Insuccès
- Nom masculin invariant en nombre
Définition
- échec
"insuccès" dans l'encyclopédie
-
GIBB MAURICE (1949-2003)
- Écrit par Universalis
- 878 mots
La même veine disco inspirera la suite, Stayin' Alive (Sylvester Stallone, 1983), après l'insuccès de Sgt. Pepper's Lonely Hearts Club Band (Michael Schultz, 1978), où les trois frères se retrouvent à l'écran.
-
DELAY FLORENCE (1941- )
- Écrit par Véronique HOTTE
- 4 248 mots
À partir de 1973, alternant romans et essais, elle publie, entre autres, L'Insuccès de la fête (1980), Riche et légère (prix Femina 1983) Course d'amour pendant le deuil (1986) et Dit Nerval (grand prix du roman de la Ville de Paris et prix de l'essai de l'Académie française 1999). Le théâtre, à travers l'Espagne et la traduction, est également très présent dans l'œuvre de Florence Delay.
-
BERWALD FRANZ (1796-1868)
- Écrit par Pierre-Paul LACAS
- 1 465 mots
Après ses insuccès à Berlin (Théâtre lyrique), il termine à Vienne sa deuxième symphonie, dite Sérieuse (1841) ; en 1842, il revient en Suède où il écrit notamment la Sinfonie singulière (la cinquième, publiée en 1845, ainsi que la sixième en mi bémol majeur). À la suite d'un nouveau voyage (Paris, Vienne, Salzbourg), il partage son temps entre la direction d'une verrerie et la composition.
-
SÉVERIN FERNAND (1867-1931)
- Écrit par Antoine COMPAGNON
- 1 953 mots
Tourmenté par des inquiétudes religieuses, il chante son accord avec la nature dans La Solitude heureuse, mais il semble qu'il supporte de plus en plus mal sa mélancolie ; il souffre aussi de son insuccès. Nommé à la chaire d'histoire de la littérature de l'université de Gand en 1907, puis à celle de philologie romane, il remanie ses œuvres sans en être satisfait et s'installe pour finir dans un secret profond.
-
BOYCE WILLIAM (1710 env.-1779)
- Écrit par Nicole LACHARTRE
- 2 292 mots
Malgré un relatif insuccès à sa parution, cette collection prend rapidement une importance extrême en déterminant le répertoire des chorales de l'Église anglicane ; jusque-là, la musique d'église était diffusée sous forme de manuscrits, la publication antérieure de Barnard, Church Music (1641), ayant pratiquement disparu lors de la Restauration. Les commodités offertes par une édition d'un prix abordable étaient telles que les œuvres sélectionnées et éditées par Boyce formèrent peu à peu une sorte de canon standardisé de la musique de l'Église anglicane pour près d'un siècle et demi.