Risée
- Nom féminin singulier
Définition
- moquerie collective, éclat de rire général
- en termes de marine, brise subite, rafale de vent
"risée" dans l'encyclopédie
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STEVENS RISË (1913-2013)
- Écrit par Karen SPARKS, Universalis
- 3 257 mots
- 1 média
Risë Stevens meurt le 20 mars 2013, à New York.
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ANVARĪ AVḤAD AL-DĪN MUḤAMMAD (1125?-1189 ou 1191)
- Écrit par Michèle ÉPINETTE
- 991 mots
Sa passion pour l'astrologie, son intérêt pour l'œuvre d'Avicenne seront à l'origine de sa disgrâce : ayant prédit pour un certain jour un ouragan qui n'arrive pas, il est la risée de tous. Il quitte Merv pour Nishāpūr, puis Balkh, où il mourra quelques années plus tard. Objet d'admiration, principalement pour ses qasidas, Anvarī est également l'auteur de ghazals délicats et charmants.
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SUCKLING JOHN (1609-1642)
- Écrit par Universalis
- 1 512 mots
Les costumes magnifiques et tapageurs de ses soldats ainsi que leur piteux comportement sur le champ de bataille devinrent la risée de ses contemporains. En 1641, Suckling participa activement au complot ourdi pour tirer le comte de Strafford de la Tour de Londres. Le complot découvert, Suckling s'enfuit en France où, pense-t-on, il mit fin à ses jours.
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JULIO-CLAUDIENNE DYNASTIE
- Écrit par Universalis
- 2 377 mots
Malgré son handicap (il est bègue), qui en fait la risée de ses contemporains, ce dernier possède de nombreuses qualités de dirigeant. Son règne, durant lequel il poursuit les politiques définies par Auguste, marquera ainsi l'Empire à jamais. Il absorbe en effet les États-clients, conquiert le sud de l'Angleterre, relance activement la romanisation de l'Occident, réalise de grands travaux à Rome et en Italie et accélère fortement l'organisation de la bureaucratie impériale.
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VALLOTTON FÉLIX (1865-1925)
- Écrit par Marina DUCREY
- 5 914 mots
- 5 médias
Sa troisième apparition au Salon des indépendants, en 1893, a révélé un peintre nouveau, nourri des trouvailles du graveur, bien que les audaces de son Bain au soir d’été (Kunsthaus de Zurich) aient provoqué la risée. À partir de ce moment, un dialogue thématique et stylistique s’est instauré entre gravures et tableaux. Il trouvera son expression la plus accomplie avec le thème de la duplicité des relations amoureuses dans la suite de xylographies Intimités (1897-1898) et dans une série d’intérieurs (1898-1899).