Inondation
- Nom féminin singulier
Définition
- submersion des terrains par l'eau d'une rivière qui déborde
- submersion d'un local par de l'eau
- (figuré) familièrement, grande quantité ou multitude
"inondation" dans l'encyclopédie
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INONDATIONS
- Écrit par Yves GAUTIER
- 23 443 mots
- 6 médias
Ce type d'inondation, le plus fréquent, n'est pas soudain et les habitants des régions concernées peuvent observer la montée des eaux jusqu'à ce qu'ils soient contraints de quitter les lieux. Plusieurs facteurs, autres que climatiques, peuvent prédisposer un fleuve à quitter son cours naturel. Un faible ou, à l'inverse, un fort dénivelé du tracé accentue le risque d'inondation.
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INONDATIONS EN FRANCE
- Écrit par Jean-Pierre CHALON
- 7 533 mots
- 2 médias
Mais une comparaison des dégâts ou des niveaux d’inondation n’est pas en mesure d’apporter une réponse fiable lorsqu’on sait que ces données dépendent plus de l’aménagement du territoire (déboisements, reboisements, canalisation des cours d’eau, construction de barrages, de routes, changement d’affectation des sols ou des pratiques agricoles…) et des mesures de prévention que des facteurs climatiques.
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BASTET
- Écrit par Florence GOMBERT
- 809 mots
À Bubastis, elle préside à l’inondation. Son culte est particulièrement développé à la Basse Époque (1085-333 av. J.-C.) et à l’époque gréco-romaine en même temps que celui des animaux momifiés qui lui sont consacrés.
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PLATA RÍO DE LA
- Écrit par Romain GAIGNARD
- 2 135 mots
Celui-ci n'offre que peu d'attrait pour les deux capitales qui le bordent ; ses eaux jaunâtres et chargées n'incitent ni à la contemplation ni à la baignade, et elles sont parfois redoutables sur la rive argentine : un violent coup de vent du sud-est conjugué avec une forte marée peut refouler une vague d'inondation qui noie les atterrissements du pied de la barranca du río Paraná et les bas-fonds qui entourent la capitale fédérale, provoquant de véritables catastrophes ; ainsi, le 28 juillet 1958, l'onde d'inondation a atteint trois à quatre mètres.
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CHARI-LOGONE
- Écrit par Marie-Christine AUBIN
- 2 910 mots
Il est formé d'une série de petites rivières : le Bamingui (où se trouve sa véritable source), le Gribingui, l'Ouham, ou Bạhr Sara, qui apporte le plus d'eau au Chari, le Bạhr Aouk, le Bạhr Kéita, le Bạhr Salamat, qui rejoignent le Chari à Sarh (ex-Fort-Archambault) ; leurs eaux se mélangent dans une grande plaine d'inondation. Après les rapides Gay, près de Niellim, le Chari est un fleuve puissant, aux eaux lentes.