POTENTIEL D'IONISATION
ARGENT, métal
Dans le chapitre « L'atome et ses ions » : […] La structure électronique de l'argent est : L' argent peut donc se rattacher, d'une part, à l'or et au cuivre, qui constituent avec lui le groupe I b de la classification périodique, d'autre part, au palladium, qui est son voisin dans la deuxième série des éléments de transition et au rubidium qui est son homologue du groupe I a . En fait, par ses propriétés physiques, l'argent se rattache surto […] […] Lire la suite
ASTATE
Élément chimique de symbole At et de numéro atomique 85, l'astate (du grec astatos , instable) a autrefois été appelé ékaiode (car ses propriétés chimiques se rapprochent de celles de l'iode, l'halogène qui le précède dans le tableau périodique) et alabame. Les Anglo-Saxons le nomment astatine . Dernier élément du groupe des halogènes dont la place dans le tableau périodique était restée vide jus […] […] Lire la suite
CÉSIUM
Le césium est l'élément chimique de numéro atomique 55 et de symbole Cs ; il a été identifié pour la première fois en 1860 par Kirchhoff et Bunsen par analyse spectrale ; deux raies bleues à 456 et 459,7 nm sont à l'origine de son nom ( caesium : bleu du ciel). C'est un métal jaune pâle très facilement fusible. Si l'on excepte le francium, élément 87 qui ne possède pas d'isotope stable, le cési […] […] Lire la suite
HYDROGÈNE
Dans le chapitre « L'ion H+ » : […] En raison de l'énergie nécessaire à la rupture des liaisons covalentes X − H et du potentiel d'ionisation élevé de l'hydrogène, l'ion H + n'existe que dans les solvants polaires suffisamment ionisants et dans lesquels il comporte une forte énergie de solvatation. La solvatation est facilitée en fait par la très petite taille du proton. Dans l'eau par exemple : l'ionisation exigeant 1 310 kJ. Les […] […] Lire la suite
IONOSPHÈRE
Dans le chapitre « Structure thermique de l'ionosphère » : […] La principale source d'énergie de l'ionosphère est le rayonnement solaire. Lors d'une réaction d'ionisation, nous avons vu que l'électron créé, appelé photoélectron, est en général animé d'une grande énergie cinétique, égale à la différence entre l'énergie du photon incident et le potentiel d'ionisation de l'atome intervenant dans la réaction. Cette énergie, de l'ordre d'une dizaine d'électrons-v […] […] Lire la suite
RAYONNEMENT COSMIQUE Rayons cosmiques
Dans le chapitre « Origine et composition des rayons cosmiques » : […] L'idée la plus séduisante concernant l'origine des rayons cosmiques fut émise par Fritz Zwicky en 1938 : les supernovae produiraient les rayons cosmiques en accélérant, grâce à l'expansion très rapide de leur enveloppe, la matière qu'elles ont synthétisée. Cette théorie, très satisfaisante sur le plan énergétique, a été généralement acceptée jusqu'en 1985. On sait maintenant que l'abondance relat […] […] Lire la suite
SPECTROMÉTRIE DE MASSE
Dans le chapitre « Ionisation de surface » : […] La méthode est adaptée à l'ionisation des solides ou d'éléments traces existant dans un solide. L'échantillon à ioniser est déposé sur la surface d'un filament porté à haute température. L'efficacité d'ionisation dépend fortement des propriétés de l'élément à ioniser (potentiel d'ionisation), de la nature du filament (travail de sortie électronique) et de sa température (formule de Saha-Langmuir) […] […] Lire la suite
THERMO-IONIQUE ÉMISSION
Dans le chapitre « Émission de métaux avec couche adsorbée » : […] Depuis les expériences de Langmuir sur l'adsorption du césium sur le tungstène, on a compris que des films adsorbés pouvaient avoir un effet très important sur l'émission d'électrons. Le mécanisme peut être décrit comme suit. Si le potentiel d'ionisation de la couche adsorbée est de l'ordre du potentiel de sortie du métal de base, ou supérieur à lui, la couche adsorbée diminue le potentiel de sor […] […] Lire la suite