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- Écrit par
Danièle COHN, François TRÉMOLIÈRES
- 3 915 mots
- 1 média
...(reste néanmoins à émouvoir : désormais l'œuvre se juge à son effet, le pathétique). En outre, l'imitation est conçue à partir de la peinture, c'est-à-dire
comme ressemblance. Celle-ci ne pouvant, dans le cas de l'écriture, être visuelle, on la cherchera du côté du matériau verbal : tentatives de « mimologiques...
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- Écrit par
Raïssa BRÉGEAT, Marie-Thérèse de MALLMANN, Rita RÉGNIER
- 49 040 mots
- 67 médias
...d'une image parfaite doit entraîner des sensations et des sentiments que le fidèle ne saurait éprouver si l'image ne ressemble pas à la réalité. Cette
ressemblance, l'artiste ne peut la rendre par la copie servile de la nature : il l'atteint par un jeu de comparaisons que lui suggère sa connaissance des...
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- Écrit par
Galienne FRANCASTEL
- 6 166 mots
- 15 médias
...en particulier ou de Degas, de Cézanne même et de Picasso – revendiquent le nom de portraits et constituent pour le genre un des sommets de l'art. La «
ressemblance » elle-même, dont peu d'artistes se sont vraiment souciés dans le passé, acquiert dans le nouveau contexte formel une force plus convaincante....
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- Écrit par
Pierre GEORGEL, Claude JACQUET
- 2 538 mots
- 1 média
...occupe une place centrale chez Ruskin, et par lui son réalisme instinctif s'approfondit en réflexion morale. Car la vérité ne se réduit nullement à une
ressemblance matérielle : elle implique l'engagement sincère de l'artiste dans ce qu'il représente, son refus de tricher, de s'en remettre au savoir-faire,...
