur centre et de quatre atomes d'oxygène à chacun des...
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Exemple du résultat d'une détermination de structure d'un cristal (2SbCI
Crédits : Encyclopædia Universalis France