RENAISSANCE ITALIENNE PEINTURE DE LA, XVe s.
ANDREA DEL CASTAGNO (1390 ou 1406 ou 1421-1457)
Au début du Quattrocento, divers peintres florentins élaborent un style qui brise avec ce que le Trecento, dominé par Giotto, comportait encore d'empreinte gothique. La conquête, par Masaccio, d'un espace cohérent ouvre la voie à Uccello, à Andrea del Castagno, qui, de manière fort différente, vont accorder la primauté au dessin, au volume monumental, au contour dramatique, aux effets de perspecti […] […] Lire la suite
ANGELICO FRA (1400 env.-1455)
Considéré dès son vivant comme l'un des peintres les plus importants de la première moitié du Quattrocento, Fra Angelico a, pendant des siècles, fasciné les mémoires pour ce trait supplémentaire, mais essentiel, d'avoir été « saint homme », prêtre et frère dominicain. De cette mémoire, une mythologie est née, faisant du peintre ce personnage « angélique » qui n'aurait, dit-on, jamais pris ses pinc […] […] Lire la suite
ANTONELLO DE MESSINE (1430 env.-1479)
Le peintre sicilien Antonello de Messine est considéré comme un protagoniste essentiel de l'art du xv e siècle. Sa vie et son œuvre mal connues ont été l'objet des recherches minutieuses de nombreux historiens de l'art, à commencer par G. B. Cavalcaselle en 1860. Les minces témoignages des lettrés de la Renaissance, les documents d'archives, heureusement transcrits par deux érudits siciliens que […] […] Lire la suite
ART (Aspects culturels) L'objet culturel
Dans le chapitre « L'objet de civilisation au Moyen Âge et à la Renaissance » : […] Dans La Figure et le lieu, l'ordre visuel du Quattrocento , Pierre Francastel applique à la peinture traditionnelle l'idée d' objet de civilisation. Lorsque, dans une œuvre du Moyen Âge, on voyait une grotte ou un rocher, cela signifiait, pour les spectateurs de l'époque, le lieu de rencontre du visible et de l'invisible, du Bien et du Mal, etc. La grotte était en effet un des accessoires princ […] […] Lire la suite
BALDOVINETTI ALESSO ou ALESSIO (1425-1499)
L'art de Baldovinetti constitue un point de rencontre entre les deux tendances qui s'étaient affirmées dans la peinture florentine de la génération précédente, celle des coloristes et celle des dessinateurs. Il se rattache plus profondément au premier groupe, à Domenico Veneziano surtout, qui fut son maître et lui enseigna l'art des tonalités affinées par la lumière, des compositions sereines et l […] […] Lire la suite
BAXANDALL MICHAEL (1933-2008)
Né en 1933 à Cardiff (Royaume-Uni), Michael Baxandall a conduit une carrière de chercheur et d'enseignant en histoire de l'art dans le Royaume-Uni (il fut professeur « d'histoire de la tradition classique » à l'Institut Warburg et Courtauld, à Londres, et à l'université d'Oxford), puis aux États-Unis (universités de Cornell et Berkeley), sans compter une brève période de collaboration au départem […] […] Lire la suite
BELLINI LES
Sous le nom de Bellini, on range trois peintres vénitiens : le père et les deux fils. À ces trois peintres, on doit rattacher Andrea Mantegna qui travailla avec eux et épousa la jeune Bellini. Véritable affaire de famille, puisque sous ces liens se cachent des influences réciproques, des emprunts ou des imitations. Sur ce sol commun, trois personnalités se sont imposées : le père, Jacopo, dessina […] […] Lire la suite
BERGOGNONE ou BORGOGNONE AMBROGIO DA FOSSANO dit (1450-1523)
Le nom de Bergognone apparaît pour la première fois, en 1481, sur une liste d'immatriculation d'artistes milanais, ce qui permet de supposer qu'il dirigeait alors un atelier, mais on ignore quels avaient été ses maîtres. Sa première œuvre signée et datée, La Crucifixion (1490, chartreuse de Pavie), et les peintures qui l'ont sans doute précédée (par exemple, la Pala de l'Ambrosienne à Milan, pro […] […] Lire la suite
BRAMANTE (1444-1514)
Dans le chapitre « Le peintre » : […] Donato di Pascuccio d'Antonio, dit Bramante (variante du surnom hérité de son père : Abramante, Barbanti), naquit en 1444 à Monte Asdruvaldo, localité dépendant aujourd'hui de la commune de Fermignano, et qui faisait alors partie du territoire d'Urbino. Avant 1476-1477, il séjourna quelques années à Urbino ; puis, de 1477 à 1499, il vécut en Lombardie, d'abord à Bergame, puis à Milan (le voyage Ur […] […] Lire la suite
BRÉA LES
D'une famille établie à Nice depuis plusieurs générations, les Bréa furent trois peintres actifs entre le dernier quart du xv e siècle et le milieu du xvi e . Louis, le plus justement célèbre, est documenté de 1475 à 1523 ; son frère Antoine, de 1504 à 1516, collabore sans génie personnel avec lui et meurt en 1527 ; le fils de ce dernier, François, est cité de 1525 à 1555 et prolonge la manière f […] […] Lire la suite
COLANTONIO (1re moitié XVe s.)
L'analyse des affinités et des échanges artistiques que l'on peut déceler vers 1450 entre l'Espagne, la Provence, les Flandres et l'Italie méridionale fait apparaître une tentative commune d'assimiler la manière flamande, et spécialement celle de Van Eyck. À Naples, où celui-ci est considéré, ainsi que Van der Weyden, comme l'un des hommes les plus célèbres du temps (s'il faut en croire l'humanist […] […] Lire la suite
COSSA FRANCESCO DEL (1436 env.-env. 1478)
Avec Ercole De' Roberti (Ercole da Ferrara) et Cosme Tura, Francesco del Cossa est l'une des personnalités marquantes de l'école brillante et singulière qui se développe à Ferrare grâce à l'impulsion donnée aux arts et à la culture par Lionello, puis par Borso d'Este. Il est mentionné à Ferrare en 1456 et, de nouveau, en 1470 travaillant en collaboration avec Tura et Roberti au palais Schifanoia. […] […] Lire la suite
COSTA LORENZO (1460-1535)
Élève de Francesco del Cossa et d'Ercole De' Roberti à Ferrare, Lorenzo Costa s'établit à Bologne en 1483. Sous l'influence progressive d'Antonello de Messine et de Bellini, il oriente petit à petit la rigueur implacable de l'école ferraraise vers un style plus doux, soucieux d'assouplir les formes, de tempérer la tension des compositions en intégrant les figures à des paysages sereins et lumineux […] […] Lire la suite
CREDI LORENZO DI (1459-1537)
Peintre florentin, Credi fut l'élève et l'assistant de Verrocchio, dirigea son atelier lorsque celui-ci partit pour Venise (1482) et en hérita après sa mort (1488) : sa peinture n'a pas d'autre source, hormis l'influence du jeune Léonard de Vinci, qui fut son compagnon chez Verrocchio. La Vierge adorant l'Enfant (musée de Karlsruhe), avec son paysage d'eau et de rocher, trahit cette double influe […] […] Lire la suite
DE' ROBERTI ERCOLE (1450 env.-1496)
Formé avec Francesco Del Cossa près de Cosme Tura à Ferrare, Ercole De' Roberti fait comme lui ses débuts au palais Schifanoia, dans la salle des Mois. Travaillant, dans la plupart des cas, sur des dessins de Tura, les deux disciples élaborent leur propre manière en développant, dans des directions différentes, le style de leur maître commun ; la fermeté quasi sculpturale de celui-ci, sa curiosité […] […] Lire la suite
FOPPA VINCENZO (1427 env.-1515)
On ignore tout de la première formation de Vincenzo Foppa, mais l'assertion de Vasari selon laquelle il aurait travaillé à Padoue, près de Mantegna, semble attestée par certains aspects de son style, sans que cet enseignement ait été déterminant. Le contact des Bellini, par contre, dut le confirmer dans son intuition personnelle de la lumière tonale. Sa première œuvre signée et datée est de 1456 ( […] […] Lire la suite
FRANCESCO DI GIORGIO MARTINI (1439-1502)
Près de son maître Vecchietta, Francesco di Giorgio apprit la peinture et la sculpture, qu'il pratiqua surtout au début de sa carrière, avant de se consacrer à l'architecture civile et militaire. Jusqu'en 1475, il dirigea un atelier de peinture, à Sienne, avec Neroccio di Bartolomeo. Il fut alors chargé de l'agrandissement de la basilique Saint-François. En 1477, il est à Urbino, au service de Fré […] […] Lire la suite
FRESQUE
Dans le chapitre « L'âge d'or de la peinture murale » : […] La réapparition du buon fresco vers la fin du xiii e siècle a coïncidé à Rome avec le retour aux schémas classiques de peinture monumentale à thème narratif. C'est ce qui a pu inspirer à Vasari cette phrase : « Era degli antichi molto usato il fresco , ed i vecchi moderni ancora l'hanno poi seguitato » (Vasari, I). (« La fresque était souvent employée chez les Anciens ; les premiers Modernes o […] […] Lire la suite
FRESQUES DE LA CHAPELLE BRANCACCI, MASACCIO (Florence)
Masaccio a peint, avec la collaboration de Masolino, les fresques de la chapelle Brancacci à l'église Santa Maria del Carmine de Florence. Elles relatent divers épisodes de la vie de saint Pierre et marquent en peinture, comme la Trinité que Masaccio peint exactement au même moment à Santa Maria Novella, les débuts de la Renaissance à Florence. S'affranchissant des types de représentation caracté […] […] Lire la suite
GHIRLANDAIO DOMENICO DI TOMMASO BIGORDI dit (1449-1494)
Les premières œuvres du peintre florentin Domenico Ghirlandaio montrent l'influence de Verrocchio, qui l'avait précédé chez leur maître commun, Baldovinetti. Ainsi La Vierge à l'Enfant de Ghirlandaio, conservée à la National Gallery de Washington, est proche, à bien des égards, de celle de Verrocchio qui appartient au musée de Berlin (structure du visage, arrangement du voile, ornements précieux […] […] Lire la suite
GOZZOLI BENOZZO (1420-1497)
Après un apprentissage d'orfèvre chez Ghiberti, Gozzoli devient l'élève et le collaborateur de Fra Angelico. Il travaille avec lui à la cathédrale d'Orvieto (1447) et au Vatican, dans la chapelle de Nicolas V (1447-1450). L'art tout imprégné de spiritualité naïve du maître éveille chez le disciple, avec un sens délicat des couleurs, le don des évocations merveilleuses, rendues proches par la trans […] […] Lire la suite
JÉSUS ou JÉSUS-CHRIST
Dans le chapitre « Triomphe de l'humanisme, maniérisme et théâtralité et » : […] Pendant la Renaissance, la tradition du Christ-icône a tendance à être supplantée par une représentation d'un Christ-tableau religieux. On revient à l'idéal de la beauté antique en opposition à la prétendue obscurité du Moyen Âge. Le Christ est plus proche d'un philosophe du Banquet de Platon dans La Cène de Léonard de Vinci que du Jésus de l'Évangile. La Tête du Christ de Michel-Ange est cell […] […] Lire la suite
LÉONARD DE VINCI (1452-1519)
La personnalité puissante et séduisante de Léonard de Vinci est apparue au moment décisif de la Renaissance. Il a incarné la liberté nouvelle de l'artiste, émancipé des cadres professionnels, dominant par la réflexion scientifique et philosophique l'empirisme du métier, et devenu l'interlocuteur des grands. Mais son génie infatigable et singulier déborde les préoccupations objectives et sereines […] […] Lire la suite
LÉONARD DE VINCI (exposition)
La rétrospective qu’a consacrée le musée du Louvre à Léonard de Vinci (24 octobre 2019 – 24 février 2020) ne pouvait être qu’exceptionnelle. Le cinquième centenaire de la mort de l’artiste ; sa reconnaissance, sur tous les continents, comme un génie universel de l’art, en même temps mythe et symbole d’une période prodigieuse, la Renaissance italienne ; la présence d’un ensemble unique de ses pein […] […] Lire la suite
LIPPI FILIPPINO (1457-1504)
Fils de Filippo, Filippino Lippi travailla près de Botticelli. Ses œuvres de jeunesse, regroupées naguère par Bernard Berenson sous le nom du fictif Amico di Sandro, sont, en effet, très proches de celles de son maître, par leur charme et leur délicatesse nerveuse : Vierge à l'Enfant tenant un livre , au musée de Berlin ; Histoire d'Esther représentée sur des panneaux de cassoni (coffres de maria […] […] Lire la suite
LIPPI Fra FILIPPO (1406-1469)
Placé tout jeune chez les Carmes de Florence, le futur peintre Filippo Lippi prononce ses vœux à quinze ans, quitte le monastère dix ans plus tard tout en gardant l'habit, part pour Padoue, revient à Florence (en 1437), mais non au couvent, s'attire quelques difficultés avec les autorités civiles et religieuses en raison de son existence peu monacale, reçoit des bénéfices ecclésiastiques dont il e […] […] Lire la suite
L'ŒIL DU QUATTROCENTO, Michael Baxandall Fiche de lecture
Issu de cours professés à la faculté d'histoire de Londres, L'Œil du Quattrocento s'offre à démontrer deux propositions réciproques : d'une part, que la peinture du xv e siècle est le produit d'une relation sociale entre le peintre et son commanditaire, agent, pas nécessairement bienveillant, dont le peintre doit satisfaire les goûts et les compétences culturelles, et qu'il s'agit donc pour l'hi […] […] Lire la suite
LOMBARDIE
Dans le chapitre « La Renaissance » : […] Dans cette même ville de Mantoue, les Gonzague se séparent du miniaturiste « gothique » Belbello et le remplacent par Gerolamo de Crémone (1462), élève de Mantegna. Cependant, Brescia, avec l'œuvre du jeune Vincenzo Foppa , et Crémone, avec Benedetto Bembo, s'ouvrent elles aussi à la culture de la Renaissance. Mais en Lombardie, que ce soit en raison des échanges commerciaux ou en raison d'un goût […] […] Lire la suite
LORENZO MONACO PIERO DI GIOVANNI dit (1370-apr. 1425)
Entré à vingt ans chez les Camaldules du couvent de Sainte-Marie-des-Anges, à Florence, Lorenzo Monaco épanouit son talent dans l'atelier d'enluminure qui fleurissait au monastère depuis le début du siècle. Mais le célèbre scriptorium n'était nullement fermé aux courants extérieurs : Lorenzo Monaco travaille sans doute avec Agnolo Gaddi, et ses premières enluminures (datées de 1394 et 1395) comme […] […] Lire la suite
MANTEGNA ANDREA (1431-1506)
La personnalité de Mantegna et son œuvre ont pris un relief et une importance exceptionnels : c'est Mantegna en effet qui, dans les villes de la vallée du Pô, a rompu définitivement avec le style gothique, toujours vivace en plein milieu du xv e siècle. Dès le début de sa précoce activité, l'artiste a pris position en faveur du renouveau et du progrès de la peinture. Jamais, au cours de sa longu […] […] Lire la suite
MASACCIO (1401-env. 1429)
Auteur d'un petit nombre d'œuvres, Masaccio représente dans la peinture ce bref moment de l'histoire de Florence au cours duquel, après la terrible crise de 1348 et la lente reprise de la seconde moitié du siècle, la ville est en train de devenir la capitale d'un État régional. Avec la conquête de Pise (1406), Florence réalise une aspiration séculaire et peut se donner l'illusion, pour la dernière […] […] Lire la suite
MELOZZO DA FORLI (1438-1494)
Disciple de Piero della Francesca, Melozzo da Forli, dont l'activité se partage entre Rome, les Marches (Urbin, Lorette) et la Romagne (Forli), transpose les figures monumentales, impassibles, de son maître dans un registre expressif et mouvementé d'un rare pouvoir émotionnel. L'ampleur des silhouettes dans le Christ bénissant du Quirinal (env. 1480), surtout dans les figures de Prophètes à San […] […] Lire la suite
MONTAGNA BARTOLOMEO (1450-1523)
Originaire de Brescia, Montagna fut à Vérone l'élève de Domenico Morone. Mais l'art de celui-ci, issu de Mantegna, est moins déterminant dans son œuvre que l'exemple d'Antonello de Messine. Montagna réagit en effet à la nouveauté que constitue l'espace unifié, la vue en perspective montante, l'enveloppe tonale de la Pala de San Cassiano comme le montre la Madone avec quatre saints (1480, musée d […] […] Lire la suite
PAYSAGE, peinture
Dans le chapitre « L'Europe » : […] L'Europe et le Proche-Orient ont eu une littérature érémitique et un culte des beautés naturelles comparables à ceux de l'Extrême-Orient. Cela est vrai si l'on en juge par la situation des plus anciens ermitages qui dominent de haut des groupes de montagnes et de vallées, des gorges et des forêts sauvages, des étendues d'eau. Toutefois, pendant tout le Moyen Âge européen, les éléments de paysage […] […] Lire la suite
PEINTURE Les catégories
Dans le chapitre « Définition » : […] Si le critère essentiel de la peinture monumentale est de faire partie du mur qu'elle décore, il n'en faut pas moins nuancer une telle affirmation : un grand tableau encastré dans une boiserie, un dessus de cheminée ne sont pas fondamentalement différents d'une peinture marouflée qui sera toujours tenue pour une peinture monumentale ; certaines peintures murales pompéiennes, de petite ou moyenne […] […] Lire la suite
PERSPECTIVE
Dans le chapitre « Théorie et pratique de la perspective pendant la Renaissance en Europe » : […] On reconnaît communément à la Renaissance italienne le mérite de la découverte des lois de la perspective : découverte révolutionnaire, qui non seulement transforme le cours des arts figuratifs, qu'elle soustrait aux méthodes artisanales et à la spatialité contradictoire du Moyen Âge – bidimensionnalité et perspective inversée byzantine, multiples variantes des schémas à axe de fuite, présentatio […] […] Lire la suite
PÉRUGIN (1448-1523)
« Perugino [...] è il meglio mastro d'Italia », écrit en 1500 Agostino Chigi, et il ne fait qu'exprimer une opinion répandue parmi les contemporains : c'est Pietro Vannucci, dit il Perugino , que le jeune Raphaël a choisi pour maître ; le pape, Ludovic le More, Isabelle Gonzaga font appel à lui ; il est si surchargé de travail qu'il a deux ateliers ( botteghe ), l'un à Pérouse, l'autre à Florenc […] […] Lire la suite
PIERO DELLA FRANCESCA (entre 1415 et 1420-1492)
Les artistes de la Renaissance aspiraient à donner une image rigoureusement parfaite de la réalité naturelle, qui soit capable de transmettre quelque chose de son origine divine. Piero della Francesca fut l'un des principaux partisans de cette idée. L'étude des mathématiques lui offrit le moyen d'atteindre la perfection des formes qu'il rendit solennelles et impassibles, en les géométrisant en fon […] […] Lire la suite
PIERO DI COSIMO (1461-env. 1521)
On ne sait presque rien sur la vie du peintre florentin Piero di Cosimo. Pourtant, parmi les figures du Quattrocento finissant, la sienne est l'une des plus présentes. Dans Le Vite , Vasari a réussi à dresser une image vivante et particulièrement convaincante de sa personnalité et de son art ; mais cette réussite même est gênante et risque, aujourd'hui encore, de voiler la vraie signification d'un […] […] Lire la suite
PINTURICCHIO BERNARDINO DI BETTO dit (1454-1513)
Pinturicchio travaillait à Pérouse avec Pérugin, lorsque Sixte IV, en 1481, appela celui-ci à participer au décor de la chapelle Sixtine, avec Luca Signorelli, Botticelli, Ghirlandaio, et Cosimo Rosselli, assisté de Piero di Cosimo. Pinturicchio y fait ses débuts sous la direction de son maître avec la Circoncision du fils de Moïse . Après l'achèvement de la chapelle, il demeure à Rome et peint l' […] […] Lire la suite
POLLAIUOLO ANTONIO BENCI dit (1432-1498)
Peintre, sculpteur , orfèvre et graveur, Antonio Pollaiuolo dirige à Florence, avec la collaboration de son frère Piero, un atelier très achalandé. Il exécute des portraits , des médailles, des statues pour les Médicis et l'aristocratie florentine, des fresques et des broderies pour les églises, des tombeaux pour les papes : Laurent de Médicis écrivait en 1489 que Pollaiuolo était « le principal m […] […] Lire la suite
POLLAIUOLO PIERO BENCI dit (1443-1496)
Peintre et sculpteur florentin. L'œuvre de Piero Pollaiuolo est difficile à distinguer de celle de son frère Antonio, dont il fut le collaborateur en peinture (fresque et retable de San Miniato, 1467 ; Tobie et l'Ange , pinacothèque de Turin) comme en sculpture ( Tombeau de Sixte IV et Tombeau d'Innocent VIII au Vatican). En 1469, le tribunal de la Mercanzia chargea Piero Pollaiuolo de peindre s […] […] Lire la suite
RECUEIL CROZAT, Pierre Jean Mariette Fiche de lecture
Dans le chapitre « Le rapport texte-image » : […] Le Recueil comprend deux tomes, le premier « contenant l'école romaine » parut en 1729, et le second, « contenant la suite de l'école romaine et l'école vénitienne », en 1742. Les deux tomes n'étaient qu'une partie d'un projet beaucoup plus vaste, jamais réalisé, consacré aux écoles italiennes de peinture, qui devait comprendre aussi l'école bolonaise, l'école florentine, l'école lombarde, l'écol […] […] Lire la suite
RENAISSANCE
Dans le chapitre « Peinture » : […] Si, en ce qui concerne le dessin de la figure humaine, la peinture pose des problèmes proches de ceux de la sculpture, elle affronte beaucoup d'autres questions. Tout d'abord, il est contraire à la vérité historique d'opposer la peinture flamande à la peinture toscane, bien qu'elles adoptent très fréquemment des positions différentes. Toutes deux recherchent, de la même façon, un plus grand réali […] […] Lire la suite
SIENNOISE ÉCOLE
Dans le chapitre « Du XIVe au XIXe siècle » : […] Les frères Lorenzetti moururent probablement tous les deux durant la peste de 1348 et leur disparition mit fin à la période la plus éclatante de l'école siennoise de peinture. Nombreux furent toutefois les artistes qui, pendant tout le xiv e siècle, reprirent et répandirent sous des formes originales les expériences et les réussites de ces deux maîtres, alors que d'autres se rattachèrent plutôt à […] […] Lire la suite
SIGNORELLI LUCA (1450 env.-1523)
La vigueur dans le traitement plastique de la forme et la violence dramatique du mouvement constituent l'essence du langage figuratif de Signorelli. Cet artiste vécut au moment où la Renaissance italienne traversait une crise profonde de la pensée et du goût. Son activité se situe en Toscane, dans les Marches, à Rome et en Ombrie ; elle témoigne d'une inspiration dramatique qui s'exprime avec une […] […] Lire la suite
TOSCANE
Dans le chapitre « La Florence de Laurent le Magnifique » : […] La grande époque de Florence c'est, selon la tradition historiographique, celle de Laurent de Médicis (1449-1492). Maître « magnifique » d'une cité pacifiée, poète et politique, il se voue aux arts et aux études humanistes, formé par Cristoforo Landino, Marsile Ficin et Leon Battista Alberti (1404-1472). Ce dernier, principalement architecte, mais aussi humaniste complet, laissa des traités qui c […] […] Lire la suite
TRAITÉ DE LA PEINTURE, Leon Battista Alberti Fiche de lecture
D'après des annotations autographes relevées sur des manuscrits, le Traité de la peinture de Leon Battista Alberti (1404-1472) fut achevé, dans sa rédaction latine, en août 1435 et, dans sa version italienne, en juillet 1436. Un groupe de manuscrits en latin comporte une dédicace à Gianfrancesco Gonzaga, marquis de Mantoue, et la version italienne contient en préliminaire une adresse élogieuse à […] […] Lire la suite
TURA COSMÈ (1430 env.-1495)
En 1449, Piero della Francesca et Rogier van der Weyden séjournent à Ferrare. Cosmè Tura, dont l'activité est attestée dès 1451, y connaît certainement leurs œuvres avant de partir pour Padoue, où il se fixe probablement jusqu'en 1456 et où il découvre Squarcione, Mantegna, Donatello. À partir de ces expériences, il élabore un style profondément original qui marquera à travers lui toute l'école fe […] […] Lire la suite
UCCELLO PAOLO (1397-1475)
Uccello est un peintre soucieux avant tout de pousser ses recherches dans une direction scientifique ; mais la science sur laquelle il s'appuie, l'optique de son temps, ou perspective , reste essentiellement psychologique ; son intellectualisme extrême l'amène à condenser, dans une exécution impeccable et avec un acharnement d'artisan poussé au paroxysme, des aspects de la réalité soigneusement in […] […] Lire la suite
VENEZIANO DOMENICO (1400 env.-1461)
Peintre vénitien. On ne sait quand Domenico quitta sa ville natale ni quels maîtres il y avait eus. C'est de Pérouse qu'il vint à Florence, en 1439, pour décorer le chœur de Sant'Egidio, avec divers collaborateurs, parmi lesquels Piero della Francesca. La destruction de ces fresques et de celles qu'il avait peintes auparavant chez les Baglione à Pérouse nous prive de précieux points de repère sur […] […] Lire la suite
VENISE
Dans le chapitre « La civilisation gothique » : […] Au xiv e siècle, la république de Venise dut mener énergiquement une double lutte : sur mer, contre sa rivale Gênes, qui entravait son commerce avec l'Orient, et, sur terre, contre les seigneuries limitrophes, qui pouvaient faire obstacle à sa vie économique et à ses exportations dans la vallée du Pô et en Europe. Mais des contacts plus étroits avec le continent et les annexions territoriales ult […] […] Lire la suite
Domenico Ghirlandaio, Adoration des bergers, 1485. Chapelle Sasseti, Santa Trinità, Florence.
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Antonello de Messine (1430-1479) : Autoportrait. National Gallery, Londres, Grande-Bretagne.
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Francesco LAURANA, Battista Sforza, marbre, h: 50 cm. Musée du Bargello, Florence, Italie.
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Andrea del Castagno (1421-1457), Boccace, fresque. Galleria degli Uffizi, Florence, Italie.
Crédits : Thekla Clark/ Summerfield Press/ Corbis/ Getty Images
Chapelle du palais, Medici-Riccardi, Michelozzo di Bartolomeo
Chapelle du palais Medici-Riccardi. Michelozzo di BARTOLOMMEO, architecte. Fresques de Benozzo GOZZOLI, 1459. Medici-Riccardi, Florence, Italie.
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Christ à la colonne, D. Bramante
Donato Bramante, Christ à la colonne. 1490 env. Huile sur bois, 93 cm X 62 cm. Pinacothèque de Brera, Milan, Italie.
Crédits : Luisa Ricciarini/ Bridgeman Images
Combat d'enfants, Giovanni di Ser Giovanni
Giovanni di Ser Giovanni, dit Scheggia (1406-1486), Combat d'enfants, 1450. Tempera sur bois, diamètre : 0,59 m. Palais Davanzati, Florence.
Crédits : A. Dagli Orti/ DeAgostini/ Getty Images
Antonello de Messine, Crucifixion, 1475. Détrempe sur bois, 52,5 cm × 42,5 cm. Musée royal des Beaux-Arts, Anvers.
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Dante Alighieri et les mondes de la Comédie, D. di Michelino
Domenico di Michelino, Dante Alighieri et les mondes de la Comédie. Fresque, 1465. Cathédrale de Santa Maria del Fiore, Florence.
Crédits : G. Nimatallah/ De Agostini/ Getty Images
Andrea del CASTAGNO, David. Détail d'un bouclier de parade, peinture sur cuir. National Gallery of Art, Washington, Etats-Unis.
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Détail de
Au plus près du tableau, le secret de l'œuvre. Cette approche a inspiré de maîtres livres. On la retrouve, sous une forme technologique, dans l'Art Project de Google. Ici, un détail de La Naissance de Vénus de Sandro Botticelli (1483-1485). Le tableau est exposé...
Crédits : Google Art Project
Filippino LIPPI, Discussion de saint Pierre avec Simon le Magicien et Crucifixion de saint Pierre, fresque. Chapelle Brancacci, Santa Maria del Carmine, Florence, Italie.
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Fra Angelico : Saint Dominique
Saint Dominique, fondateur de l'ordre dominicain, peint par Fra Angelico. «La Madone des ombres», fresque, vers 1450, détail. Museo di San Marco, Florence.
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Fresque du cycle de La Légende de la Vraie Croix, P. della Francesca
Piero della Francesca (entre 1415 et 1420-1492), Adoration de la Sainte Croix, à gauche, et La Rencontre de Salomon et de la reine de Saba, à droite, fresque du cycle de La Légende de la Vraie Croix. Chœur de San Francesco, Arezzo, Italie.
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Paolo Uccello (1397-1475), La Bataille de San Romano, 1455-1460. Huile sur toile, 182 cm X 323 cm. Musée des Offices, Florence, Italie.
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Domenico GHIRLANDAIO, La Cène, 1480, fresque. Ognissanti, Florence, Italie.
Crédits : Bridgeman Images
Réalisée à la suite d’une commande du duc de Milan, Ludovic Sforza, qui souhaitait faire de Santa Maria delle Grazie le mausolée de sa famille, La Cène connut une gestation difficile. De plus, la technique choisie par Léonard de Vinci, qui utilisa de la peinture...
Crédits : Universal History Archive/ Getty Images
Luca Signorelli (1450 env.-1523), La Cène, panneau de prédelle. Galleria degli Uffizi, Florence, Italie.
Crédits : Bridgeman Images
Andrea Mantegna (1431-1506), La Chambre des époux ,de 1467 à 1474. Palais ducal de Mantoue, Italie.
Crédits : Bridgeman Images
La Chambre des époux, A. Mantegna
Andrea Mantegna, La Chambre des époux. 1473. Fresque. 270 cm de diamètre. Palais ducal, Mantoue, Italie.
Crédits : M. Carrieri/ De Agostini/ Getty Images
Andrea Mantegna, «Rencontre entre Ludovico III Gonzague et son fils le cardinal Francesco, 1465-1474». Détail: vue de Mantoue avec des architectures romaines. Fresque à la détrempe. «La Chambre des époux», Palais ducal, Mantoue, Lombardie.
Crédits : Electa/ AKG-images
Léonard de Vinci (1452-1519), La Dame à l'hermine (Cecilia Gallerani), huile sur bois, 1488-1490. Musée de Cracovie, Pologne.
Crédits : Bridgeman Images
La Fête chez Hérode et la Décapitation de saint Jean-Baptiste, B. Gozzoli
Benozzo Gozzoli, La Fête chez Hérode et la Décapitation de saint Jean-Baptiste, 1461-1462. Tempera sur panneau, 23,8 cm x 34,5 cm. National Gallery of Art, Washington.
Crédits : Courtesy National Gallery of Art, Washington
Piero di Cosimo (1461 env.-1521),La Mort de Procris. Vers 1495. Huile sur bois. 65 cm X 184 cm. The National Gallery, Londres.
Crédits : Bridgeman Images
Fra Angelico (1400 env.-1455), La Nativité (avec sainte Catherine d'Alexandrie et saint Pierre le Martyr). Fresque, 1442. Museo di San Marco, Florence.
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Piero della Francesca, détail de «La Résurrection du Christ», vers 1460-1464. Fresque. Pinacoteca comunale, Sansepolcro.
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Piero di Cosimo (1461 env.-1521), La Sainte Face de Lucques. Musée des Beaux-Arts de Budapest.
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Giovanni Bellini (1425 env.-1516), La Transfiguration, panneau peint vers 1485. Musée de Naples, Italie.
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Masaccio (1401 env.-1429), La Trinité (avec la Vierge, saint Jean et les donateurs), fresque peinte en 1427-1428. Église Santa Maria Novella, Florence.
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Piero della Francesca, détail de «La Victoire de Constantin sur Maxence». Fresque appartenant au «Cycle de la légende de la Vraie Croix», vers 1457-1458. San Francesco, Arezzo.
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Luca Signorelli (1450 env.-1523), La Vie de saint Benoît, fresque. Cloître de l'abbaye de Monteolivetto Maggiore, près de Sienne, Italie.
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Domenico GHIRLANDAIO, détail d'une scène du cycle de La Vie de saint François d'Assise, 1485, fresque. Santa Trinità, chapelle Sassetti, Florence, Italie.
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Jacopo Bellini, La Vierge d'humilité adorée par Lionel d'Este. Vers 1470. Peinture sur bois, 60 cm × 40 cm. Musée du Louvre, Paris.
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Piero della Francesca, «L'Adoration de la Sainte Croix». Fresque appartenant au «Cycle de la Légende de la Vraie Croix», vers 1452-1459. San Francesco, Arezzo.
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Sandro Botticelli, L'Adoration des mages, 1475 env. Détrempe sur bois, 111 cm X 134 cm. Musée des Offices, Florence.
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Fra Angelico, «L'Annonciation», environ 1438-1445. Détail montrant la Vierge. Fresque du couvent San Marco, Florence.
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Masolino (1383 env.-env. 1440), Le Banquet d'Hérode, fresque. Baptistère de Castiglione d'Olona, Varèse, Italie.
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Piero della Francesca (entre 1415 et 1420-1492), Le Baptême du Christ, tempera sur panneau, vers 1450. National Gallery, Londres.
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Le Cardinal Bessarion devant le reliquaire donné à la Scuola della Carità de Venise, G. Bellini
Gentile BELLINI, Le Cardinal Bessarion devant le reliquaire donné à la Scuola della Carità de Venise, huile sur bois. Kunsthistorisches Museum, Vienne.
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Jacopo Bellini (1400-1470), Le Christ aux Enfers. Museo Bottacin e Museo Civico, Padoue, Italie.
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Antonello de Messine (1430-1479), Le Christ mort porté par un ange. Musée du Prado, Madrid.
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Fra Filippo Lippi, Le Couronnement de la Vierge, vers 1441. Détrempe sur bois. Musée des Offices, Florence, Italie.
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Giovanni Bellini (1425 env.-1516), Le Couronnement de la Vierge, panneau central du retable de Pesaro, peint de 1471 à 1474. Musée de Pesaro, Italie.
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Giambono, «Le Couronnement de la Vierge», 1447. Huile sur bois, 229 cm × 176 cm. Galleria dell'Accademia, Venise.
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Le grand-père et son petit-fils, Domenico Ghirlandaio
Domenico Ghirlandaio (1449-1494), Le Grand-père et son petit-fils,1488. Huile sur toile (H. 0,63 m ; L. 0,43 m). Musée du Louvre, Paris.
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Fra Angelico (1400 env.-1455), Le Jugement dernier. Museo di San Marco, Florence.
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Le Miracle du pied guéri, V. Foppa
Vicenzo Foppa, Le Miracle du pied guéri, vers 1468. Fresque. Chapelle Portinari, basilique Sant'Eustorgio, Milan.
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Vittore Carpaccio, «Le patriarche de Grado guérit un possédé», 1494. Détail. Huile sur toile, 365 cm × 389 cm. Galleria dell'Accademia, Venise.
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Sandro Botticelli, «Le Printemps», 1477-1478. Détail: Vénus. Détrempe sur bois, 203 cm × 314 cm. Galleria degli Uffizi, Florence.
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Gentile Bellini (1429-1507), Le Sultan Mahomet II, huile sur toile, 1480. National Gallery, Londres
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Filippino Lippi (1457?-1504), Le Triomphe de saint Thomas, 1488-1493, fresque. Chapelle Carafa, église Santa Maria sopra Minerva, Rome.
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Andrea Mantegna, «Ludovico Gonzague, duc de Mantoue, avec sa famille et la cour», 1465-1474. Détail: la comtesse Barbara de Brandebourg. Fresque à la détrempe. «La Chambre des époux», Palais ducal, Mantoue, Lombardie.
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Antonio POLLAIUOLO, Martyre de saint Sébastien, env. 1475, huile sur bois. National Gallery, Londres.
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Sandro Botticelli, «Minerve domptant Centaure», vers 1482. Huile sur bois, 207 cm × 148 cm. Galerie des Offices, Florence.
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Œuvre peint de Léonard de Vinci
L'œuvre peint de Léonard de Vinci. Dans la colonne « lieu », le point noir indique qu’il s’agit d’œuvres perdues ou ruinées.
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Ercole de ROBERTI, Pietà, huile et détrempe sur bois. Walker Art Gallery, Liverpool, Royaume-Uni.
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Filippino LIPPI, Portrait de jeune homme, National Gallery of Art, Washington, États-Unis.
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Piero di Cosimo, «Portrait de Simonetta Vespucci», vers 1475. Huile sur bois, 57 cm × 42 cm. Musée Condé, Chantilly.
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Antonello de Messine (1430-1479) : Portrait d'homme dit Le Condottiere, 1475. Musée du Louvre, Paris.
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Portrait d’un homme, A. Mantegna
Andrea Mantegna, Portrait d'un homme, vers 1470. Tempera transposée du panneau initial sur toile, puis sur isorel, 24,2 cm x 19,1 cm. National Gallery of Art, Washington.
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Andrea del Castagno (1421 env.-1457), Portrait équestre de Niccolo da Tolentino, 1456, fresque. Santa Maria del Fiore, Florence, Italie.
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Gentile Bellini (1429-1507), Procession sur la place Saint-Marc à Venise, huile sur toile, 1496. Galleria dell'Accademia, Venise.
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Vittore Carpaccio (1460 env.-1526), Rencontre à la porte Dorée, huile sur panneau. Galleria dell'Accademia, Venise.
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Stefano di Giovanni, dit Sassetta, «Saint Antoine distribue aux pauvres», 1440. Peinture sur bois, 47,5 cm × 34,5 cm. Collection Samuel H. Kress, National Gallery of Art, Washington.
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Botticelli, «Saint Augustin», 1480. Fresque. 152 cm ×112 cm. Ognissanti, Florence.
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Vittore Carpaccio (1460 env.-1526), Saint Augustin dans son cabinet de travail. Vers 1503. Huile sur toile. 143 cm X 162,5 cm. Scuola di San Giorgio degli Schiavoni, Venise.
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Paolo Uccello (1397-1475), Saint Georges et le dragon, huile sur toile, vers 1460. National Gallery, Londres.
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Antonello de Messine (1430-1479) : Saint Jérôme dans son cabinet de travail. National Gallery, Londres.
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«Saint Pierre en chaire», Masaccio et Masolino.
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Pietro Vannucci dit Pérugin (1448-1523), Saint Sébastien. Vers 1490. Huile sur bois. 176 cm X 116 cm. Musée du Louvre, Paris.
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Scènes de la vie de saint Benoît, L. Signorelli
Luca Signorelli, Scènes de la vie de saint Benoît, 1505-1508. Détail. Fresque. Cloître de l'abbaye de Monte Oliveto Maggiore, près de Sienne, Italie.
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Fra Filippo LIPPI, Vierge à l'Enfant avec deux anges, détrempe sur bois. Galleria degli Uffizi, Florence, Italie.
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Andrea Mantegna (1431-1506), La Vierge et l'Enfant entourés de six saints et adorés par Gian Francesco II Gonzaga, dite Vierge de la Victoire. 1495 ou 1496. Tempera, peinture à l'huile (?) sur toile. 258 cm X 168 cm. Musée du Louvre, Paris.
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Cosmè TURA, Vierge en trône, panneau central du Polyptyque Roverella, 1470-1474, tempera sur bois. National Gallery, Londres.
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Chapelle du palais, Medici-Riccardi, Michelozzo di Bartolomeo
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Combat d'enfants, Giovanni di Ser Giovanni
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Dante Alighieri et les mondes de la Comédie, D. di Michelino
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Fresque du cycle de La Légende de la Vraie Croix, P. della Francesca
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La Fête chez Hérode et la Décapitation de saint Jean-Baptiste, B. Gozzoli
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Le Cardinal Bessarion devant le reliquaire donné à la Scuola della Carità de Venise, G. Bellini
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Le grand-père et son petit-fils, Domenico Ghirlandaio
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Portrait d’un homme, A. Mantegna
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