SATELLITES GALILÉENS
ÉCLIPSES
Dans le chapitre « Intérêt astronomique des éclipses » : […] Les éclipses de Soleil et de Lune ont joué un rôle important en astronomie. Aujourd'hui, seules les éclipses de Soleil présentent un intérêt pour les astronomes, car elles permettent d'étudier la couronne solaire. Cependant, des éclipses d'autres corps du système solaire présentent toujours de l'intérêt. Ainsi, les quatre gros satellites de Jupiter découverts par Galilée en 1610 s'éclipsent quand […] Lire la suite
EXPLORATION DES PLANÈTES GÉANTES - (repères chronologiques)
Janvier 1610 Galilée découvre les quatre plus gros satellites de Jupiter, qu'il nomme « astres médicéens », et que nous appelons aujourd'hui satellites galiléens : il s'agit de Io, Europe, Ganymède et Callisto. 1656 Christiaan Huygens présente sa découverte du plus gros des satellites de Saturne, Titan, dans De Saturni luna observatio nova , publié à La Haye. 1659 Christiaan Huygens décrit avec […] Lire la suite
EXPLORATION DU SYSTÈME SOLAIRE (notions de base)
Dans le chapitre « Jupiter » : […] Survolée à plusieurs reprises dans les années 1970, la plus grosse planète du système solaire a été la cible de la sonde Galileo, lancée en 1989. En décembre 1995, le module principal fut placé sur son orbite tandis que la sonde d’exploration faisait son entrée dans l’atmosphère jovienne : elle a pénétré jusqu’à 200 kilomètres et transmis des informations pendant 59 minutes avant que l’énorme pres […] Lire la suite
GALILÉE - (repères chronologiques)
15 février 1564 Galilée (Galileo Galilei) naît à Pise ; il est le premier des six ou sept enfants du musicien Vincenzo Galilei, qui avait épousé en 1562 Giulia degli Ammannati. 1583 Selon son premier biographe, Vincenzo Viviani, Galilée formule la loi d'isochronisme du pendule, après avoir observé le balancement d'un lustre dans la cathédrale de Pise : la durée d'une oscillation ne dépend que de […] Lire la suite
JUPITER, planète
Dans le chapitre « Les satellites galiléens » : […] Ces satellites (dont le tableau 3 présente les principales caractéristiques physiques) ont des tailles comparables à celles de la Lune et de Mercure. Pour le géologue, ce sont des « planètes » à part entière, qui circulent sur des orbites équatoriales et circulaires, de périodes commensurables pour les trois premières : la période sidérale de Io est de 1,77 jour, celle d'Europe de 1,77 × 2 jours […] Lire la suite
MARÉES
Dans le chapitre « Effets de marée sur le système de Jupiter » : […] On connaît depuis des siècles la configuration résonante des satellites galiléens de Jupiter. Les périodes orbitales de Io, d'Europe, de Ganymède et de Callisto présentent entre elles des rapports qui sont très voisins de nombres entiers ou rationnels ; elles sont en effet proportionnelles à 1, 2, 4 et 28/3. Mais c'est seulement en 1979 que l'on a identifié avec certitude la cause de ce phénomèn […] Lire la suite
PLANÈTES
Dans le chapitre « Les planètes et l’histoire » : […] L’observation des planètes remonte au début de l’histoire de l’humanité. Les Grecs, ayant observé leur mouvement dans le ciel par rapport aux étoiles fixes, ont baptisé planêtês , ou « astres errants » les cinq d’entre elles visibles à l’œil nu : Mercure, Vénus, Mars, Jupiter et Saturne. Selon la conception d’Aristote (385 env.-322 av. J.-C.), pour qui le monde doit être régi par des sphères, la […] Lire la suite
RÖMER OLE (1644-1710)
L' astronome danois Ole Römer démontra en 1676 que la vitesse de la lumière n'était pas infinie. Ole Christensen Römer (ou Rømer, ou Roemer) naît le 25 septembre 1644 à Århus, dans le Jutland. En 1672, il s'établit à Paris, où il va passer neuf ans à l'Observatoire royal. Le directeur de cette institution, l'astronome franco-italien Jean-Dominique Cassini, cherche à cette époque à utiliser les éc […] Lire la suite
RÖMER DÉMONTRE QUE LA VITESSE DE LA LUMIÈRE N'EST PAS INFINIE
Invité en 1671 par Jean-Dominique Cassini à séjourner à l'Observatoire de Paris, l'astronome danois Ole Christensen Römer (1644-1710) y étudie notamment le mouvement des satellites galiléens de Jupiter, découverts en 1610 par Galilée. Il constate que les occultations de ces satellites par la planète sont en retard par rapport aux prédictions des éphémérides lorsque la Terre est loin de Jupiter, et […] Lire la suite
SURVOL DE JUPITER PAR LES SONDES VOYAGER
Lancées en 1977, les deux sondes spatiales Voyager de la N.A.S.A. survolent Jupiter en 1979 : Voyager-1 le 5 mars, Voyager-2 le 9 juillet, à des distances minimales de 206 700 kilomètres et 570 000 kilomètres du sommet des nuages, respectivement. Mettant à profit le champ gravitationnel de la planète géante, les sondes se dirigeront ensuite vers Saturne. Elles transmettent de magnifiques images e […] Lire la suite
Cette image de Callisto, un des quatre satellites galiléens, a été obtenue par la sonde Voyager-2 le 7 juillet 1979, depuis une distance de 1,1 million de kilomètres On distingue près du limbe, en haut à droite, le trait le plus caractéristique de ce satellite sombre et très cratérisé, le...
Crédits : Courtesy NASA / Jet Propulsion Laboratory
Callisto : le bassin d'impact Valhalla
Le grand bassin d'impact Valhalla domine cette image du satellite galiléen Callisto acquise par la sonde Voyager-1 le 6 mars 1979 depuis une distance de 200 000 kilomètres Valhalla est constitué d'une zone centrale claire, d'un diamètre de 600 kilomètres environ, entourée de multiples anneaux...
Crédits : Courtesy NASA / Jet Propulsion Laboratory
Ce schéma présente un modèle plausible de la structure interne du satellite galiléen Callisto, fondé sur des données gravimétriques et magnétiques recueillies par la sonde Galileo Callisto serait un satellite peu différencié, probablement constitué d'un mélange relativement homogène de...
Crédits : Courtesy NASA / Jet Propulsion Laboratory
Le grand bassin d'impact Valhalla, sur le satellite galiléen Callisto Ces images ont été acquises par la sonde Galileo en 1997 Valhalla est constitué d'une zone centrale claire, d'un diamètre de 600 kilomètres environ, entourée de multiples anneaux concentriques dont le diamètre maximal est...
Crédits : JPL/ NASA
Cette «carte» présente plus de la moitié de la surface de Io Elle a été élaborée à partir d'images acquises par la sonde Galileo le 6 novembre 1996
Crédits : PIRL/ LPL/ JPL/ NASA
Deux panaches éruptifs apparaissent sur cette image du satellite galiléen Io acquise par la sonde Galileo le 28 juin 1997 depuis une distance de 600 000 kilomètres Le panache bleuâtre issu de Pillan Patera et qui se détache au-dessus du limbe, à gauche, s'élève à 140 kilomètres Le second...
Crédits : Courtesy NASA / Jet Propulsion Laboratory
Cette vue d'un croissant du plus petit des satellites galiléens, Europe, a été élaborée à partir d'images obtenues par la sonde Voyager-2 lors de son survol du système de Jupiter, en 1979 La surface d'Europe, lisse et brillante, composée de glace d'eau presque pure, est parcourue par un...
Crédits : JPL/ NASA
Europe : cratère d'impact Pwyll
Cette image de synthèse présente une vue en perspective du cratère d'impact Pwyll, élaborée à partir d'images obtenues par la sonde spatiale Galileo les 20 février et 16 décembre 1997 L'«observateur» est situé au sud-ouest de Pwyll, et son «regard» est dirigé à 45 degrés par rapport...
Crédits : Courtesy NASA / Jet Propulsion Laboratory
Le 7 septembre 1996, la sonde Galileo observait Europe depuis une distance de 677 000 kilomètres, obtenant des images de l'hémisphère «arrière» du satellite galiléen (dans son mouvement autour de Jupiter) L'image de gauche restitue approximativement les véritables couleurs d'Europe Dans...
Crédits : Courtesy NASA / Jet Propulsion Laboratory
La surface du satellite galiléen Europe semble composée de blocs de glace d'eau presque pure Son aspect tourmenté fait penser aux banquises terrestres Cette mosaïque d'images obtenues par la sonde Galileo montre une région de 70 kilomètres sur 30 kilomètres de Conamara Chaos, au voisinage de...
Crédits : Courtesy NASA / Jet Propulsion Laboratory
Cette image en fausses couleurs présente la région de Minos Linea, sur le satellite galiléen Europe Élaborée à partir d'images obtenues le 28 juin 1996 par la sonde Galileo, elle couvre une région d'environ 1260 kilomètres de côté On distingue sur Europe trois catégories principales de...
Crédits : Courtesy NASA / Jet Propulsion Laboratory
Cette mosaïque d'images obtenues par la sonde Galileo couvre une aire de 800 kilomètres sur 350 kilomètres dans l'hémisphère Nord du satellite galiléen Europe Les couleurs ont été accentuées afin de faire ressortir la morphologie de la surface : les plaines, constituées de glace d'eau...
Crédits : Courtesy NASA / Jet Propulsion Laboratory
Cette vue d'un croissant du plus petit des satellites galiléens, Europe, a été élaborée à partir d'images obtenues par la sonde Voyager-2 lors de son survol du système de Jupiter, en 1979 La surface d'Europe, lisse et brillante, composée de glace d'eau presque pure, est parcourue par un...
Crédits : Courtesy NASA / Jet Propulsion Laboratory
Ce schéma présente deux modèles plausibles de la structure interne du satellite galiléen Europe, fondés sur les images et données recueillies par la sonde Galileo Europe serait un satellite différencié, probablement constitué d'un noyau métallique (représenté ici en gris) entouré d'un...
Crédits : Courtesy NASA / Jet Propulsion Laboratory
Europe : Thera Macula et Thrace Macula
Cette mosaïque d'images obtenues par la sonde Galileo couvre une aire de 525 kilomètres sur 300 kilomètres dans l'hémisphère Sud du satellite galiléen Europe Les couleurs ont été accentuées afin de faire ressortir la morphologie de cette région : la plaine, constituée de glace d'eau...
Crédits : Courtesy NASA / Jet Propulsion Laboratory
Cette mosaïque d'images obtenues par la sonde Galileo en février 1997 montre la région dite Conamara Chaos du satellite galiléen Europe Elle couvre une surface de 35 kilomètres sur 50 kilomètres environ
Crédits : JPL/ NASA
La surface du satellite de Jupiter Europe semble composée de blocs de glace d'eau presque pure, et son aspect tourmenté fait penser aux banquises terrestres Cette mosaïque d'images obtenues par la sonde «Galileo» montre une région de 70 kilomètres sur 30 kilomètres de Conamara Chaos, au...
Crédits : JPL/ NASA
Cette image de Ganymède, un des quatre satellites galiléens, a été obtenue par la sonde Galileo le 26 juillet 1996 Les terrains sombres de Galileo Regio dominent la partie supérieure de l'image Les terrains plus clairs sont parsemés de taches et de raies brillantes; on distingue en...
Crédits : Courtesy NASA / Jet Propulsion Laboratory
Un grand cratère rayonnant domine cette image de la surface du satellite galiléen Ganymède, qui présente également de nombreux petits cratères d'impact Cette image a été acquise par la sonde Voyager-1 le 5 mars 1979
Crédits : N.A.S.A.
Cette image, acquise par la sonde Voyager-1 le 5 mars 1979, est une premières à dévoiler les détails de la surface glacée du satellite galiléen Ganymède
Crédits : N.A.S.A.
Ce schéma présente un modèle plausible de la structure interne du satellite galiléen Ganymède, fondé sur des données gravimétriques et magnétiques recueillies par la sonde Galileo Ganymède serait un satellite différencié, probablement constitué d'un noyau de matériaux silicatés...
Crédits : Courtesy NASA / Jet Propulsion Laboratory
Cette mosaïque d'images de Ganymède a été élaborée à partir d'images obtenues par la sonde Voyager-2 Les terrains sombres de Galileo Regio dominent la partie supérieure droite de l'image Les terrains plus clairs sont parsemés de taches et de raies brillantes
Crédits : JPL/ NASA
La surface de Ganymède observée à haute résolution par la sonde Galileo le 20 mai 2000 (en bas à droite): il s'agit de la région brillante appelée Harpagia Sulcus L'image en haut à gauche, acquise par Voyager-1, situe cette région; elle couvre une surface de 144 kilomètres sur 282...
Crédits : Brown University/ DLR/ JPL/ NASA
Cette vue du satellite galiléen Io a été élaborée à partir d'images obtenues par la sonde Galileo le 3 juillet 1999 depuis une distance de 130 000 kilomètres Les couleurs ont été accentuées afin de faire ressortir les principaux traits de la surface de Io, qui sont presque tous d'origine...
Crédits : Courtesy NASA / Jet Propulsion Laboratory
Un panache éruptif s'élève à environ 200 kilomètres au-dessus du volcan Loki sur cette image du satellite galiléen Io acquise le 4 mars 1979 par la sonde Voyager-1
Crédits : N.A.S.A.
Un panache en forme de champignon s'élève à 260 kilomètres environ au-dessus de la surface du satellite galiléen Io, à la verticale de l'évent Pele, qui apparaît comme une tache noire à la pointe d'un plateau de forme approximativement triangulaire Cette image a été élaborée à partir...
Crédits : Courtesy NASA / Jet Propulsion Laboratory
Cette image, acquise par la sonde Voyager-1 le 8 mars 1979, a confirmé l'existence d'un volcanisme actif sur le satellite galiléen Io On distingue à gauche un panache clair en forme de champignon s'élevant à environ 260 kilomètres, à la verticale du volcan Pele ; un autre panache, vu du...
Crédits : N.A.S.A.
De nombreux centres volcaniques et d'innombrables coulées de laves apparaissent sur cette image d'une partie de la surface du satellite galiléen Io, élaborée à partir d'images obtenues par la sonde Voyager-1 en mars 1979 Le «lac» de laves de Loki Patera (tache noire en forme de bouclier,...
Crédits : Courtesy NASA / Jet Propulsion Laboratory
Ces images, obtenues par la sonde Galileo en octobre 1999, montrent Mafuike Patera, qui entoure l'évent volcanique Pele, sur le satellite galiléen Io Sur l'image de gauche, qui respecte approximativement les couleurs réelles de la surface, l'anneau rougeâtre, d'un diamètre de l'ordre de 1300...
Crédits : Courtesy NASA / Jet Propulsion Laboratory
Cette vue d'une région de l'hémisphère Nord du satellite galiléen Io a été élaborée à partir d'images obtenues par la sonde Galileo en 1999 On distingue sur Io sept catégories de traits saillants : en dehors des évents volcaniques (et des panaches éruptifs qui leur sont associés),...
Crédits : Courtesy NASA / Jet Propulsion Laboratory
Ce schéma présente un modèle plausible de la structure interne du satellite galiléen Io, fondé sur des données gravimétriques et magnétiques recueillies par la sonde Galileo Io serait un satellite différencié, probablement constitué d'un noyau métallique de fer et de nickel...
Crédits : Courtesy NASA / Jet Propulsion Laboratory
Trois éruptions sont visibles sur le limbe du satellite galiléen Io dans cette image acquise par la sonde Voyager-2 le 10 juillet 1979, quatre mois après le survol de Io par Voyager-1
Crédits : N.A.S.A.
Ces deux images mettent en évidence les remaniements qui affectent en permanence la surface de Io, siège d'une intense activité éruptive L'image de gauche a été acquise par la sonde Galileo en octobre 1999, celle de droite par la sonde New Horizons en février 2007 Le trait dominant est...
Crédits : JHUAPL/ NASA
Io: cartographie de la surface
Cette «carte» en projection cylindrique présente la totalité de la surface du satellite galiléen Io Elle a été établie à partir d'images obtenues par les sondes Voyager-1 et Galileo
Crédits : USGS/ JPL/ NASA
Io et Europe, satellites de Jupiter
Caractères contrastés des deux satellitesIo et Europe sont deux des seize satellites qui gravitent autour de Jupiter Ils possèdent des caractéristiques qui les distinguent de tous les autresIo, qui ne présente aucune trace d'impact de météorites, manifeste en revanche une grande activité...
Crédits : Encyclopædia Universalis France
Haemus Mons (en bas) culmine à 10 kilomètres au-dessus des «plaines» de Io Sa base mesure environ 100 kilomètres sur 200 kilomètres Cette image a été élaborée à partir de données recueillies par Voyager-1
Crédits : USGS/ JPL/ NASA
Caractères et structure de la planèteJupiter, d'un diamètre onze fois plus important que la Terre, est la plus grande et la plus massive des planètes du système solaireIl s'agit d'un gigantesque globe fluide, dépourvu de toute surface solide; son noyau serait cependant composé de matériaux...
Crédits : Encyclopædia Universalis France
Cette image, obtenue par la sonde Voyager-2 le 25 juin 1979 depuis une distance de 12 millions de kilomètres, montre le satellite galiléen Io en transit devant l'hémisphère Sud de Jupiter Elle donne une idée du rapport de taille entre Io, de diamètre légèrement supérieur à celui de la...
Crédits : Courtesy NASA / Jet Propulsion Laboratory
Renouvellement de la surface de Io
Ces deux images, obtenues par la sonde Galileo, illustrent le processus de renouvellement continu de la surface du satellite galiléen Io L'image de gauche a été acquise le 4 avril 1997, celle de droite cinq mois plus tard, le 19 septembre 1997 Une nouvelle tache sombre, de 400 kilomètres de...
Crédits : Courtesy NASA / Jet Propulsion Laboratory
Les satellites Les valeurs entre parenthèses comportent une incertitude supérieure à 10 % tude supérieure à 10 %
Crédits : Encyclopædia Universalis France
Ce montage d'images acquises par la sonde New Horizons les 27 et 28 février 2007 présente, à une échelle commune, Jupiter et les quatre satellites galiléens: Io, Europe, Ganymède et Callisto (de gauche à droite, dans l'ordre de distance croissante à Jupiter) Le diamètre d'Europe, le plus...
Crédits : JHUAPL/ NASA
Ce montage d'images présente, à une échelle commune, Jupiter et les quatre satellites galiléens: Io, Europe, Ganymède et Callisto (de haut en bas, dans l'ordre de distance croissante à Jupiter) Le diamètre d'Europe, le plus petit des quatre, est légèrement inférieur à celui de la Lune;...
Crédits : Courtesy NASA / Jet Propulsion Laboratory
Ce montage d'images obtenues par la sonde spatiale Voyager-1 lors de son survol de Jupiter, au début de mars 1979, présente la planète géante et ses quatre plus gros satellites, les satellites galiléens, dans les positions qu'ils occupaient à l'époque du survol; les dimensions relatives ne...
Crédits : Courtesy NASA / Jet Propulsion Laboratory
Le 20 août et le 5 septembre 1977, deux lanceurs Titan-Centaur décollent de Cape Canaveral, en Floride ; les sondes spatiales qu'ils emportent, Voyager-2 et Voyager-1, vont bouleverser notre connaissance des planètes géantes Jupiter, Saturne, Uranus et NeptuneLe 4 mars 1979, Voyager-1 découvre...
Crédits : Encyclopædia Universalis France