ATCHO ALBERT (1903- )
CULPABILITÉ
Dans le chapitre « La logique persécutive » : […] Les anthropologues ont souvent fait remarquer que, dans beaucoup de sociétés dites primitives, notamment en Afrique, le malheur ne pouvait être conçu que comme l'effet d'une agression venue du dehors (d'un sorcier, d'un rival, d'une co-épouse, d'un esprit maléfique...). Le recours non seulement habituel mais aussi parfaitement « normal » – au point que c'est la représentation contraire qui serait […] […] Lire la suite
SORCELLERIE
Dans le chapitre « De nouvelles formes de protection » : […] Il est difficile de savoir comment étaient traités les individus jugés coupables de sorcellerie au temps où les autorités tribales ne subissaient aucune contrainte externe. Les épreuves sévères auxquelles ils étaient soumis ont été partout abolies par les puissances coloniales. Le procédé le plus souvent décrit est l'épreuve du poison, qui consiste à boire une médecine qu'un innocent est censé vom […] […] Lire la suite