ICOSAÈDRE
AGRÉGATS, physico-chimie
Dans le chapitre « Structure atomique » : […] Si N est petit (inférieur à 10), la recherche des structures stables utilise les méthodes de calcul de la chimie quantique. On trouve souvent des configurations linéaires ou planes tant que N est inférieur ou égal à 4 et polytétraédriques au-delà. Pour de plus grandes valeurs de N, le seul cas bien connu est celui où les forces interatomiques sont centrales et additives : c'est le cas des liaisons […] […] Lire la suite
BORE
Le bore est l'élément chimique de symbole B et de numéro atomique Z = 5. Bien que sa chimie soit mal connue et en pleine évolution, les emplois de ses dérivés sont anciens, nombreux et importants. Au début du Moyen Âge, on importait en Europe du borax, venu des Indes, sous des noms (d'origine arabe ?) tels que « tincar », « tinckal »... Vers 1500, ce produit est appelé (origine perse) « baurach » […] […] Lire la suite
QUASI-CRISTAUX
Dans le chapitre « Modélisation des structures quasi périodiques » : […] Si les propriétés structurales paradoxales des quasi-cristaux (réflexions de Bragg et symétries non cristallines) n'ont pas découragé les physiciens de la matière condensée, c'est en partie grâce à des travaux mathématiques réalisés dans les années 1970. Le mathématicien Roger Penrose a montré en effet que l'on peut construire des pavages du plan non périodiques et de symétrie pentagonale en util […] […] Lire la suite
Structure icosaédrique du bore et de certains de ses dérivés.
Crédits : Encyclopædia Universalis France
L'icosaèdre d'une couche comporte 13 atomes dont l'un se trouve au centre et les 12 autres sur chaque sommet. De tels icosaèdres peuvent s'interpénétrer, l'atome placé au centre de l'un étant en même temps sur l'un des sommets de l'autre. Un modèle d'agrégat présentant...
Crédits : Encyclopædia Universalis France
Icosaèdre aluminium-cuivre-lithium
Monograins facettés de phase icosaédrique aluminium-cuivre-lithium dont la forme correspond à celle du triacontraèdre. Les grains montrés en encart sont, de gauche à droite, orientés suivant un axe de symétrie d'ordre 2 et un axe d'ordre 3.
Crédits : Encyclopædia Universalis France
Structure icosaédrique multicouches
Dans la structure icosaédrique multicouche, les couches s'emboîtent les unes dans les autres à la manière des poupées russes. Le dessin montre la position des atomes de la troisième couche. La symétrie d'ordre 5 est visible autour de chaque sommet (A. L. Mackay, Grande-Bretagne).
Crédits : Encyclopædia Universalis France