Tribute

"tribute" dans l'encyclopédie

• TRIBUT, Russie

  • Écrit par Wladimir VODOFF
  • 912 mots

  À la fin du xive siècle, le montant de ce tribut était d'environ 5 000 roubles pour la seule grande-principauté de Moscou-Vladimir, soit, selon la valeur que l'on donne au rouble de cette époque, de quatre cent cinquante à neuf cents kilos d'argent. Ce tribut fut payé irrégulièrement à la Horde, jusqu'en 1480. Après cette date, les princes de Moscou verseront encore des « dons » aux khāns de Kazan' et de Crimée jusqu'au xvie siècle.

• COMICES TRIBUTES

  • Écrit par Jean-Pierre MARTIN
  • 1 602 mots

  En ~ 494, les plébéiens, en lutte contre les patriciens, créent le concilium plebis qui devait voter les mesures applicables à eux seuls (les plébiscites). Lorsque ces plébiscites reçoivent valeur légale pour l'ensemble de la population romaine (au milieu du ~ ve siècle, puis en ~ 287), le concilium se transforme en comices tributes et les patriciens s'y rendent régulièrement.

• DOOLITTLE HILDA, dite H. D. (1886-1961)

  • Écrit par Universalis
  • 3 687 mots

  Une grande partie de son œuvre est autobiographique, comme Tribute to Freud (1956, Visage de Freud), Bid Me to Live (1960, Dis-moi de vivre), ainsi que deux livres publiés à titre posthume : End to Torment, a memoir of Ezra Pound (1979, La Fin du tourment) et Hermione (1981), un Bildungsroman semi-autobiographique ou plus précisément un Künstlerroman (portrait de l'évolution de l'artiste).

• WAILER BUNNY (1947-2021)

  • Écrit par Patrick LABESSE
  • 4 552 mots
  • 1 média

  Si les albums de Bunny Wailer rencontrent un succès public moindre que ceux de Peter Tosh et Bob Marley, Time Will Tell: a Tribute to Bob Marley (1990) et Hall of Fame: a Tribute to Bob Marley's 50th Anniversary (1995) sont néanmoins l’un et l’autre gratifiés d’un Grammy Award aux États-Unis. Au cours des années 2000, Bunny Wailer continue de se produire sur scène avec son groupe.

• BYAS DON (1912-1972)

  • Écrit par Universalis
  • 1 627 mots

  Comme en témoigne l'album A Tribute to Cannonball, avec Bud Powell (1961), Don Byas conservera son énergie créatrice et son goût pour le swing jusqu'à la fin de sa carrière. Don Byas meurt le 24 août 1972 à Amsterdam, aux Pays-Bas.