Count
Définition
- dans l'expression anglaise " count down", compte à rebours
"count" dans l'encyclopédie
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Jumpin' at the woodside, BASIE ("Count")
- Écrit par Eugène LLEDO
- 2 088 mots
La parfaite imbrication des sections, fruit d'un long travail d'ensemble et du talent du chef d'orchestre Count Basie, permet au swing d'habiter cette musique comme un balancement vital incitant à la danse.
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BASIE WILLIAM dit COUNT (1904-1984)
- Écrit par Pierre BRETON
- 10 284 mots
- 1 média
Comme la petite tache rouge que Corot glissait au coin de ses toiles, Count Basie se cantonne dans un rôle modeste et essentiel : la mise en valeur d'une palette orchestrale d'une prodigieuse richesse. À la gloire du soliste, il préfère la profonde satisfaction du travail bien fait. Avec une percussion cristalline et une inspiration d'une savoureuse fraîcheur, Count Basie appose son immuable signature pour l'éternité.
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FOSTER FRANK (1928-2011)
- Écrit par John LITWEILER, Universalis
- 2 834 mots
Il accomplit son service militaire (1951-1953) avant de rejoindre en juillet 1953 l'orchestre de Count Basie. L'élégance épurée teintée de blues de ses arrangements, ses voicings caractéristiques mêlant flûtes, clarinettes et cuivres bouchés marquent d'une trace indélébile de nombreux albums du Count, comme Count Basie Swings, Joe Williams Sings (1955) ou April in Paris (1956), grâce auxquels Basie renoue avec le succès.
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PAGE WALTER (1900-1957)
- Écrit par Universalis
- 2 914 mots
De cette période, on retiendra, comme sideman de Count Basie, les disques Swinging at the Daisy Chain (1937), One o'Clock Jump (1937), Jumpin' at the Woodside (1938), Pagin' the Devil (avec les Kansas City Six issus de l'orchestre de Count Basie), Dickie's Dream, Lester Leaps In (1939). Walter Page collabore de nouveau avec Count Basie de 1946 à 1948, avant de se lancer dans une carrière indépendante.
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CLAYTON BUCK (1911-1991)
- Écrit par Universalis
- 3 041 mots
À son retour aux États-Unis, en 1936, il rejoint le grand orchestre de Count Basie, où il occupe la place de Hot Lips Page. Il demeure avec cette prestigieuse phalange jusqu'en 1943, période de gloire du Count, et enregistre des albums célébrissimes avec Billie Holiday, Teddy Wilson et Lester Young. À ses débuts, Buck Clayton tire son inspiration principalement de Louis Armstrong, mais il abandonne rapidement le côté dramatique du jeu de son maître pour se concentrer sur la mélodie.