Interarmes
- Adjectif invariant en genre et en nombre
Définition
- relatif aux rapports entre plusieurs corps d'armes
"interarmes" dans l'encyclopédie
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NGOUABI MARIEN (1938-1977)
- Écrit par Brigitte NOUAILLE-DEGORCE
- 3 487 mots
Sous-officier dans l'armée française, élève de l'École militaire interarmes de Coëtquidan, le lieutenant Ngouabi est nommé en 1963 commandant de la place de Pointe-Noire, puis chargé de la formation du premier bataillon de commandos parachutistes de Brazzaville. En 1966, membre du comité central du Mouvement national de la révolution sous le régime du président Massamba-Debat, il représente le groupe nordiste de l'armée.
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ZIA UL HAQ MOHAMMED (1924-1988)
- Écrit par Gilbert ÉTIENNE
- 4 112 mots
- 1 média
En 1976, il accède au sommet de la hiérarchie en devenant chef de l'état-major interarmes. Les mauvaises langues murmurent alors que le Premier ministre Bhutto, prompt à prendre ombrage des trop fortes personnalités, a choisi le général le plus effacé. Là-dessus en 1977, à la suite d'élections truquées, le Pakistan entre en ébullition, divers partis réclament le départ de Bhutto.
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BRADLEY OMAR (1893-1981)
- Écrit par Marie-France TOINET
- 4 280 mots
Général à cinq étoiles (l'équivalent de maréchal en France), il terminera sa carrière comme chef d'état-major interarmes.
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TRAORÉ MOUSSA (1936-2020)
- Écrit par Denia CHEBLI
- 5 919 mots
Il devient ensuite instructeur à l’École militaire interarmes de Kati. Entre autoritarisme politique et libéralisme économique Le 19 novembre 1968, Moussa Traoré participe, avec des officiers subalternes, au coup d’État qui renverse le président socialiste et « père de l’indépendance » Modibo Keita. Bientôt président du Comité militaire de libération nationale, Traoré se proclame ensuite président de la République malienne le 19 septembre 1969.
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FUMAROLI MARC (1932-2020)
- Écrit par Jean-François LABIE, Universalis
- 7 919 mots
- 1 média
Il fait son service militaire à l’École militaire interarmes de Coëtquidan (Morbihan) puis à Colbert (aujourd’hui Aïn Oulmene), en Algérie, entre septembre 1958 et janvier 1961. Par la suite, sa carrière universitaire sera un modèle de régularité. L'université d'Aix-en-Provence et la Sorbonne le conduisent à l'agrégation de lettres classiques puis au doctorat ès lettres.