MOMENT CINÉTIQUE ou MOMENT ANGULAIRE
ATOME
Dans le chapitre « Atome et spectroscopie » : […] L'étude des spectres des éléments et des corps composés constitue la source essentielle des informations sur la structure quantique des atomes et des molécules. Cette étude repose sur la détermination de la fréquence des raies spectrales qui correspondent à des transitions entre états quantiques, à quoi s'ajoutent la détermination de l'intensité des raies et la considération des règles de sélect […] […] Lire la suite
GYROSCOPES & GYROMÈTRES
Dans le chapitre « Gyroscopes « 1 axe » » : […] Les gyroscopes 1 axe sont essentiellement constitués : – d'une toupie t tournant autour d'un axe Δ ; l'entraînement est en général effectué par un moteur électrique ; l'ordre de grandeur du moment cinétique obtenu est de 10 -3 à 10 -1 kg.m 2 /s ; – d'un élément de cardan A (anneau ou carter) reliant Δ au boîtier de l'appareil, par l'intermédiaire de l'axe de sortie S ; – d'un détecteur d'écart […] […] Lire la suite
MAGNÉTISME
Dans le chapitre « Le moment magnétique atomique ou ionique » : […] La mécanique quantique nous apprend que, le plus souvent, le moment cinétique total d'un atome ou d'un ion libre est la somme vectorielle ℏ J du moment cinétique orbital ℏ L des électrons, provenant de leur mouvement autour du noyau, et de leur moment cinétique de spin ℏ S , provenant de leur rotation sur eux-mêmes : h = 2π ℏ est la constante de Planck tandis que J , L et S sont caractéris […] […] Lire la suite
PARTICULES ÉLÉMENTAIRES Bosons
Dans le chapitre « L'interaction photon-particule » : […] En théorie quantique, l'interaction de la matière avec le champ électromagnétique est décrite en termes d'absorptions, d'émissions ou de diffusions de photons. Ainsi l'effet photoélectrique, qui correspond à l'ionisation d'un atome sous l'action d'un champ électromagnétique de fréquence ν, est-il le résultat de l'absorption d'un photon d'énergie h ν par l'atome qui est porté de son niveau fondame […] […] Lire la suite
PLANÉTAIRES SYSTÈMES
Dans le chapitre « Accrétion par décélération rotatoire du Soleil » : […] Aucun astrophysicien ne peut prétendre disposer d'un modèle évolutif couvrant 4,5 milliards d'années (l'âge estimé du système solaire), capable de rendre compte de toutes les propriétés mécaniques et physico-chimiques des planètes, de leurs satellites, des astéroïdes et des comètes, telles qu'elles sont connues aujourd'hui. Faute d'une approche globale, les astronomes sont contraints d'identifier […] […] Lire la suite
SPIN ou MOMENT CINÉTIQUE ou ANGULAIRE INTRINSÈQUE
Dans le chapitre « Spin et rotations » : […] Commençons par insister sur le fait que le spin d'un quanton doit être dégagé des représentations cinématiques classiques, et ne saurait être conçu comme lié à un mouvement de rotation propre au sens usuel du terme. D'ailleurs, il est clair qu'un corps de masse m et de rayon caractéristique R , puisque les vitesses linéaires sont bornées par la vitesse limite c , ne saurait prendre un moment angu […] […] Lire la suite
TERRE La planète Terre
Dans le chapitre « Historique » : […] Les théories de l'origine du système solaire ont évolué en fonction même de nos connaissances. Dans la période la plus ancienne, il s'agit d'expliquer les propriétés mécaniques du système solaire : révolution dans le même sens de toutes les planètes autour du Soleil, révolution dans le même sens de la majorité des satellites, distribution des orbites dans l'espace au voisinage du même plan, rotat […] […] Lire la suite
TROUS NOIRS
Dans le chapitre « Physique des trous noirs » : […] Les propriétés physiques des trous noirs sont si déroutantes qu'elles ont longtemps nui à leur crédibilité. En réalité, elles découlent des lois de la relativité générale poussées à la limite des champs gravitationnels très forts, avec pour conséquence les distorsions les plus spectaculaires de l’espace-temps. Ainsi, à proximité d'un trou noir, l'espace est fortement déformé. Un astronaute qui s' […] […] Lire la suite
VÉNUS, planète
Dans le chapitre « L'atmosphère » : […] L'atmosphère de Vénus , très massive puisque la pression au sol (de 92 à 95 × 10 3 hPa) est près de cent fois supérieure à la pression terrestre, est essentiellement constituée de dioxyde de carbone CO 2 (96,5 p. 100). C'est en 1932 que le CO 2 fut identifié pour la première fois par observation de bandes d'absorption dans le proche infrarouge. D'autres éléments furent ensuite détectés par spec […] […] Lire la suite