Inféro
- Interjection
Définition
- préfixe référant à une partie située plus bas
"inféro" dans l'encyclopédie
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IMAGE MENTALE
- Écrit par Grégoire BORST
- 5 384 mots
- 1 média
Ces recherches en neuro-imagerie démontrent, ainsi, que la même zone du cortex inféro-temporal qui répond spécifiquement à la présentation visuelle des visages s’active de manière similaire quand les participants voient un visage et quand ils visualisent ce visage. De même, les aires motrices et notamment le cortex moteur primaire s’activent non seulement quand nous effectuons un mouvement, mais aussi quand nous imaginons ce mouvement.
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CERVEAU ET LANGAGE ORAL
- Écrit par Jean-François DÉMONET
- 15 774 mots
- 5 médias
Chez une majorité d’individus, le cortex temporal postérieur et supérieur (appelé planum temporale) et le cortex frontal inféro-postérieur sont de surface plus grande dans l’hémisphère gauche que dans le droit. Cette asymétrie est interprétée comme facilitant le traitement du langage oral par l’hémisphère gauche. Cependant, la latéralisation à l’hémisphère gauche des processus de perception auditive de la parole pose question.
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VISION Perception visuelle et conscience
- Écrit par Sylvie CHOKRON, Christian MARENDAZ
- 25 007 mots
- 3 médias
Les premières recherches ont particulièrement insisté sur les aires du cortex inféro-temporal, reconnues pour être fortement impliquées dans la reconnaissance visuelle. Mais il s'est rapidement avéré que, comme nous l'avons vu plus haut concernant les troubles neuropsychologiques de la conscience visuelle, non seulement le cortex inféro-temporal mais également le cortex pariétal, les aires pré-frontales et frontales et probablement certaines structures sous-corticales étaient impliquées dans la conscience de la perception (Rees, 2001).
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LIMBIQUE SYSTÈME
- Écrit par Pierre KARLI
- 24 209 mots
- 1 média
Le déficit induit par la section des connexions entre le cortex visuel et le lobe temporal est également observé à la suite d'une destruction bilatérale du cortex inféro-temporal ou encore du pôle temporal et de l'amygdale : le singe opéré est incapable de reconnaître le signal positif, c'est-à-dire celui qu'il avait précédemment appris à associer avec l'obtention d'une récompense.