CONFIGURATION ÉLECTRONIQUE
ALLIAGES
Dans le chapitre « Modélisation des alliages » : […] Le problème permanent des métallurgistes est l'impossibilité, encore quasi totale, de prévoir théoriquement et économiquement un diagramme d'équilibres de phases. Les diagrammes connus ont tous été établis d'abord expérimentalement, en mettant les composants en contact et en suivant leur évolution au moyen de techniques diverses. L'exemple de la figure , dans laquelle les pointillés traduisent l' […] Lire la suite☛ http://www.universalis.fr/encyclopedie/alliages/#i_44013
ATOME
Dans le chapitre « Atome et classification périodique » : […] Le Hamiltonien d'un atome à Z électrons peut être écrit sous une forme approximative telle que ses fonctions propres – les orbitales atomiques – soient déterminées par les quatre nombres quantiques de chaque électron A : Si un tel atome se trouve à l'état fondamental, tous ses électrons doivent être dans un état dont l'énergie est la plus basse possible. La spectroscopie montre que l'état fondamen […] Lire la suite☛ http://www.universalis.fr/encyclopedie/atome/#i_44013
ATOMIQUE PHYSIQUE
Dans le chapitre « La structure dite « grossière ». Le tableau périodique » : […] Le premier problème auquel ont été confrontés les physiciens atomistes a été de chercher à résoudre l'équation de Schrödinger pour un système formé de N électrons soumis à la force coulombienne attractive du noyau et à la force coulombienne répulsive qui s'exerce entre chaque paire d'électrons. Il n'existe pas de solution exacte à un aussi formidable problème, et toute l'intelligence des physici […] Lire la suite☛ http://www.universalis.fr/encyclopedie/physique-atomique/#i_44013
AZOTE
Dans le chapitre « Structure électronique de l'azote et de ses composés » : […] L' atome d'azote, qui se place en tête de la colonne V du tableau périodique de Mendeleïev, correspond à une configuration 1 s 2 2 s 2 2 p 3 . Le diagramme de corrélation électronique de la molécule N 2 est donc caractérisé par l'occupation des niveaux σ ( s ), σ⋆( s ), σ( p z ), π( p x ) et π( p y ), à l'exclusion de tout niveau π⋆ ; cette propriété explique que l'enthalpie de dissociation soit […] Lire la suite☛ http://www.universalis.fr/encyclopedie/azote/#i_44013
CARBONE
Dans le chapitre « L'atome » : […] Il résulte de son numéro atomique que le cortège électronique de l'atome de carbone correspond, dans son minimum d'énergie, au symbolisme : 1 s 2 , 2 s 2 , 2 p 2 , c'est-à-dire que la couche la plus profonde des électrons (couche K) est complète avec deux électrons et que quatre électrons sont sur la couche externe L. Deux de ces électrons occupent l'orbitale 2 s , les deux autres occupant chacun […] Lire la suite☛ http://www.universalis.fr/encyclopedie/carbone/#i_44013
CINÉTIQUE CHIMIQUE
Dans le chapitre « Les molécules activées » : […] L' état normal d'une molécule correspond à la structure et à la configuration électronique conduisant à l'énergie la plus faible. Si un électron, qui dans l'état stable occupe une certaine orbitale, est promu sur une orbitale de plus haute énergie, la molécule sera activée, c'est-à-dire moins stable ou plus réactive. Ainsi l'oxygène peut exister sous plusieurs formes activées ; alors que la forme […] Lire la suite☛ http://www.universalis.fr/encyclopedie/cinetique-chimique/#i_44013
COORDINATION (chimie) - Composés de coordination
Dans le chapitre « Ion métallique central » : […] Si l'on considère qu'un simple modèle électrostatique rend compte des interactions cation-coordinat(s), les constantes de stabilité pour des ions de même charge sont inversement proportionnelles au rayon ionique de l'ion métallique : plus le rayon ionique est petit, plus le complexe est stable. En outre, les stabilités sont d'autant plus importantes que l'ion métallique central est chargé ; c'est […] Lire la suite☛ http://www.universalis.fr/encyclopedie/coordination-chimie-composes-de-coordination/#i_44013
DEBYE PETER JOSEPH WILLEM (1884-1966)
Dans le chapitre « Dispersion des rayons X et configuration électronique » : […] En se fondant sur la théorie de W. H. et W. L. Bragg sur la réflexion des rayons X par les cristaux, selon laquelle le processus dépend de la distance des plans réticulaires intracristallins et qui donne un moyen de calculer la disposition des atomes dans les cristaux, Debye et B. Scherrer, en 1916, étendirent la méthode à l'analyse des poudres et l'appliquèrent en 1918 à la détermination de la c […] Lire la suite☛ http://www.universalis.fr/encyclopedie/peter-joseph-willem-debye/#i_44013
ÉTAIN
Dans le chapitre « Découverte et définition » : […] Les combinaisons organostanniques appartiennent à la famille des composés organo-métalliques, composés renfermant au moins une liaison métal-carbone ; dans le cas de l'étain, cette liaison est surtout covalente, mais l'électropositivité du métal se manifeste par une réactivité particulière. Le premier organostannique fut décrit dès 1849 et, depuis lors, de très nombreux travaux ont été consacrés à […] Lire la suite☛ http://www.universalis.fr/encyclopedie/etain/#i_44013
LANTHANE ET LANTHANIDES
Dans le chapitre « Configurations électroniques » : […] Les propriétés des terres rares sont intimement liées à leurs configurations électroniques (tabl. 6 ). Celles des atomes neutres sont [Xe]6s 2 4f N +1 , [Xe] représentant la configuration électronique à couches complètes du xénon. N , le nombre d'électrons 4f, varie de 0 à 14 avec le numéro atomique croissant de l'élément. Toutefois, les configurations de La, Gd et Lu, sont différentes : [Xe]6s 2 […] Lire la suite☛ http://www.universalis.fr/encyclopedie/lanthane-et-lanthanides/#i_44013
MAGNÉTOCHIMIE
Dans le chapitre « Complexes de coordination » : […] L'étude des complexes des métaux de transition offre une des plus intéressantes applications du magnétisme à l'étude des structures. Ces complexes peuvent être considérés comme formés par la fixation sur un atome ou un ion métallique central de molécules ou d'ions auxquels on donne le nom de ligands ou plus rarement de coordinats . Lorsque le couplage entre les ligands et cet ion central est su […] Lire la suite☛ http://www.universalis.fr/encyclopedie/magnetochimie/#i_44013
MÉTAUX - Métaux de transition
Dans le chapitre « Propriétés atomiques » : […] Les éléments de transition se caractérisent par une participation des orbitales d à la liaison chimique. Cette définition englobe donc tous les atomes et les ions qui possèdent une sous-couche d incomplète : 3 d du scandium au cuivre, 4 d de l'yttrium à l'argent et 5 d du lanthane à l'or. Le remplissage progressif des sous-couches 4 f et 5 f conduit aux séries des « éléments de transitio […] Lire la suite☛ http://www.universalis.fr/encyclopedie/metaux-metaux-de-transition/#i_44013
OXYGÈNE
Dans le chapitre « Structure de la molécule d'oxygène » : […] Si la configuration 1 s 2 2 s 2 2 p 4 est la plus stable qui soit pour les huit électrons de l'oxygène atomique, la structure électronique du dioxygène n'a été définie qu'en 1931 par Linus Pauling. En effet, la répartition des électrons doit tenir compte de l'énergie de dissociation (491,15 kJ/mole), de la distance interatomique (0,1207 nm), de la forte réactivité chimique et surtout du param […] Lire la suite☛ http://www.universalis.fr/encyclopedie/oxygene/#i_44013
PHOSPHORE
Dans le chapitre « L'atome de phosphore » : […] L'atome de phosphore a pour symbole P. Ses numéro et masse atomiques sont respectivement 15 et 30,973 762 (31). On lui connaît vingt-trois isotopes, l'isotope 31 P qui est stable et vingt-deux isotopes radioactifs, de 24 P à 30 P et de 32 P à 46 P, dont les principaux sont présentés dans le tableau 1 . L'isotope 32 P est utilisé comme traceur en physico-chimie et en biologie à la fois pour sa duré […] Lire la suite☛ http://www.universalis.fr/encyclopedie/phosphore/#i_44013
STÉRÉOCHIMIE - Stéréochimie inorganique
Dans le chapitre « Isomérie électronique » : […] Les isomères électroniques sont des composés qui présentent un comportement magnétique anormal. Ils sont soit « à spin faible », soit « à spin élevé ». La configuration de l'ion métallique est en d 4 , d 5 , d 6 , d 7 pour un octaèdre régulier, ou en d 8 pour un octaèdre déformé. Par exemple, pour le fer (III), de configuration d 5 , dans le composé Fe(S 2 CNR 2 ) 3 , on a, soit un système à spi […] Lire la suite☛ http://www.universalis.fr/encyclopedie/stereochimie-stereochimie-inorganique/#i_44013
TABLEAU PÉRIODIQUE DES ÉLÉMENTS
La classification périodique des éléments organise tous les éléments chimiques dans un tableau composé de dix-huit colonnes (ou groupes) et de sept lignes (ou périodes). Ils sont classés d’une part par numéro atomique (Z) croissant : un nombre entier, compris entre 1 et 118, qui indique le nombre de protons que compte chaque atome de l’élément et qui correspond également au nombre de ses électro […] Lire la suite☛ http://www.universalis.fr/encyclopedie/tableau-periodique-des-elements/#i_44013
VALENCE, chimie
Dans le chapitre « Caractère virtuel de la valence » : […] La mise en évidence de l' électron et la construction des modèles planétaires de l'atome par Joseph John Thomson, Ernest Rutherford et Niels Bohr conduisirent les théoriciens à considérer la valence comme l'expression chimique de propriétés électriques des atomes. Walther Kossel pouvait ainsi, en 1915, énoncer que « chaque élément successif [de la classification périodique] renferme un électron e […] Lire la suite☛ http://www.universalis.fr/encyclopedie/valence-chimie/#i_44013
Orbitales moléculaires
L'atome est constitué d'un noyau et d'un ou plusieurs électrons gravitant sur des orbites (ou couches électroniques) plus ou moins éloignées La première orbite est nommée s pour sharp, allusion à la largeur des raies spectroscopiques Sur cette couche gravite un électron, ou deux au maximum...
Crédits : Encyclopædia Universalis France