SÉMIOLOGIE DU CINÉMA
CINÉMA (Aspects généraux) Les théories du cinéma
Dans le chapitre « Autonomie de la théorie » : […] Avec Jean Mitry (1904-1988), la théorie tend à devenir une fin en soi ( Esthétique et psychologie du cinéma , 1963-1965). Un cinéaste, un théoricien des débuts ou un critique lié à une école pouvaient opposer un cinéma à un autre comme la vérité au mensonge. La théorie se doit au contraire d'être universelle, d'accepter la pluralité évidente des écoles et des films. Elle sera inséparable, chez Mit […] […] Lire la suite
METZ CHRISTIAN (1931-1993)
Christian Metz est à l'origine d'une discipline nouvelle : la sémiologie du cinéma. Son œuvre, d'inspiration linguistique, s'est développée à partir d'un article paru dans Communications en 1964 : “Le cinéma : langue ou langage ?” Et les ouvrages se sont succédé : le premier volume des Essais sur la signification au cinéma , en 1968, le second en 1973 ; puis, Langage et cinéma (1971) ; Le Sign […] […] Lire la suite
PARLANT CINÉMA
Dans le chapitre « Augmentation du pouvoir narratif » : […] Le pouvoir narratif de l'image animée seule, sans le secours d'un texte, est faible. Il a fallu beaucoup d'efforts et de très grands artistes comme Murnau pour parvenir, dans un film comme Le Dernier des hommes , à faire raconter une histoire par des images privées de tout secours d'un texte, qu'il soit écrit (intertitres) ou oral (le « bonimenteur » qui officiait dans les salles des débuts du ci […] […] Lire la suite
ROMAN Roman et cinéma
Dans le chapitre « Le mot et l'image » : […] Selon Käte Hamburger, le film « remplace la force imagée du mot par la force verbale de l'image ». Comment interpréter ce chiasme qui pourrait n'être qu'une formule brillante ? Une manière simple et banale d'envisager la lecture veut qu'elle incite à « imaginer » (même si ce n'est, comme Sartre le dit, que dans « les ratés de la lecture » – existe-t-il d'ailleurs une lecture sans ratés ?). Sembl […] […] Lire la suite