DURETÉ
ACIER Technologie
Dans le chapitre « Aciers résistants à l'abrasion. Aciers à coupe rapide » : […] Ces aciers doivent être considérés comme travaillant à chaud par suite de l'échauffement produit par le frottement du copeau sur l'arête de l'outil de coupe. La température atteint alors, et peut dépasser, 500 0 C. Des additions de tungstène, molybdène et vanadium leur donnent à la fois la résistance à l'échauffement et, par la formation de carbures très durs, la résistance à l'abrasion. Une add […] […] Lire la suite
ALLIAGES
Dans le chapitre « Alliages métalliques industriels » : […] Après ces considérations générales, nous pouvons maintenant nous intéresser à des alliages industriels. Les plus utilisés sont les aciers, qui présentent une palette particulièrement riche de produits, depuis ce qu'il est convenu d'appeler, plus ou moins péjorativement, la ferraille, jusqu'aux aciers inoxydables, en passant par les maragings , mis en œuvre pour des usages tels que les pièces soumi […] […] Lire la suite
CORINDON
Oxyde d'aluminium, le corindon se présente en cristaux prismatiques, en tonnelets à faces finement striées, en fuseaux (icosaèdres aigus) ou en prismes aplatis (formes tabulaires). Il se caractérise par sa grande dureté (9), à peine inférieure à celle du diamant qui est le minéral le plus dur avec un indice de 10. Il est surtout connu pour ses variétés gemmes, colorées et transparentes : le rubis […] […] Lire la suite
MATIÈRE (physique) État solide
Dans le chapitre « Liaisons et propriétés physiques » : […] Le mode de liaison influe naturellement sur la température de fusion, sur la dureté ou sur les conductivités électrique et thermique. Plus l'énergie de liaison est élevée, plus il est difficile de détruire l'ordonnancement des atomes. De ce point de vue, la liaison de Van der Waals est la moins forte et cela explique les faibles températures de fusion des solides de gaz rares (84 kelvins pour l’a […] […] Lire la suite
MÉTALLOGRAPHIE Essais mécaniques
Dans le chapitre « Dureté » : […] La dureté d'un métal est la résistance qu'il oppose à la pénétration d'un autre corps plus dur que lui, ou encore la résistance à une déformation permanente de sa surface. L'essai de dureté consiste à exercer, sur un poinçon appelé pénétrateur et appliqué sur la surface de l'échantillon, une force constante pendant un temps donné. Le pénétrateur provoque à la surface du matériau une déformation pe […] […] Lire la suite
MOLYBDÈNE
Dans le chapitre « Importance pratique dans les aciers et les fontes alliés » : […] Une ou plusieurs des actions du molybdène convenablement dosées sont utilisées afin d'obtenir les caractéristiques désirées. Dans les aciers de construction, le molybdène est surtout ajouté pour obtenir l'aptitude à la trempe et éviter la fragilité de revenu. La très haute résistance des aciers du type Maraging est obtenue après un vieillissement qui provoque une précipitation de composés intermé […] […] Lire la suite
QUASI-CRISTAUX
Dans le chapitre « Propriétés physiques des quasi-cristaux » : […] Les études des propriétés physico-chimiques des quasi-cristaux ont pris un réel essor avec la fabrication de mono-quasi-cristaux de grande taille par des techniques de croissance cristallines standard (croissance de types Bridgman et Czochralsky). Des mono-quasi-cristaux icosaédriques de plusieurs centimètres ont été obtenus dans le système aluminium-palladium-manganèse. De même que leur structur […] […] Lire la suite
Acier trempé : dureté et teneur en carbone
La figure montre la variation de dureté de l'acier trempé en fonction de la teneur en carbone. On voit que la dureté est aussi accrue, dans une certaine mesure, par les éléments d'alliages.
Crédits : Encyclopædia Universalis France
Aciers au chrome et aciers ordinaire : dureté
Pour une même température de revenu, les aciers au chrome gardent une dureté très supérieure aux aciers ordinaires.
Crédits : Encyclopædia Universalis France
Duretés comparées de divers matériaux.
Crédits : Encyclopædia Universalis France
L'essai Jominy consiste à refroidir un cylindre de l'acier étudié par un jet d'eau calibré sur la face inférieure du cylindre. La dureté est ensuite mesurée le long des génératrices du cylindre.
Crédits : Encyclopædia Universalis France