NUTRITION HUMAINE
ACIDES GRAS INDISPENSABLES
On nomme acides gras indispensables (ou essentiels) les trois acides gras insaturés : acide linoléique, acide linolénique, acide arachidonique ; le nom de vitamine F est encore quelquefois employé pour désigner ces substances, mais à tort, car, d'une part, elles n'agissent qu'à des doses relativement élevées (de 2 à 4 grammes par jour pour un homme adulte) ; d'autre part, un tel apport quantitati […] […] Lire la suite
ALIMENTATION (Aliments) Classification et typologie
Dans le chapitre « Diversité des classifications » : […] Les objectifs poursuivis peuvent être très variables : éducation nutritionnelle, politique nutritionnelle, enquêtes épidémiologiques sur les liens entre alimentation et santé, régulation du commerce... En fonction de ces objectifs, différents types de critères, non obligatoirement exclusifs les uns des autres, entrent en ligne de compte pour classifier les aliments. – Des critères taxonomiques per […] […] Lire la suite
ALIMENTATION (Aliments) Prise alimentaire
Dans le chapitre « Les séquences de la prise alimentaire » : […] L' acte de se nourrir, obligatoire, est conditionné par des facteurs endogènes physiologiques, modulés par divers déterminants socioculturels et psychologiques, dont l'importance est majeure dans l'espèce humaine. Il a la particularité d'être discontinu alors que les besoins nutritionnels qu'il permet de satisfaire sont continus et s'intègre dans le cadre plus vaste du comportement alimentaire. La […] […] Lire la suite
ALIMENTATION (Aliments) Technologies de production et de conservation
Dans le chapitre « La qualité des aliments » : […] La qualité de l'aliment final est le mot clé qui sous-tend le recours et la mise en œuvre des procédés. C'est une notion que tout le monde comprend de manière intuitive, mais qui reste difficile à définir de manière universelle. Les progrès accomplis dans chaque champ de recherche produisent une connaissance de plus en plus complète et ramifiée pour le spécialiste, mais de plus en plus hermétique […] […] Lire la suite
ALIMENTATION (Économie et politique alimentaires) Enjeux de politiques publiques
Dans le chapitre « L'émergence de politiques nutritionnelles publiques » : […] L'acte fondateur de cette nouvelle orientation est une déclaration du Conseil des ministres de la Santé de l'Union européenne, en date du 14 décembre 2000, soulignant « que de nombreuses politiques communautaires, et notamment dans les domaines de la santé publique, de l'agriculture, de la pêche, de la recherche, des transports, de la protection des consommateurs et du marché intérieur, ont un tel […] […] Lire la suite
ALIMENTATION (Économie et politique alimentaires) Malnutrition dans le monde
Dans le chapitre « Besoins et régimes alimentaires » : […] Les humains, parce qu’ils sont omnivores, peuvent couvrir leurs besoins alimentaires avec une très grande variété de produits végétaux ou animaux. […] […] Lire la suite
AMINOACIDES INDISPENSABLES
Au début du xx e siècle, les recherches de Wilcock et de Hopkins montrèrent que certaines protéines (gélatine, zéine) sont incapables, malgré un apport azoté quantitativement suffisant, de maintenir l'équilibre nutritif de l'animal et d'assurer sa croissance. L'adjonction à ce régime de certains acides aminés, tel le tryptophane, améliore l'efficacité nutritive. De même, Osborne et Mendel montren […] […] Lire la suite
AVITAMINOSES
C’est en 1897 qu’un médecin hollandais, C. Eijkman a fait disparaître, à Java, chez les consommateurs de riz poli (dépourvu de l’enveloppe du grain), un syndrome neurologique appelé béri-béri, en introduisant dans leur alimentation du son de riz. Il avait préalablement guéri de même des pigeons nourris eux aussi de riz poli. Le son de riz contenait donc un facteur nutritionnel sans lequel apparais […] […] Lire la suite
BÉRIBÉRI
Affection carentielle due au déficit en thiamine (ou vitamine B 1 ), apparaissant surtout chez les populations dont l'aliment de base est le riz décortiqué. Les manifestations essentielles sont neurologiques (polynévrite) et cardiologiques (tableau progressif d'insuffisance cardiaque). Dans sa forme carentielle vraie, cette maladie est rare dans les pays développés ; mais la polynévrite et les myo […] […] Lire la suite
BOYD-ORR JOHN 1er baron (1880-1971)
Lauréat du prix Nobel de la paix en 1949, John Boyd-Orr fait autorité en matière de nutrition. Étudiant à l'université de Glasgow, il suit l'enseignement de la théologie avant de s'intéresser à la nutrition. En 1914, il devient directeur de l'Institut de nutrition animale de l'université d'Aberdeen, et fonde en 1929 le Bureau impérial de la nutrition animale à Rowett. Il s'illustre pour la premièr […] […] Lire la suite
CARENCES NUTRITIONNELLES
On parle de carence nutritionnelle quand le métabolisme cellulaire est insuffisamment alimenté en tel ou tel nutriment. À l'origine de cette insuffisance peuvent présider diverses causes : soit que l'alimentation ne comporte pas une quantité suffisante du nutriment en cause ( carence d'apport ) : le scorbut, par exemple, causé par l'absence de vitamine C dans le régime ; on en rapprochera les care […] […] Lire la suite
CROISSANCE, biologie
Dans le chapitre « Influence des troubles nutritionnels » : […] Le système endocrinien assure l'adaptation de la croissance à la disponibilité énergétique. En freinant la croissance lors de situations de carence nutritionnelle, l'organisme réussit à préserver les ressources énergétiques nécessaires aux fonctions métaboliques vitales et à l'activité cérébrale. À la limite, on pourrait considérer que le retard de croissance est le prix à payer pour permettre l […] […] Lire la suite
DÉNUTRITION
Dans le chapitre « Définition et étiologie » : […] Le syndrome de dénutrition doit être distingué d'une part des bas niveaux de nutrition, c'est-à-dire des situations dans lesquelles l'organisme est « adapté » à des ingesta réduits, d'autre part des déséquilibres nutritionnels, et enfin des maigreurs par excès des dépenses. Si paradoxal que cela puisse paraître, cette maladie vieille comme l'humanité commence à être étudiée seulement depuis la fin […] […] Lire la suite
DIGESTIF APPAREIL
L'appareil digestif est l'un des premiers à se différencier dans l'échelle animale puisqu'il existe déjà, sous forme d'un sac s'ouvrant à l'orifice buccal, chez les Cœlentérés. C'est aussi l'un des appareils dont la différenciation est la plus précoce au cours du développement d'un organisme, puisqu'il dérive de l'un des deux feuillets primitifs de l'embryon ; ce feuillet, nommé endoderme, appara […] […] Lire la suite
FER Rôle biologique du fer
Dans le chapitre « Le fer : ni trop, ni trop peu » : […] La quantité de fer présente à un moment donné dans un organisme doit être finement contrôlée, l'excès comme la carence pouvant avoir des conséquences néfastes. La carence en fer, dite carence martiale d'origine nutritionnelle, touche environ deux milliards d'individus dans le monde. Elle est à l'origine d'une anémie par insuffisance des apports en fer destinés à l'érythropoïèse, mais elle entraîn […] […] Lire la suite
GHRÉLINE
La ghréline est une hormone naturelle isolée de l'estomac de certains mammifères, dont l'homme, par l'équipe japonaise de Kosima ( Nature , n o 402, pp. 656-660, 1999). Lorsqu'on l'injecte par voie intraveineuse ou dans le ventricule cérébral, ce peptide relâche l'hormone de croissance, growth hormone, ou GH (d'où le GH de ghréline). La ghréline a ainsi rapidement montré son effet principal sur […] […] Lire la suite
GLUTAMATE DE SODIUM
Sel monosodique monohydraté de l'acide L(+) glutamique. Il augmente la saveur de nombreux aliments, les hydrolysats protéiques entre autres. Cette propriété, découverte en 1908 par le Japonais Ikeda Kikunae (1864-1936), le fait employer depuis lors comme arôme, en particulier dans des préparations pour bouillons de viande. La non-toxicité de cet édulcorant est contestée. Fréquemment utilisé dans l […] […] Lire la suite
LIPIDES
Dans le chapitre « Les lipides de réserve » : […] Les lipides de réserve sont représentés par les triglycérides des tissus adipeux. Ils sont d'origine alimentaire ou bien ils sont formés par l'organisme à partir des glucides, voire de certains acides aminés. Un excès d'apport alimentaire en lipides ou en glucides ainsi que certains troubles endocriniens sont susceptibles d'entraîner un accroissement des lipides de réserve. À l'inverse, en pér […] […] Lire la suite
MALADIES INFANTILES
Dans le chapitre « L'hygiène alimentaire infantile » : […] Si divers que soient les goûts et les traditions alimentaires, la prévention de l'anorexie et du conservatisme alimentaire passe par l'introduction d'une alimentation variée à côté de l'alimentation lactée, dès que cela est physiologiquement ou psychologiquement possible. Actuellement, rien ne s'oppose à ce que le nourrisson de six mois soit familiarisé avec l'alimentation par purées consistantes […] […] Lire la suite
MÉDECINE Médecine préventive
Dans le chapitre « Perspectives » : […] D'une manière globale, d'après les recommandations du département de la Santé américain et le Consensus européen pour la prévention contre l 'athérosclérose et le cancer, on admet que l'on peut réduire la fréquence de ces deux redoutables maladies par des mesures relativement simples. La suppression du tabac doit réduire considérablement les accidents cardio-vasculaires, mais aussi les cancers d […] […] Lire la suite
MICROBIOME HUMAIN
Dans le chapitre « Conséquences du déséquilibre entre populations bactériennes » : […] Dans une optique darwinienne simple, on peut penser que, puisque le microbiote intestinal (dont il va surtout être question ici) est différent des divers mondes bactériens (du corps et de l’environnement) qui l’entourent, c’est qu’il a été sélectionné d’une façon ou d’une autre sur la base de sa relation avec l’hôte et des conditions propres à cet écosystème. S’il en est ainsi, à quoi sert-il ? D […] […] Lire la suite
NUTRITION
Dans le chapitre « Nutrition humaine » : […] Comme les autres êtres vivants, l'homme manifeste des besoins nutritionnels de deux ordres : structuraux pour la constitution de ses cellules, énergétiques pour l'exercice de ses activités végétatives et relationnelles. Hétérotrophe, il trouve dans les aliments que fournit son environnement les composés organiques hydrocarbonés et azotés (végétaux et animaux) dont il a besoin ; mais des composés […] […] Lire la suite
NUTRITION ARTIFICIELLE
Moins connue que l'hémodialyse, les greffes d'organe ou l'implantation de stimulateurs cardiaques, la nutrition artificielle – mieux nommée encore assistance nutritive – n'en est pas moins à mettre au tableau d'honneur des grands acquis thérapeutiques. Elle permet, chez l'adulte comme chez l'enfant, de suppléer un intestin défaillant, de mettre au repos un intestin inflammatoire, de corriger une […] […] Lire la suite
OLIGOÉLÉMENTS
Dans le chapitre « Maladies de carence » : […] Dans la nutrition des plantes, les oligoéléments indispensables peuvent, au même titre que les autres éléments indispensables, se comporter en facteurs limitants . L'absence ou l'insuffisance d'un oligoélément se traduit par un défaut de croissance ou de développement qui peut s'accompagner de symptômes spécifiques de carence lorsque celle-ci est provoquée à l'état pur sur un milieu synthétique (c […] […] Lire la suite
PHYTIQUE ACIDE
Extrait par Palladin, en 1891, de diverses graines et étudié par Winterstein qui, en 1897, montra qu'il s'agit d'un sel double de calcium et de magnésium dont l'hydrolyse libère un polyol cyclique, le méso-inositol, l'acide phytique est donc l'ester hexa-orthophosphorique du méso-inositol. L'acide phytique est le constituant phosphoré le plus abondant des végétaux ; il est localisé exclusivement d […] […] Lire la suite
PROTÉINES DE L'ALIMENTATION HUMAINE
Dans le chapitre « Valeur alimentaire des protéines » : […] L'azote apporté par les aliments est ensuite incorporé dans des protéines et dans d'autres substances azotées indispensables. On estime à environ 56 grammes par jour le besoin de protéines pour un homme de 70 kilos (0,8 g par kilo et par jour ; 0,73 pour une femme). Pour un nourrisson, l'apport indispensable (dit de sécurité) monte à plus de 2,5 g par kilo et par jour. Pour un enfant de 10 à 12 a […] […] Lire la suite
RATION ALIMENTAIRE
La ration alimentaire représente la quantité d'aliments à ingérer chaque jour pour couvrir la totalité des dépenses et assurer l'équilibre nutritif de l'individu. Cela constitue l'aspect quantitatif du problème, et à chaque aliment correspond une valeur énergétique qui doit désormais être exprimée en kilojoules (kJ) mais qui reste souvent encore évaluée en kilocalories (kcal). Une kilocalorie équi […] […] Lire la suite
SCORBUT
Affection carentielle due au déficit en acide ascorbique (ou vitamine C), facteur vitaminique des fruits (et légumes) frais, très sensible à la chaleur, à l'action des alcalins et à l'oxydation. La maladie se manifeste par une atteinte gingivo-dentaire, par des lésions cutanées ecchymotiques et par une altération de l'état général. Rare actuellement dans les pays développés, à l'exception de quelq […] […] Lire la suite
VÉGÉTARISME
Dans le chapitre « Le végétarisme de l'ère industrielle » : […] La littérature et les projets de réforme inspirés de l'idéal végétarien prennent une nouvelle vigueur au xix e siècle, période de fondation de la plupart des sociétés végétariennes. Les mouvements de dissidence chrétienne et de réforme sanitaire que l'on voit s'épanouir au xix e siècle prennent probablement leur source à la Renaissance, puis dans le romantisme, en particulier le romantisme allem […] […] Lire la suite
VIEILLISSEMENT
Dans le chapitre « Troubles nutritionnels » : […] En amont de la digestion, le traitement des aliments que nous ingérons est susceptible d'être affecté par le vieillissement en raison des altérations des moyens qui y sont impliqués, dentaires, musculaires (mastication, déglutition, transit intestinal) chimiques (enzymes digestives). L'odorat et le goût, facteurs importants de l'appétit, se détériorent. La muqueuse gastrique s'atrophie avec l'âge […] […] Lire la suite
VITAMINES
Nos connaissances sur les vitamines, molécules organiques indispensables au métabolisme cellulaire, micronutriments indispensables car non synthétisés par la plupart des animaux, n'ont progressé, à titre biomédical et expérimental, qu'avec retard par rapport à nos connaissances sur les macronutriments (glucides, protéines, lipides). Les maladies par carence vitaminique ont affecté les premiers […] […] Lire la suite
VITAMINES (repères chronologiques)
1897 C. Eijkman prouve que le béri-béri est un syndrome carentiel. 1909 F. G. Hopkins et W. Stepp découvrent la vitamine A (rétinol). 1910 C. Funk isole le facteur antibéribérique et l’appelle vitamine en raison de la présence d’un radical aminé dans cette molécule organique. 1922 E. V. McCollum découvre un facteur antirachitique, la vitamine D. 1922 H. Evans et K. Bishop trouvent la vitamine […] […] Lire la suite
Besoins de l'enfant et de l'adulte en acides aminés indispensables (en mg/kg/jour). Le besoin a deux justifications: renouvellement des protéines (entretien) chez l'adulte et croissance chez l'enfant.
Crédits : Encyclopædia Universalis France
Les régimes alimentaires dans le monde
Les six grands types de régimes alimentaires dans le monde ont été établis à partir des données de la FAO et portent sur 119 pays représentant 99,6 p. 100 de la population mondiale. Chaque type de régime porte le nom de l'aliment (ou des aliments) fournissant la plus grande...
Crédits : Encyclopædia Universalis France
Apports nutritionnels recommandés
Macronutriments et micronutriments représentés sur une échelle logarithmique. Les apports nutritionnels par jour recommandés pour l'homme adulte standard (25-50 ans, 70 kg, dépense énergétique 2 400 kcal, lipides 30 % énergétiques) vont du µg (vitamine B12) à plus de 50 g...
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Besoins énergétiques de l'homme
Crédits : Encyclopædia Universalis France
Fréquence de la malnutrition protéo-énergétique bénigne et grave. Compilation d'enquêtes nutritionnelles de 1963 à 1973 (d'après J. M. Bengoa et G. Donoso, « Bull. PAG », vol. IV, n° 1, 1978).
Crédits : Encyclopædia Universalis France
État nutritionnel et conditions socio-économiques
La composition (en pourcentage énergétique) du régime alimentaire de l'homme et son apport énergétique dépendent fondamentalement de son pouvoir d'achat. Aux faibles revenus est associé un apport insuffisant et déséquilibré par manque de protéines animales (an). Aux revenus...
Crédits : Encyclopædia Universalis France
Flux de matière et d'énergie chez l'homme adulte
En état d'équilibre stationnaire, le flux de matière et d'énergie chez l'homme adulte consomme 350 litres d'oxygène par jour et produit 250 litres de dioxyde de carbone et 0,5 litre d'eau.
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Homme adulte : apport et dépense énergétiques
Exemple d'équilibre entre l'apport énergétique et la dépense énergétique d'un homme adulte (par jour, en kilocalories).
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Légumes : composition nutritionnelle
Composition nutritionnelle d'un légume (source : J.-Y. Péron, 2006).
Crédits : Encyclopædia Universalis France
Maladies digestives constituant les principales indications à la nutrition artificielle prolongée, par voie parentérale, à l'hôpital.
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La malnutrition de l'homme, généralement associée à une alimentation insuffisante, a des causes multiples, principalement d'ordre socio-économique.
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Métabolisme protéique de l'homme
Métabolisme protéique de l'homme adulte. Les protéines de l'organisme humain sont synthétisées à partir des acides aminés exogènes apportés par les aliments et des acides aminés endogènes provenant de la dégradation des protéines cellulaires. Chez l'homme adulte, la synthèse...
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Nutriments apportés par voie parentérale ou latérale
Nature des nutriments (macronutriments et micronutriments) devant être apportés en nutrition artificielle prolongée, par voie parentérale ou entérale (pour certains minéraux, pour les oligo-éléments et les vitamines, les troubles liés à une carence chronique en nutriments...
Crédits : Encyclopædia Universalis France
Nutrition artificielle : accès veineux
Principaux accès vasculaires pour les cathéters de nutrition parentérale prolongée : A, voie jugulaire interne avec trajet sous-cutané préthoracique, la plus utilisée ; B, voie sous-clavière avec trajet sous-cutané préthoracique ; C, voie jugulaire interne avec trajet sous-cutané...
Crédits : Encyclopædia Universalis France
Nutrition parentérale chez l'enfant
Principales indications à la nutrition parentérale chez l'enfant (d'après C. Ricour, in Bibliographie).
Crédits : Encyclopædia Universalis France
Nutrition: régime alimentaire du Français
Le régime alimentaire du Français est excessif dans son apport énergétique et déséquilibré, trop riche en lipides et en protéines d'origine animale (an) relativement à l'origine végétale (vg) et en sel.
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Renouvellement des protéines corporelles
Le renouvellement des protéines corporelles implique le recyclage des acides aminés ; un quart seulement provient des protéines alimentaires. L'homme adulte synthétise 3 grammes de protéines par kilogramme et par jour (le nouveau-né, 18g/kg/jour). Le bilan entrée-sorties est équilibré.
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Vitamines et minéraux : apport journalier
Apport recommandé en micronutriments, vitamines et minéraux, par jour.
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Principaux sites et voies d'administration de la nutrition entérale.
Crédits : Encyclopædia Universalis France