ONGANÍA JUAN CARLOS (1914-1995)
ARGENTINE
Dans le chapitre « L'échec : la « révolution » militaire de juin 1966 » : […] Il ne s'agit pas, cette fois, d'assurer la gestion du pays, de procéder à une remise en ordre et de créer ainsi les conditions favorables au fonctionnement normal des institutions consacrées par la tradition juridique argentine, comme ce fut le cas en 1955-1958 et en 1962-1963, mais bien d'instaurer un nouveau système politique qui ne recherche sa légitimité que dans le soutien officiel des forces […] Lire la suite