NÉERLANDAISE ET FLAMANDE PEINTURE, XVe s.
ALLEMAND ART
Parler d'art allemand, comme d'art italien ou d'art français, n'a rien qui surprenne aujourd'hui, tant ces catégories semblent évidentes. Apparues avec l'essor de l'histoire de l'art au xix e siècle, elles sont pourtant relatives et problématiques, car cet essor, contemporain de celui des nationalismes, lui est lié. Entend-on par art national l'ensemble des œuvres produites dans un pays ou par le […] […] Lire la suite
ANTONELLO DE MESSINE (1430 env.-1479)
Dans le chapitre « Géopolitique et contacts culturels » : […] Antonello de Messine fut un sujet de la couronne d'Aragon. Après le bref règne du roi René I er d'Anjou (1435-1442), Naples et la Sicile voient se développer le mécénat d'Alphonse V d'Aragon (1442-1458) et de son fils Ferrante I er . La lettre de renseignements sur l'histoire de la peinture méridionale adressée par l'humaniste napolitain Pietro Summonte, en 1524, à un amateur d'art vénitien, Marc […] […] Lire la suite
ANVERS
Dans le chapitre « La peinture » : […] Le peintre le plus important de la première moitié du siècle est sans doute Quentin Metsys (1465 ou 1466-1530), qui travailla à Anvers de 1491 jusqu'à sa mort. Son style est fait d'une fusion de l'esprit religieux des primitifs et du goût de la beauté terrestre et de l'individualisme humain, qui sont les acquisitions de la Renaissance. Le sfumato dans les paysages démontre sa profonde connaissa […] […] Lire la suite
APOCALYPSE DE JEAN
Dans le chapitre « La peinture flamande » : […] L'auteur des tapisseries d'Angers est originaire de Bruges. Quelques années plus tard, on assiste dans cette ville à la somptueuse éclosion de la peinture flamande, qui rivalise avec l'art de la première Renaissance italienne. Les deux frères Hubert et Jean van Eyck, peintres de la cour de Philippe le Bon, s'inspirent de l'Apocalypse pour composer le Retable de l'Agneau mystique , entre 1420 et 14 […] […] Lire la suite
AUTOPORTRAIT, peinture
Dans le chapitre « Le peintre en saint Luc » : […] Apparue, semble-t-il en Flandres, au xv e siècle ( Rogier Van der Weyden, Dirk Bouts) et assez répandue jusqu'à la fin du siècle suivant (Niklaus Manuel Deutsch, Jan Gossaert dit Mabuse, Lancelot Blondeel...), la formule de l'autoportrait – réaliste ou symbolique – « en saint Luc peignant la Vierge » constitue une introduction idéale à l'histoire du genre, car son évolution épouse celle du statut […] […] Lire la suite
BOSCH JÉRÔME (1450-1460 env.-1516)
L'œuvre de Bosch, qui fut ensevelie pendant trois siècles, occupe en notre esprit une place majeure . Elle a donné lieu aux sentiments les plus contraires, et parfois simultanément. On la tint pour l'expression même du Moyen Âge ; mais elle est contemporaine de Vinci. Elle passa pour plaisante et profonde, réaliste et extravagante, édifiante et licencieuse, orthodoxe et hérétique, capricieuse et c […] […] Lire la suite
BOUTS DIERIC ou THIERRY (1415 env.-1475)
Dans les écrits du xvi e siècle, on l'appelle « Dirick de Haarlem », dans d'autres « Dirk de Louvain ». Il s'agit en fait d'un seul et même personnage dont le nom véritable est Dirk Bouts. Né à Haarlem, il se fixe vers 1445-1448, au moment de son mariage, à Louvain où il réalise ses principaux chefs-d'œuvre. On sait qu'il eut quatre enfants dont deux garçons, Dirk et Albert, furent peintres. On i […] […] Lire la suite
BROEDERLAM MELCHIOR (mort apr. 1409)
Le duc de Bourgogne Philippe le Hardi, entré en possession du comté de Flandre en 1384, garda à son service Melchior Broederlam, qui avait été peintre et valet de chambre de Louis de Mâle, père de son épouse, la duchesse Marguerite de Flandre. Les articles de comptes nous présentent surtout Broederlam comme un décorateur, chargé de peindre sur étendards, bannières, gonfanons et harnois de joute le […] […] Lire la suite
CAMPIN ROBERT ou MAÎTRE DE FLÉMALLE (1380 env.-1444)
Peintre tournaisien, Robert Campin est, avec Hubert et Jan van Eyck, un des points de départ de la peinture des Pays-Bas qui, détachée du style gothique international, va devenir un art local – surtout en ce qui concerne Campin – et indépendant. En effet, après la défaite d'Azincourt en 1415, après la mort du duc de Berry et le retour de Philippe le Bon en Flandre, les peintres flamands, qui avaie […] […] Lire la suite
CHRISTUS PETRUS (entre 1405 et 1410-1472/73)
La vie de Petrus Christus est mal connue. Il est vraisemblablement né à Baerle (en Brabant-Septentrional ou en Flandre-Occidentale). Le fait qu'il reste absolument étranger au style gothique international laisse supposer qu'il n'a pas commencé son apprentissage avant 1425-1435. De ses débuts hollandais, il a gardé le souvenir de miniaturistes, tel le Maître H. Vers 1430-1434, il aurait fait un voy […] […] Lire la suite
DAVID GÉRARD (entre 1450 et 1460-1523)
L'un des principaux peintres de Bruges après Memling (mort en 1494), Gérard David est pour tout dire le dernier grand primitif flamand. Reçu franc maître dans la gilde des peintres de Bruges dès 1484, il reste, à l'égal d'un Memling, étroitement lié au renom et à l'histoire de cette ville, au point que sa peinture, sédative et si gravement mûrie, nous paraît typique d'un certain goût brugeois pour […] […] Lire la suite
FLORIS CORNELIS (1514-1575) & FRANS (1516-1571)
Artistes flamands. Cornelis Floris fut un propagateur de l'italianisme dans le domaine de l'architecture et de la sculpture. On lui doit surtout l'hôtel de ville d'Anvers (1561) ; comme son frère Frans, Cornelis conserve, sous un vernis italien, une tradition flamande accusée. Frans I er de Vrient, dit François Floris, petit-fils et fils de sculpteur, se consacra d'abord à l'étude de la sculpture […] […] Lire la suite
GÉRARD DE SAINT-JEAN, néerl. GEERTGEN TOT SINT JANS (1460-1465 env.-env. 1490-1495)
Le principal « primitif » néerlandais du xv e siècle, à la fois par une célébrité dont témoigne Van Mander qui admirait fort ce peintre génial mort à vingt-huit ans et par la qualité de son art tendre et chargé d'émotions aux couleurs raffinées ; art d'une plasticité forte mais apaisée, et d'une silencieuse discrétion déja toute néerlandaise. Très probablement né à Leyde, il se forma chez Ouwater […] […] Lire la suite
GOTHIQUE ART
Dans le chapitre « La peinture » : […] L'histoire de la peinture apparaît plus contrastée, avec une réaction qui se veut dramatique contre l'emploi de formules répétées et souvent épuisées. Courajod a donné le nom de « gothique international » à ce courant, qui se rattache au style courtois de la première moitié du xiv e siècle et qui fut mis à l'écart entre 1360 et 1380. Il réapparaît dès les années 1380 dans toutes les cours europ […] […] Lire la suite
JÉRÔME BOSCH (expositions)
Les anniversaires sont toujours d’excellents prétextes pour des célébrations. Dans le cas du peintre néerlandais Jérôme Bosch, mort en 1516 à Bois-le-Duc ('s-Hertogenbosch en néerlandais), la création du Bosch Research and Conservation Project (BRCP) a permis à une équipe de chercheurs de travailler sept ans à renouveler profondément les analyses scientifiques et techniques, historiques, sty […] […] Lire la suite
JUSTE DE GAND (1435 env.-apr. 1475)
Le peintre flamand qui travaille en Italie, à Urbin, entre 1473 et 1475, sous le nom de Giusto da Guanto, est généralement identifié avec le peintre Joos van Wassenhove, connu seulement par des archives. On possède fort peu de documents sur la vie de Juste de Gand. Il serait né à Gand. Reçu maître à la Guilde d'Anvers en 1460, il fait partie de la corporation des peintres de Gand en 1464. Il y int […] […] Lire la suite
LE MAÎTRE DE FLÉMALLE et ROGIER VAN DER WEYDEN (expositions)
L'organisation, la même année, de deux expositions majeures consacrées à l'art des primitifs flamands, l'une Le Maître de Flémalle et Rogier Van der Weyden au Städel Museum de Francfort (21 novembre 2008-22 février 2009) reprise par la suite à la Gemäldegalerie de Berlin (20 mars-21 juin 2009), l'autre Rogier Van der Weyden 1400-1464. Maître des Passions au musée M de Leuven [Louvain] (20 septem […] […] Lire la suite
LES PRIMITIFS FLAMANDS. LES PLUS BEAUX DIPTYQUES (exposition)
La première justification des expositions temporaires, dans les musées, est la réunion d'œuvres que l'histoire a séparées, alors qu'elles expriment une origine ou une thématique commune. En ce sens, l'exposition de diptyques flamands des xv e et xvi e siècles, à la charnière du Moyen Âge et de la Renaissance dans l'Europe du Nord, qui s'est tenue à la National Gallery of Art de Washington et au […] […] Lire la suite
MAÎTRE DE LA VUE DE SAINTE-GUDULE (actif entre 1470 et 1490)
Parmi les nombreux anonymes de la peinture flamande du xv e siècle, le Maître de la Vue de Sainte-Gudule est un des artistes les plus caractéristiques. C'est la présence de l'église bruxelloise de Sainte-Gudule, à l'arrière-plan de son tableau de base, l' Instruction pastorale (Louvre), qui lui a donné sa dénomination. On doit à Friedländer le mérite d'avoir rassemblé les principales œuvres et d […] […] Lire la suite
MEMLING HANS (1435 env.-1494)
L'engouement dont Memling a été l'objet durant plus d'un siècle est un phénomène de l'histoire du goût, dont l'artiste est resté longtemps prisonnier. Redécouverte à l'époque romantique dans le cadre d'une Bruges déjà idéalisée, son œuvre apparaît tout au long du xix e siècle comme l'incarnation parfaite de la mystique du Moyen Âge finissant. La facilité apparente de son art, l'exaltation qu'il s […] […] Lire la suite
METSYS ou MASSYS QUENTIN (1465/66-1530)
À la différence de tant d'autres peintres nordiques des xv e et xvi e siècles, Quentin Metsys ne fut jamais oublié et, cas rarissime, était encore considéré en pleine époque baroque comme un très grand peintre dont le souvenir restait intact (cf. les biographies si louangeuses de Fickaert, en 1648, et de Fornenbergh, en 1658). Plus personne ne saurait contester aujourd'hui, à la suite du chroniq […] […] Lire la suite
NATURE MORTE
Dans le chapitre « Moyen Âge et Renaissance : réalité et symboles » : […] Disparue pendant près d'un millénaire – l'art byzantin ne lui accorde pratiquement aucune place –, la nature morte réapparaît en Italie, au début du Trecento. Le sens spatial d'un Giotto et le goût siennois du détail réaliste réhabilitent en effet les objets à l'intérieur des compositions à figures, pour donner à celles-ci davantage de vérité et de vie. Ambrogio Lorenzetti dans l'église inférieur […] […] Lire la suite
NÉERLANDAISE ET FLAMANDE PEINTURE
Du xv e au xvii e siècle, l'art néerlandais a connu un développement remarquable, dans lequel on observe cependant une grande continuité : même le passage du gothique à la Renaissance se fit sans révolution. Le fait de rassembler trois siècles d'art néerlandais en une seule étude se justifie donc parfaitement. Mais continuité n'implique pas unité et uniformité, et il est pour cette raison imposs […] […] Lire la suite
OUWATER ALBERT VAN (1400 env.-env. 1470)
Le nom de ce peintre néerlandais, l'un des seuls cités par Van Mander pour le xv e siècle, permet de supposer qu'il était originaire d'Oudewater près de Gouda. D'après le témoignage capital de Van Mander qui recueillait en 1604 de précieuses traditions orales, Ouwater vivait au temps de Van Eyck et avait été le maître de Gérard de Saint-Jean, mais Mostaert était trop jeune pour l'avoir connu. Tou […] […] Lire la suite
PORTRAIT
Dans le chapitre « Condamnation et renaissance » : […] Toutefois, l'invasion des Barbares et le rôle que ceux-ci se mirent à jouer aux dépens des populations plus anciennement établies sur le sol des provinces de l'Empire romain finirent par changer radicalement l'idée qui présidait jusqu'au v e siècle environ à l'usage du portrait. Sa légitimité absolue fut notamment mise en cause. Dans la plupart des civilisations traditionnelles, l'homme ne laisse […] […] Lire la suite
RETABLE DE L'AGNEAU MYSTIQUE (H. et J. Van Eyck)
Commandé par un riche échevin de Gand à Hubert Van Eyck, le polyptyque de L'Agneau mystique fut en réalité exécuté en grande partie par son frère Jan, après la mort d'Hubert en 1426. Placé en 1432 dans une chapelle du chœur de l'église Saint-Jean-Baptiste (devenue cathédrale Saint-Bavon au xvi e siècle), le retable fut conçu dès l'origine en fonction de sa disposition définitive (les deux fenêtr […] […] Lire la suite
VAN DER GOES HUGO (1440 env.-1482 ou 1483)
Étoile filante de la peinture flamande du xv e siècle, Hugo Van der Goes est, avec Dirk Bouts, le peintre le plus original de la génération qui suit directement les premiers Primitifs flamands. Fortement empreint de l'art de Jan Van Eyck et de Rogier Van der Weyden, Van der Goes développe un style expressif très personnel qui aura un impact durable bien au-delà des Pays-Bas. Si peu d'œuvres de sa […] […] Lire la suite
VAN DER WEYDEN ROGIER (1399 ou 1400-1464)
Héritier direct de Robert Campin, le peintre Rogier Van der Weyden est, avec son contemporain Jan Van Eyck, l'un des pionniers de la révolution artistique qui voit le jour dans les Pays-Bas méridionaux à la fin du Moyen Âge. Mais, contrairement à Campin ou à Van Eyck, chez qui prime le rendu méticuleux du monde extérieur, dans l'infinie diversité de ses accidents, Van der Weyden semble avant tout […] […] Lire la suite
VAN EYCK (H. et J.)
Les « primitifs flamands » fascinent toujours, et plus qu'eux tous les deux frères Van Eyck, leurs aînés. On admire l'étonnante minutie d'artistes amoureux de la création, l'éclat et la variété des colorations, la qualité d'une matière picturale qui s'est presque toujours, comme en défiant le temps, admirablement conservée. Mais il faudrait aussi noter la stupéfiante audace de peintres qui abando […] […] Lire la suite
VAN EYCK, UNE RÉVOLUTION OPTIQUE (exposition)
Le polyptyque à volets peint par Hubert et Jan Van Eyck à la demande du donateur Joos Vyd, pour une chapelle de la cathédrale Saint-Bavon de Gand, et terminé en 1432, est universellement reconnu comme un immense chef-d’œuvre de l’histoire de la peinture. Appelé communément l’ Agneau mystique pour la scène centrale du retable ouvert, qui montre l’agneau égorgé, selon Apocalypse 5, mais triomphant […] […] Lire la suite
Robert Campin, «Annonciation», vers 1420. Huile sur bois, 76 cm × 70 cm. Museo del Prado, Madrid.
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De la «Physique» à la «Métaphysique», Aristote (385 env.-322 avant J.-C.) dresse l'inventaire exhaustif d'un monde où la réalité s'ordonne selon les catégories logiques de la pensée. Juste de Gand, Portrait d'Aristote, Musée du Louvre, Paris.
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Dante Alighieri, Juste de Gand
JUSTE DE GAND, Dante Alighieri, huile sur bois. Musée du Louvre, Paris.
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Hugo Van der Goes (1440 env.-1482), La Tentation d'Adam et Ève et La Déploration du Christ, panneaux d'un diptyque. Vers 1470. Chaque panneau : 35 cm X 23 cm. Kunsthistorisches Museum, Vienne, Autriche.
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Hans Memling (1435 env.-1494), La Châsse de sainte Ursule. Musée Memling, Bruges, Belgique.
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Hugo Van der Goes, «La Dormition de la Vierge», 1478-1480. Huile sur bois, 147 cm × 122 cm. Groeningemuseum, Bruges.
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Robert CAMPIN, La Madone à l'écran d'osier, huile sur bois. National Gallery, Londres.
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Hugo Van der Goes (1440 env.-1482), L'Adoration des bergers. Collection of the Earl of Pembroke, Wilton House, Wilts, Grande-Bretagne.
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Rogier Van der Weyden (1400 env.-1464), L'Annonciation. Vers 1435. Huile sur bois. Musée du Louvre, Paris.
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Rogier Van der Weyden (1400 env.-1464), Le Jugement dernier, polyptyque. Hôtel-Dieu de Beaune, France.
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Hans Memling (1435 env.-1494), Le Mariage mystique de sainte Catherine,ou Retable des deux saints Jean, triptyque, 1479. Musée Memling, Bruges, Belgique.
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Hans Memling, «Les Saintes Femmes et saint Jean-Baptiste», panneau de droite du diptyque «La Descente de Croix», vers 1475. Huile sur bois, 53,8 cm × 38,3 cm. Capilla Real, Grenade.
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Hubert et Jan Van Eyck, partie centrale du «Polyptyque de l'Agneau mystique», 1432, 350 cm × 206 cm. Cathédrale Saint-Bavon, Gand, Belgique. Le travail qu'il conduisait sur les valeurs symboliques de l'image allait amener Panofsky à l'étude des primitifs flamands.
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Hans Memling, «Portrait d'une jeune femme», dit «Portrait de Sibylla Sambetha», 1480. Huile sur bois, 46,5 cm × 35,2 cm. Memlingmuseum, Bruges.
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Jan Van Eyck (1390 env.-1441), Portrait des époux Arnolfini, huile sur bois, 1434. National Gallery, Londres.
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JUSTE DE GAND, Ptolémée, huile sur bois. Musée du Louvre, Paris.
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Jan Van Eyck, «Saint Jérôme dans sa cellule», vers 1440. Peinture sur bois, 19,9 cm × 12,5 cm. The Detroit Institue of Arts.
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Robert CAMPIN, Saint Joseph, panneau droit du triptyque de Mérode, vers 1420-1430, huile sur bois. Metropolitan Museum of Art, Cloisters, New York, États-Unis.
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Rogier Van der Weyden (1400 env.-1464), Saint Luc peignant la Vierge, bois transposé sur toile, XVe siècle. Version du musée de l'Ermitage, Saint-Pétersbourg, Russie.
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Saint Thomas d'Aquin, Juste de Gand
JUSTE DE GAND, Saint Thomas d'Aquin, huile sur bois. Musée du Louvre, Paris.
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JUSTE DE GAND, Sénèque, huile sur bois. Musée du Louvre, Paris.
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Hugo Van der Goes, «L'Adoration des bergers», détail aux iris qui renvoient à la pureté de la Vierge Marie, panneau central du «Triptyque Portinari», vers 1473-1479. Tempera sur bois, 253 cm × 304 cm. Commandé pour le maître-autel de l'église Sant'Egidio, à l'hôpital Santa...
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Hugo Van der Goes, «L'Adoration des bergers», panneau central du «triptyque Portinari , vers 1473-1479. Tempera sur bois, 253 cm × 304 cm. Commandé pour le maître-autel de l'église Sant'Egidio, à l'hôpital Santa Maria Nuova de Florence. Galerie des Offices, Florence.
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Hugo Van der Goes, «L'Adoration des bergers», détail des anges du panneau central du «Triptyque Portinari», vers 1473-1479. Tempera sur bois, 253 cm × 304 cm. Commandé pour le maître-autel de l'église Sant'Egidio, à l'hôpital Santa Maria Nuova de Florence. Galerie des Offices,...
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Hugo Van der Goes, «L'Épouse de Tommaso Portinari, Maria Magdalena Baroncelli et sa fille Margherita, sainte Marguerite et sainte Marie-Madeleine», détail du panneau de droite du «Triptyque Portinari», vers 1473-1479. Tempera sur bois, 253 cm × 141 cm. Galerie des Offices, Florence.
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Hans Memling, «Vierge à l'Enfant», seconde moitié du XVe siècle. Huile sur toile, 45 cm × 32 cm. Museu Nacional de Arte Antiga, Lisbonne.
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Rogier Van der Weyden: «Vierge à l'Enfant». Diptyque de Laurent Froimont. Huile sur toile, 1450. Musée des Beaux-Arts, Caen.
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