MÉSOPOTAMIEN ART
MÉSOPOTAMIE L'art
La naissance des cités, au IVe millénaire, marque le terme d'une évolution qui voit le passage d'une organisation villageoise de la société, établie sur une vie agricole et pastorale, à une structure sociale complexe, reflet d'une économie fondée pour une grande part sur des apports extérieurs, et destinée davantage à une élite qu'aux besoins élémentaires de petites communau […] […] Lire la suite
UN NOUVEL ART IMPÉRIAL MÉSOPOTAMIEN (repères chronologiques)
Vers — 2550 Étendard d'Ur (The British Museum, Londres) : panneau de mosaïque en coquille, lapis-lazuli et calcaire rouge qui décrit, parmi d'autres thèmes, une scène de victoire, motif récurrent de la civilisation mésopotamienne, apparemment sans lien dans cette œuvr […] […] Lire la suite
AKKAD
Dans le chapitre « La production artistique » : […] L'art offre plus d'originalité que l'organisation économique, et nous devons regretter que notre documentation se réduise à des trouvailles de hasard (pour une bonne part, le butin d'un roi d'Élam récupéré à Suse par les archéologues français). Il y a, en effet, un progrès énorme de la période du Dynastique archaïque à l'époque d'Akkad. On l'explique souvent par le triomphe des pasteurs sémitiques […] […] Lire la suite
ASSYRIE
Dans le chapitre « Le second empire assyrien (IXe-VIIe s.) » : […] Les Araméens de Haute-Mésopotamie finissent par se fixer dans les villes, et leurs frères, nomades à peine sortis du désert, préfèrent se diriger vers la Babylonie mal défendue ; le peuple assyrien profite alors du relâchement de ses ennemis pour passer à son tour à l'offensive. Il avait déjà manifesté sa dureté au xiii e siècle, mais il a maintenant deux siècles d'insécurité à venger. Ses campag […] […] Lire la suite
ASSYRO-BABYLONIENNE RELIGION
Dans le chapitre « Les lieux de culte » : […] Les lieux de culte mésopotamiens occupent en surface un quartier important de la cité ; outre les nombreux bâtiments administratifs, souvent aussi vastes que ceux du palais, ils comportent trois éléments culturels proprement dits : la ziqqurrat, les temples, l'esplanade. La tour à étages, que les Mésopotamiens désignaient par le substantif siqqurratu , dérivé de la racine sqr , « être haut », est […] […] Lire la suite
BANQUET À LA TREILLE
Dernier panneau d'une grande composition sculptée, réalisée vers — 640, qui met en scène la campagne d'Assourbanipal, souverain assyrien, contre l'Élam dans la salle S du palais Nord de Ninive, la capitale : les premiers panneaux décrivent avec précision la bataille et les déportations de prisonniers (The British Museum, Londres). Ce tableau évoque, comme une conclusion logique, le banquet au cour […] […] Lire la suite
BRITISH MUSEUM, Londres
Situé à Londres, dans le district de Bloomsbury (arrondissement de Camden), le British Museum est conçu comme un musée universel de par la pluralité de ses collections. Il possède des collections exceptionnelles, notamment pour ce qui concerne les civilisations grecque et égyptienne. Fondée par le Parlement en 1753, cette institution reposait à l'origine sur trois collections : celles de sir Hans […] […] Lire la suite
DAME D'URUK
Visage féminin trouvé en fouilles sur le site d'Uruk (Warka, Irak). Daté de — 3000 il appartenait à une statue composite dont l'âme était sans doute en bois (musée de Bagdad). Taillée dans un marbre blanc très fin, haute d'une vingtaine de centimètres, cette tête était destinée à recevoir une coiffure en métal précieux, des incrustations – coquille pour la cornée et lapis-lazuli pour l'iris – dans […] […] Lire la suite
EBIH-IL
La statue d'Ebih-il, intendant du royaume mésopotamien de Mari, trouvée dans les ruines du temple d'Ishtar, est une œuvre exceptionnelle datant du milieu du III e millénaire (musée du Louvre, Paris). Taillé dans un très bel albâtre, le personnage, haut de 52,5 cm, est assis sur un tabouret en osier ; torse nu, mains réunies à la hauteur de la poitrine selon l'attitude habituelle de l'adorant, il […] […] Lire la suite
GLYPTIQUE
Dans le chapitre « Les civilisations du bassin mésopotamien » : […] Les civilisations antiques du bassin mésopotamien taillèrent, dès le V e millénaire avant J.-C., les premiers cachets et les premiers cylindres-sceaux. Les gemmes primitives des Sumériens avaient des formes diverses, sphériques ou fusiformes, tels des cailloux roulés. Les formes cylindriques et conoïdes n'apparurent que quand la glyptique atteignit à sa perfection. Les plus anciens cachets étaien […] […] Lire la suite
HARPE ANGULAIRE
Dans la harpe angulaire, qui est une des principales variétés de harpe, le manche forme un angle net avec le résonateur ou la caisse de résonance. Les représentations les plus anciennes de harpes angulaires proviennent de Mésopotamie vers 2000 avant Jésus-Christ. En Égypte, plus particulièrement, et en Mésopotamie, cette harpe se jouait verticalement, tenue par la partie inférieure du manche ; les […] […] Lire la suite
JARDINS De l'Antiquité aux Lumières
Dans le chapitre « L'art des jardins avant Rome » : […] L'existence des jardins suppose celle d'une agriculture déjà maîtresse de ses techniques, des hommes capables d'imposer à la nature une fécondité qui ne lui est pas toujours donnée. Il semble que le « jardin » soit né en Mésopotamie, plus de trois mille ans avant notre ère, lorsque l'acclimatation du palmier permit de ménager des zones de végétation. Là, il devenait possible de limiter l'évaporat […] […] Lire la suite
MARI, site archéologique
Dans le chapitre « Les habitants de Mari » : […] En dehors du monde du palais, nous savons peu de choses des habitants de Mari. Dès 2500 av. J.-C., ils portent des noms sémitiques. Plusieurs dizaines de statuettes, brisées par les soldats d'Akkad en 2300 av. J.-C., représentent des personnalités en prière, membres de la famille royale, fonctionnaires, prêtres et prêtresses. La majorité des statuettes ne portent pas d'inscriptions et sont représ […] […] Lire la suite
MÉSOPOTAMIE L'archéologie
Dans le chapitre « L'unification de la Mésopotamie » : […] Ces riches cités furent unifiées, vers 2340 avant J.-C., en un État militaire fondé par le Sémite Sargon d' Akkad. La recherche archéologique n'a pas encore réussi à identifier sa capitale, mais l'art royal de l'époque, retrouvé sur de nombreux sites mésopotamiens, illustre la naissance d'une véritable propagande au service du souverain. Sur la pierre, la victoire royale devient le thème presque […] […] Lire la suite
PEINTURE DE L'INVESTITURE
Peu de peintures murales ont été retrouvées au Proche-Orient, ce qui donne toute son importance au tableau dit de l' Investiture retrouvé sur le mur méridional de la cour du Palmier du palais de Mari. Cette œuvre est datée vers — 1820-— 1800. Alors que le mode d'expression habituel de l'art mésopotamien s'apparente au système des registres superposés où les scènes sont juxtaposées, la Peinture de […] […] Lire la suite
PEINTURE MÉSOPOTAMIENNE (repères chronologiques)
VII e millénaire avant J.-C. Les plus anciennes peintures murales ayant décoré l'intérieur de maisons ont été découvertes à Chatal Hüyük en Anatolie. Vers — 3000 Le côté du podium adossé au mur du temple de tell Uqair est orné de deux léopards peints. — 2000 Les peintures de la salle 132 (chapelle de la déesse Ishtar) du palais de Mari construit à l'époque des Shakkanakku témoignent de l'imp […] […] Lire la suite
PERSE Arts
Dans le chapitre « L'art des Perses » : […] Cyrus II fit de sa capitale moins une ville qu'un vaste jardin arrosé par des canaux délimitant des parterres que dominaient deux palais construits successivement. Ce n'étaient pas des résidences, mais des salles d'apparat à fenêtres hautes, destinées aux audiences royales et amplifiées par des portiques moins hauts, permettant d'accueillir en outre la masse du peuple perse répandue alentour. Ces […] […] Lire la suite
SCULPTURE EN PIERRE EN MÉSOPOTAMIE (repères chronologiques)
VII e -VI e millénaire avant J.-C. Outre les figurines modelées en argile, des statuettes taillées dans la pierre apparaissent à Chatal Hüyük (Anatolie) et à tell es-Sawwan (Mésopotamie), ainsi que des masques funéraires en pierre (grotte de Nahal Hemar, Hébron, Palestine). Fin du V e -début du IV e millénaire avant J.-C. Transformation des sociétés villageoises et amorce du processus d'urbani […] […] Lire la suite
STÈLE DE NARÂM-SÎN
Trouvée à Suse, où elle avait été transportée comme butin après un raid réussi du roi de Suse Shutruk-Nahhunté contre Sippar au xii e siècle avant notre ère, cette stèle qui date des environs de — 2250 est une création exceptionnelle de l'art akkadien par sa forme ogivale, par la qualité de son bas-relief et par sa composition en deux parties (musée du Louvre). Le thème de la victoire était déjà […] […] Lire la suite
SUMER
Dans le chapitre « Civilisation et art » : […] Même si le foyer sumérien était cantonné en un secteur assez restreint, son influence avait débordé bien au-delà des frontières d'une région. Des sculptures découvertes à Assur auraient pu sortir tout aussi bien d'Ur ; un gros vase en stéatite recueilli à Mari, orné de l'aigle léontocéphale, ferait songer irrésistiblement aux produits d'Obeid, tellement l'inspiration est identique, mais tout auta […] […] Lire la suite
ZIGGOURAT
Monument caractéristique de la civilisation mésopotamienne, la ziggourat se présente sous la forme d'une tour à plusieurs étages, dont la finalité est religieuse (le terme est dérivé du verbe saqaru , « être haut »). On fixe généralement son apparition à l'époque de la III e dynastie d'Ur (env. ~ 2100/2000). Durant les II e et I er millénaires, chaque ville un peu importante de la Mésopotamie […] […] Lire la suite
ZIGGOURAT D'UR
C'est sous le roi Ur-Nammu d'Ur que sont érigées en Mésopotamie méridionale les premières ziggourats. Depuis longtemps les Mésopotamiens construisaient des terrasses sur lesquelles ils élevaient un temple, mais celles-ci étaient simples et ne servaient, semble-t-il, qu'à exhausser le niveau pour que le temple soit au-dessus des habitations. La ziggourat fait intervenir un autre principe constructi […] […] Lire la suite
ZIGGOURATS (repères chronologiques)
V e millénaire avant J.-C. Les premiers temples sur terrasse apparaissent avec les niveaux XI-VI d'Eridu ; il se pourrait que l'élévation n'ait été due en un premier temps qu'à la présence de décombres qui étaient systématiquement nivelés lors de chaque reconstruction car on ne pouvait pas les enlever en raison de leur caractère sacré. Fin du IV e -début du III e millénaire avant J.-C. Les tem […] […] Lire la suite
Banquet à la treille, art assyrien
Le roi Assourbanipal fête sa victoire sur les Élamites. Bas-relief provenant de la salle S du palais nord de Ninive. Vers 640 avant J.-C. Albâtre. Hauteur: 55 cm. Largeur: 139 cm. British Museum, Londres.
Crédits : W. Forman/ AKG-images
Bijoux sumériens (vers 2500 av. J.-C.) en or et lapis-lazuli, provenant d'une tombe de la nécropole royale d'Ur, en Mésopotamie. Ashmolean Museum, Oxford, Grande-Bretagne.
Crédits : Bridgeman Images
Cachet montrant un héros combattant un taureau ailé
ART DU PROCHE-ORIENT, empire néo-babylonien, 626-539 avant J.-C., Cachet montrant un héros combattant un taureau ailé, pierre bleue. Musée du Louvre, Paris.
Crédits : Erich Lessing/ AKG-images
Code des lois de Hammourabi, détail. Stèle en basalte. Musée du Louvre, Paris.
Crédits : A. Dagli Orti/ De Agostini/ Getty Images
Dragon décorant la porte d'Ishtar à Babylone
Dragon décorant la porte d'Ishtar à Babylone. Briques moulées et émaillées. Empire néo-babylonien, règne de Nabuchodonosor II, 604-562 avant J.-C. Musée archéologique, Istanbul.
Crédits : P. Hofmeester/ Shutterstock
Ebih-il l'Intendant de Mari. Vers 2400 av. J.-C. Albâtre, yeux en coquille et en lapis-lazuli. Hauteur: 52,5 cm, largeur : 20,6 cm, profondeur : 30 cm. Musée du Louvre, Paris.
Crédits : A. Dagli Orti/ De Agostini/ Getty Images
Façade de la salle du trône du palais de Nabuchodonosor II à Babylone
ART DU PROCHE-ORIENT, empire néo-babylonien, 612-539 avant J.-C. Façade de la salle du trône du palais de Nabuchodonosor II à Babylone, briques moulées et émaillées. Staatliche Museen, Berlin.
Crédits : Erich Lessing/ AKG-images
ART DU PROCHE-ORIENT, Babylone, époques séleucide et parthe, Figurines féminines, albâtre et rubis. Musée du Louvre, Paris.
Crédits : Erich Lessing/ AKG-images
Statuette assise de Gudéa, prince de Lagash, dédiée au dieu Ningishzida. Diorite noire. Hauteur : 46 cm ; largeur : 33 cm, profondeur : 22,5 cm. Époque néo-sumérienne. Vers 2120 avant J.-C. Provenance : Tello (ancienne Girsu), Mésopotamie. Musée du Louvre, Paris.
Crédits : G. Dagli Orti/ De Agostini/ Getty Images
Gula, déesse de la Médecine avec son molosse
ART DU PROCHE-ORIENT, période kassite, 1525-début du XIIe siècle avant J.-C., Kudurru au nom du roi Nazimarutash : Gula, déesse de la Médecine, avec son molosse - Borne provenant du temple de Marduk à Babylone, calcaire. Musée du Louvre, Paris.
Crédits : Erich Lessing/ AKG-images
Kudurru de Meli-Shipak II commémorant un don de terre à son fils Marduk-Apla-Iddina. Époque kassite, règne de Meli-Shipak (1186-1172 av. J.-C.). Découvert à Suse où il avait été emporté en butin de guerre au XIIe siècle avant J.-C. Calcaire. Musée du...
Crédits : Erich Lessing/ AKG-images
La déesse Ishtar, terre cuite, époque babylonienne, vers 1700 av. J.-C. Musée du Louvre, Paris.
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Fragment du bas-relief de la fileuse. Mastic de bitume. Hauteur : 9,3 cm. Période néo-élamite, VIIIe-VIIe siècle av. J.-C. Musée du Louvre, Paris.
Crédits : Bridgeman Images
La reine Napir-asu, épouse du roi d'Élam Untash-Napirisha, fondateur de la ville de Dur-Untash (Tchoga Zanbil), située à une trentaine de kilomètres au sud-est de Suse, Iran. La statue, découverte à Suse, est en bronze. Musée du Louvre, Paris.
Crédits : Bridgeman Images
Le roi babylonien Nabu-Apal-Iddin est présenté au dieu Shamash
ART DU PROCHE-ORIENT, Babylonie, IXe siècle avant J.-C., Le roi babylonien Nabu-Apal-Iddin, introduit par le grand prêtre et suivi par la déesse, est présenté au dieu Shamash, moulage. Musée des Antiquités orientales, Istanbul.
Crédits : Erich Lessing/ AKG-images
Les peuples vaincus apportent leur tribut au roi assyrien Salmanasar III
ART DU PROCHE-ORIENT, empire néo-assyrien, Xe siècle-612 avant J.-C., Détail de l'"Obélisque noir" de Salmanasar III, roi du Nouvel Empire assyrien : les peuples vaincus apportent leur tribut, albâtre noir. The British Museum, Londres.
Crédits : Erich Lessing/ AKG-images
Cette sculpture de l'intendant de Mari Ebih-il a été découverte dans le temple d'Ishtar lors des fouilles d'André Parrot en 1934-1935. Vers 2400 av. J.-C. Albâtre, yeux en coquille et en lapis-lazuli. Hauteur : 52,5 cm, largeur : 20,6 cm, profondeur : 30 cm. Musée du Louvre, Paris.
Crédits : De Agostini Picture Library/ Getty images
Mélishipak II, roi de Babylone, présente sa fille à Nanaï, déesse de la Santé
ART DU PROCHE-ORIENT, période kassite, 1525-début du XIIe siècle avant J.-C., Kudurru de Mélishipak II, présentant sa fille à Nanaï, déesse de la Santé (début du XIIe siècle av. J.-C.) - Borne trouvée à Suse, calcaire. Musée du Louvre, Paris.
Crédits : Erich Lessing/ AKG-images
ART DU PROCHE-ORIENT, empire paléo-babylonien, règne de Hammourabi, env. 1792-1750 avant J.-C., Orant de Larsa - Ex-voto dédié au dieu Amourrou pour la vie de Hammourabi (env. 1760 avant J.-C.), bronze et feuille d'or. Musée du Louvre, Paris.
Crédits : Erich Lessing/ AKG-images
Peinture dite de l'Investiture, Mari, Syrie
Peinture dite de l'Investiture, mur méridional de la cour du Palmier ou cour 106, palais de Mari. Dans le panneau central, on reconnaît, au registre inférieur, le thème des déesses au vase jaillissant et, au registre supérieur, la déesse Ishtar faisant toucher au roi l'anneau...
Crédits : Musée du Louvre/ Studio Racault-M. Minetto
Plaque de conjuration contre la Lamashtu, dite « plaque des Enfers ». Mésopotamie, époque néo-assyrienne, début du Ier millénaire avant J.-C. Bronze. Hauteur : 13,80 cm ; largeur : 8,80 cm ; profondeur : 2,50 cm. Musée du Louvre, Paris.
Crédits : Erich Lessing/ AKG-images
Le roi Ur-Nanshe, fondateur de la Ire dynastie de Lagash, vers 2500 avant J.-C., accomplit les rituels de fondation royale d'un temple (portage du couffin de briques et libation) sur le registre du haut, et préside le banquet en l'honneur de la construction sur...
Crédits : The Art Archive/ Musée du Louvre/ Dagli Orti/ Picture Desk
Cette plaque de calcaire, fixée à l'origine sur le mur d'un temple comme l'indique le trou qui la transperce, a été découverte à Tello, l'ancienne Girsu, ville sainte du pays de Lagash. C'est l'un des premiers exemples d'inscription royale sumérienne. Elle représente le...
Crédits : The Art Archive/ Musée du Louvre/ Dagli Orti/ Picture Desk
Située au nord, la porte d'Ishtar était l’accès principal de la ville, car elle marquait l'entrée de la grande voie processionnelle, Aibur-Shabu. Chaque année la statue du dieu Marduk empruntait ce passage pour se rendre dans un temple hors...
Crédits : Bridgeman Images
Portrait funéraire d'un Élamite, provenant de Suse, en Iran. Musée du Louvre, Paris.
Crédits : Bridgeman Images
Prêtre en prière devant les symboles des dieux Marduk et Nabu
Le temple consacré à Nabu, dieu de l’écriture et des scribes et fils du dieu Marduk, était le lieu où le nouveau souverain recevait ses insignes royaux. La coutume voulait aussi que les apprentis scribes déposent à son entrée une de leurs tablettes d'exercice, ...
Crédits : Erich Lessing/ AKG-images
Sceau-cylindre, en chorite, de Shar-kali-sharri (vers 2300-2150 av. J.-C.) roi d'Akkad, à droite. À gauche, son empreinte. Le cartouche est flanqué de deux buffles, la scène domine un fleuve. Musée du Louvre, Paris.
Crédits : Bridgeman Images
Sceau-cylindre et son empreinte
ART DU PROCHE-ORIENT, période kassite, 1525-début du XIIe siècle avant J.-C., Sceau-cylindre et son empreinte : taureaux dressés contre des arbres, calcaire. Musée du Louvre, Paris.
Crédits : Erich Lessing/ AKG-images
ART DU PROCHE-ORIENT, Mésopotamie, début du IIe millénaire avant J.-C., Scène érotique - Bas-relief provenant de Tello, terre cuite. Musée du Louvre, Paris.
Crédits : Erich Lessing/ AKG-images
Soldats face à une forteresse, palais de Salmanasar III
Soldats face à une forteresse. Bandeaux de portes du palais de Salmanasar III à Imgur-Enlil (Balawat, Irak). Bronze, vers 840 avant J.-C. Musée des Antiquités orientales, Bagdad. British Museum, Londres.
Crédits : Erich Lessing/ AKG-images
Statuette d'Ilmeshar, le héraut. Hauteur : 34 cm. Cachette du temple du Seigneur du pays. Photo P. Butterlin, mission archéologique française de Mari.
Crédits : P. Butterlin/ Mission archéologique française de Mari
Statuettes d'Eshnunna (env. 2775-2650 av. J.-C.)
Statues d'orants trouvées au cours des fouilles de Tell Asmar, l'antique Eshnunna des Sumériens. Oriental Institute, University of Chicago.
Crédits : Courtesy of the Oriental Institute, the University of Chicago
Statuettes d’Ilmeshar in situ, Mari
Statuettes d’Ilmeshar, découvertes dans le temple du Seigneur du pays où il est vénéré. IIIe millénaire avant notre ère. Mission archéologique française de Mari.
Crédits : P. Butterlin/ Mission archéologique française de Mari
Cette stèle célèbre la victoire de Narâm-Sîn (2254 env.-2218), roi d'Akkad, sur les Lullubi, montagnards du Zagros. Calcaire gréseux. Hauteur: 200 cm. Musée du Louvre, Paris.
Crédits : Bridgeman Images
Stèle du code de Hammourabi, roi de Babylone
Stèle trouvée à Suse, portant le Code de Hammourabi , 282 lois du souverain. Le sommet de la stèle est orné d'un bas-relief: le roi reçoit du dieu Shamash les symboles du pouvoir. Règne de Hammourabi (1792-1750). Basalte noir. Hauteur: 2,225 mètres. Musée du Louvre, Paris.
Crédits : Art Media/ Heritage-Images
Tête de dragon, art assyro-babylonien
Le dragon est le symbole du dieu Marduk, le dieu le plus important du panthéon assyro-babylonien. Bronze. Vers 800-600 avant J.-C. Musée du Louvre, Paris.
Crédits : Bridgeman Images
Tête présumée de Sargon d'Akkad-Naram-Sin
Tête présumée de Sargon d'Akkad (Naram-Sin), ou Sargon l'Ancien. Début du IIe millénaire avant J.-C. Découvert à Ninive dans le temple d'Ishtar. Bronze, 36 cm × 20 cm. Musée d'Irak, Bagdad.
Crédits : Erich Lessing/ AKG-images
Tête royale provenant de Ninive
Cette effigie royale trouvée à Ninive représente soit Sargon (2340-2284), soit Naram-Sin (2260-2223), souverains de l'empire d'Agadé (Akkad). Le traitement précis d'un certain nombre de traits du visage semble indiquer qu'il s'agit bien ici d'un portrait. Vers 2250 avant...
Crédits : Courtesy of the Directorate General of Antiquities, Baghdad, Iraq
Victoire du roi Assourbanipal sur Babylone
ART DU PROCHE-ORIENT, empire néo-assyrien, Xe siècle-612 avant J.-C., Décor du palais du roi Assourbanipal, dernier des grands souverains assyriens, à Ninive : bas-relief représentant sa victoire sur Babylone, gypse. The British Museum, Londres.
Crédits : Erich Lessing/ AKG-images
Lit miniature modelé, art sumérien
Lit miniature modelé, symbole de fertilité. Terre cuite, vers 2000 avant J.-C. Musée d'Irak, Bagdad.
Crédits : Erich Lessing/ AKG-images
Lyre sumérienne, tombeau de Puabi, Ur
Tête de taureau ornant le pommeau d'une lyre. L'instrument fait partie du trésor du tombeau de la reine ou prêtresse Puabi. Art sumérien, Ur, vers 2500 avant J.-C. British Museum, Londres.
Crédits : Erich Lessing/ AKG-images
Musicien jouant de la harpe, Babylone
Musicien jouant de la harpe. Relief en terre cuite, vers 1900 avant J.-C. Département des Antiquités orientales, musée du Louvre, Paris.
Crédits : Erich Lessing/ AKG-images

Cachet montrant un héros combattant un taureau ailé
Crédits : Erich Lessing/ AKG-images
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Façade de la salle du trône du palais de Nabuchodonosor II à Babylone
Crédits : Erich Lessing/ AKG-images
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Le roi babylonien Nabu-Apal-Iddin est présenté au dieu Shamash
Crédits : Erich Lessing/ AKG-images
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Les peuples vaincus apportent leur tribut au roi assyrien Salmanasar III
Crédits : Erich Lessing/ AKG-images
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Mélishipak II, roi de Babylone, présente sa fille à Nanaï, déesse de la Santé
Crédits : Erich Lessing/ AKG-images
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Peinture dite de l'Investiture, Mari, Syrie
Crédits : Musée du Louvre/ Studio Racault-M. Minetto
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Plaque votive d'Ur-Nanshe
Crédits : The Art Archive/ Musée du Louvre/ Dagli Orti/ Picture Desk
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Plaque votive d'Ur-Nanshe
Crédits : The Art Archive/ Musée du Louvre/ Dagli Orti/ Picture Desk
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Prêtre en prière devant les symboles des dieux Marduk et Nabu
Crédits : Erich Lessing/ AKG-images
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Soldats face à une forteresse, palais de Salmanasar III
Crédits : Erich Lessing/ AKG-images
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Statuette d’Ilmeshar, Mari
Crédits : P. Butterlin/ Mission archéologique française de Mari
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Statuettes d'Eshnunna (env. 2775-2650 av. J.-C.)
Crédits : Courtesy of the Oriental Institute, the University of Chicago
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Statuettes d’Ilmeshar in situ, Mari
Crédits : P. Butterlin/ Mission archéologique française de Mari
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