JOLIOT-CURIE IRÈNE (1897-1956)
CURIE LES
Dans le chapitre « Transmutations artificielles, radioactivité artificielle » : […] Les progrès effectués dans la connaissance du noyau atomique furent ainsi toujours liés à l'observation des transmutations radioactives, qui fournirent en outre, avant l'invention des grands accélérateurs, des particules de haute énergie capables de pénétrer dans les noyaux et d'y apporter des perturbations. Ainsi E. Rutherford, dès 1919, en bombardant de l'azote avec des particules α, avait obte […] […] Lire la suite
DE LA RADIOACTIVITÉ À LA FISSION DE L'ATOME (repères chronologiques)
1896 Après la découverte des rayons X par le physicien allemand Wilhelm C. Röntgen en 1895, de nombreux savants recherchent des sources naturelles de rayons X. Le physicien français Henri Becquerel découvre fortuitement que des sels d'uranium émettent des rayons nouveaux, qu'il appelle « uraniques ». 1897 Joseph J. Thomson et divers savants britanniques, allemands et néerlandais (dont P. Zeeman […] […] Lire la suite
JOLIOT-CURIE FRÉDÉRIC (1900-1958)
Physicien français, né et mort à Paris. Ingénieur de l'École de physique et de chimie industrielles de la Ville de Paris, où il reçut l'enseignement de Paul Langevin, Jean Frédéric Joliot décide de se consacrer à la recherche scientifique et entre en 1925 à l'Institut du radium, dirigé par Marie Curie, dont il épouse, en 1926, la fille Irène . Enseignant à l'école d'électricité industrielle Charli […] […] Lire la suite
RADIOACTIVITÉ
Dans le chapitre « La découverte de la radioactivité » : […] En 1895, Wilhelm C. Röntgen remarque que le verre du tube cathodique qu'il utilise pour ses expériences émet un rayonnement invisible capable d'impressionner une plaque photographique. Il nomme rayons X ce rayonnement étrange. Il présente sa nouvelle découverte à l'Académie des sciences de Paris en janvier 1896. Henri Poincaré est très intéressé par ce phénomène et demande à Henri Becquerel d'étu […] […] Lire la suite
Imagerie médicale : les découvreurs de la radioactivité artificielle
Frédéric et Irène Joliot-Curie, dans leur laboratoire, étudient des composés radioactifs. Ces derniers serviront bientôt à la visualisation, à l'échelle microscopique, des constituants profonds du corps humain.
Crédits : Collection Guy Pallardy
Les Français Irène et Frédéric Joliot-Curie, dans leur laboratoire de physique nucléaire, en 1938.
Crédits : Fox Photos/ Getty Images