ALCALINS
MÉTAUX - Métaux alcalins
Les métaux alcalins – lithium, sodium, potassium, rubidium, césium et francium – constituent les éléments de la première colonne du tableau de classification périodique. Ils doivent leur nom à la propriété qu'ils ont de donner avec l'eau d […] Lire la suite
AFRIQUE (Structure et milieu) - Géologie
Dans le chapitre « Le Magmatisme intraplaque » : […] Au cours des temps phanérozoïques, l'Afrique a été le lieu d'un magmatisme intraplaque bien développé, surtout entre les bassins (R. Black, J. Lameyre & B. Bonin, 1985). En particulier, des intrusions alcalines forment des complexes annulaires spectaculaires dont l'âge varie entre 560 et 25 Ma. Les plus importants sont, sans doute, ceux de l'Afrique de l'Ouest. Ils se disposent dans les zones pr […] Lire la suite
BOSE-EINSTEIN CONDENSATION DE
Dans le chapitre « La recherche de la condensation de Bose-Einstein » : […] Plusieurs équipes scientifiques avaient entrepris une recherche de longue haleine pour mettre en évidence cette condensation dans des conditions proches de celles d'un gaz parfait. Pionniers dans cette véritable quête du Graal, Dan Kleppner et ses collaborateurs au M.I.T. avaient choisi l'hydrogène comme particule à condenser. En effet, les atomes d'hydrogène soigneusement préparés, avec leurs sp […] Lire la suite
CÉSIUM
Le césium est l'élément chimique de numéro atomique 55 et de symbole Cs ; il a été identifié pour la première fois en 1860 par Kirchhoff et Bunsen par analyse spectrale ; deux raies bleues à 456 et 459,7 nm sont à l'origine de son nom ( caesium : bleu du ciel). C'est un métal jaune pâle très facilement fusible. Si l'on excepte le francium, élément 87 qui ne possède pas d'isotope stable, le cési […] Lire la suite
FRANCIUM
De France Symbole chimique : Fr Numéro atomique : 87. Dernier représentant des métaux alcalins dont la case dans le tableau périodique resta vacante jusqu'à 1939, quand Marguerite Perrey (Institut Curie à Paris) en découvrit un isotope radioactif (francium 223) en étudiant les désintégrations successives de l'actinium : l'isotope 227 se désintègre par émission bêta en thorium 227, qui est un émett […] Lire la suite
GRANITES ET RHYOLITES
Dans le chapitre « Granites anorogéniques » : […] Les granites anorogéniques apparaissent dans des sites relativement stables, subissant essentiellement des distensions ou des coulissements. Cependant, ils sont toujours synchrones de périodes orogéniques à l'échelle du globe. Ils se situent aussi bien en milieu continental (Afrique, Europe, Groenland) qu'en milieu océanique (Islande, Kerguelen, Seychelles) et sont identiques dans les deux cas. La […] Lire la suite
HYDROGÈNE
Dans le chapitre « Hydrures ioniques ou salins » : […] Correspondant aux éléments les plus électropositifs – essentiellement les alcalins et les alcalinoterreux –, les hydrures ioniques ou salins sont caractérisés par l'ion H - . L'électrolyse en milieu sel fondu donne en effet un dégagement d'hydrogène à l'anode. La forte polarisabilité de l'ion H - due au petit nombre d'électrons présents explique les variations sensibles de rayon ionique (0,144 nm […] Lire la suite
HYDROXYDES
Composés chimiques contenant un ou plusieurs groupes d'ions hydroxyles (OH — ). Le cation est en général un ion métallique (Na, K, Mg, Ca, Al) ou un radical organique (comme le tétraméthylammonium). Les hydroxydes sont des bases plus ou moins fortes, les plus fortes étant celles des métaux alcalins (lessives), qui sont très solubles dans l'eau et très caustiques (soude caustique). L'hydroxyde de l […] Lire la suite
IONOPHORES
On nomme ionophores des substances qui perméabilisent les membranes cellulaires vis-à-vis du passage des ions. C'est le cas notamment de certains antibiotiques qui perturbent le fonctionnement des mitochondries, rendant leur membrane perméable aux ions alcalins et découplant les phosphorylations des oxydoréductions respiratoires auxquelles elles sont normalement conjuguées. Alors que les ions alca […] Lire la suite
LITHIUM
Le lithium est un métal blanc et brillant lorsqu'il est fraîchement coupé. Il a été découvert, en 1817, par Johann August Arfvedson dans un silicate d'aluminium naturel : le pétalite. Jöns Jacob Berzelius donna au nouvel élément, de numéro atomique Z = 3, le nom de lithion (du grec λ́ιθος, pierre) pour rappeler son origine minérale. C'est le plus léger de tous les éléments métalliques : sa densit […] Lire la suite
MANUSCRITS - Le patrimoine écrit
Dans le chapitre « Désacidification » : […] Devant cet état de fait catastrophique, connu dès la fin du xix e siècle, signalé et décrit scientifiquement dans les années 1940, mais évalué dans ses effets massifs seulement depuis les années 1970, les bibliothèques et archives, à l'échelle nationale, ont recherché et développé toute une gamme de traitements « de masse », par séries de documents, en vue de traiter rapidement les papiers contam […] Lire la suite
ORGANOMÉTALLIQUES COMPOSÉS
Dans le chapitre « Organo-alcalins » : […] Les dérivés sodés se préparent généralement par action du sodium sur les organomercuriques : Ces composés sont très oxydables et s'hydratent instantanément en soude et en hydrocarbure. Ils se comportent comme l'anion R - et attaquent en particulier les éthers halohydriques par un processus SN 2 : Les organolithiens résultent de l'action du métal sur un dérivé chloré : Leur réactivité est interm […] Lire la suite
POTASSIUM
Le potassium, troisième élément de ce groupe, possède les propriétés caractéristiques des métaux alcalins. Il a été découvert en 1807 par Humphry Davy lors de la réduction électrolytique de la potasse caustique fondue (KOH). Son symbole chimique K (du nom allemand Kalium ) et son nom français et anglais (potassium) dérivent de la potasse (carbonate K 2 CO 3 ). Ce constituant principal des cendres […] Lire la suite
RUBIDIUM
Élément chimique de numéro atomique 37 et de symbole Rb, le rubidium (latin rubidus , rouge foncé) doit son nom à la couleur rouge de son spectre. C'est un métal alcalin mou, d'éclat blanc argenté, découvert par voie spectroscopique par R. Bunsen (1861) et G. R. Kirchhoff dans l'eau minérale de Dürkheimer. De masse atomique 85,47, il a une température de fusion de 38,9 0 C, une température d'ébul […] Lire la suite
RYDBERG JOHANNES ROBERT (1854-1919)
Physicien suédois né à Halmstad et mort à Lund. Johannes R. Rydberg effectue ses études à l'université de Lund, où il sera nommé professeur en 1901. Lauréat de mathématiques (1879), Rydberg s'oriente vers la physique et plus particulièrement vers l'étude des spectres optiques des éléments. En 1889, alors maître de conférences à Lund, examinant les raies spectrales des métaux alcalins et alcalino-t […] Lire la suite
SODIUM
Le sodium est le plus courant des éléments alcalins. Son nom dérive de l'arabe soda , qui désignait le mélange de carbonates alcalins extrait des cendres de végétaux. Le symbole Na vient de son appellation allemande Natrium , qui dérive de « natron », le carbonate de sodium naturel d'Égypte. Comme les autres alcalins, c'est un métal très réactif qui tend à perdre son électron périphérique : la pl […] Lire la suite
SPECTROSCOPIE
Dans le chapitre « Spectroscopie atomique » : […] Les spectres des atomes ont pu être compris dans le cadre de la physique atomique qui, se fondant sur la mécanique quantique, décrit les niveaux d'énergie occupés par les électrons du cortège électronique. Une raie d'émission correspond à la transition d'un électron d'un niveau vers un autre niveau de moindre énergie, l'énergie excédentaire étant évacuée par le photon émis sous forme d'énergie él […] Lire la suite
Alcalins : propriétés physiques
Quelques propriétés physiques des métaux alcalins
Crédits : Encyclopædia Universalis France
Métaux alcalins : propriétés chimiques
Comparaison des propriétés chimiques de quelques composés des métaux alcalins
Crédits : Encyclopædia Universalis France
Métaux alcalins : propriétés physiques
Propriétés physiques des métaux alcalins
Crédits : Encyclopædia Universalis France
Chlorure de césium : structure
Chaque ion a 8 plus proches voisins de signe opposé, situés à une distance égale à la moitié de la diagonale du cube
Crédits : Encyclopædia Universalis France
Chlorure de sodium : structure
Chaque ion possède 6 plus proches voisins, de signe opposé, situés à une distance égale à la moitié de l'arête du cube
Crédits : Encyclopædia Universalis France