RÉACTEUR À EAU LOURDE
NUCLÉAIRE Démantèlement des installations
Dans le chapitre « Les réacteurs » : […] Les réacteurs de recherche. Ce sont principalement des réacteurs piscines construits et exploités par le Commissariat à l'énergie atomique (C.E.A.) dans ses différents centres d'études nucléaires. La plupart de ceux qui ont été construits dans les années 1950 et 1960 ont déjà été démantelés. À Grenoble, le démantèlement des réacteurs Mélusine (fonctionnel de 1958 à 1988), Siloé (fonctionnel de 19 […] […] Lire la suite
NUCLÉAIRE (notions de base)
Dans le chapitre « L’électronucléaire » : […] Le principe de la fission de l’uranium est connu depuis 1939 : l’absorption d’un neutron de faible énergie (neutron dit thermique) par un noyau d’uranium provoque la fission de ce dernier en deux noyaux plus légers. Cette réaction libère une grande quantité d’énergie et deux ou trois neutrons énergétiques. Si ces neutrons sont ralentis dans un matériau « modérateur », la réaction peut continuer […] […] Lire la suite
NUCLÉAIRE Réacteurs nucléaires
Dans le chapitre « Réacteurs à eau lourde » : […] L'eau lourde, qui est un excellent modérateur, permet aussi l'utilisation d'uranium naturel, mais dans des conditions moins strictes que pour le graphite. Grâce à une bonne économie des neutrons, les réacteurs à eau lourde emploient mieux l'uranium que les autres réacteurs à neutrons thermiques. Ces propriétés de l'eau lourde l'ont fait rechercher, dès 1939, pour les premières études concernant le […] […] Lire la suite
THORIUM
Dans le chapitre « Applications nucléaires » : […] À la différence de l' uranium ou du plutonium, le thorium n'est pas fissile. Cependant, l'atome de thorium 232 peut absorber un neutron thermique, issu par exemple de la fission contrôlée d'un atome d'uranium 235, et donner du thorium 233, lequel, par deux émissions β — successives, conduit d'abord au protactinium, puis à l'uranium 233 qui est fissile. Pour cette raison, on dit que le thorium est […] […] Lire la suite