Corral
- Nom masculin singulier
Définition
- enclos pour le bétail, spécialement pour les taureaux
- exploitation agricole comportant un enclos pour le bétail
"corral" dans l'encyclopédie
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PAQUERA DE JEREZ (1934-2004)
- Écrit par Universalis
- 976 mots
En 1957, elle débute au tablao (cabaret) madrilène El Corral de la Morería. Avec Félix de Utrera et Pepín Cabrales, en 1959, elle triomphe partout en Espagne, avec son spectacle Así se canta en Jerez. Entre ses séjours dans les tablaos, elle tourne constamment dans tout le pays et porte le chant de Jerez en Europe, à Paris en particulier. Avec une discographie étendue et tous les prix possibles, l'artiste reste étonnante par son originalité et sa capacité d'improvisation dans un art dit fermé.
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HOPPER DENNIS (1936-2010)
- Écrit par Christian VIVIANI
- 4 479 mots
- 1 média
Dans cet emploi, Hopper ne faisait que donner de l'ampleur aux nombreuses figures de malfrats et de petites frappes qu'il interpréta en début de carrière, notamment dans des westerns (Règlements de comptes à OK Corral [Gunfight at the OK Corral], John Sturges, 1957 ; La Fureur des hommes [From Hell to Texas], Henry Hathaway, 1958 ; et cela jusqu'à Luke la main froide [Cool Hand Luke], Stuart Rosenberg, 1967 ; 100 Dollars pour un shérif [True Grit], H.
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EASY RIDER, film de Dennis Hopper
- Écrit par Kristian FEIGELSON
- 5 036 mots
- 1 média
Corral (Gunfight at the O.K. Corral, 1957) de John Sturges qui le font connaître du grand public, le jeune comédien tient tête à Henry Hathaway sur le plateau de La Fureur des hommes (From Hell to Texas, 1958), ce qui lui vaut d'être écarté des studios d'Hollywood. En 1969, un temps reconverti dans la peinture et la photographie (il entreprend une importante collection d'œuvres pop art), il décide de réaliser un road movie, indépendamment d'Hollywood, avec Peter Fonda qui lui donne la réplique, mais occupe aussi les fonctions de producteur et de coscénariste.
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DOUGLAS KIRK (1916-2020)
- Écrit par Alain GAREL
- 4 808 mots
- 4 médias
Mais aussi par celle des personnages qu’il interprète et qui lui inspirent d’admirables performances : le journaliste cynique de Ace in the Hole (Le Gouffre aux chimères) de Billy Wilder (1951), le joueur tuberculeux de Gunfight at the OK Corral (Règlement de comptes à OK Corral) de John Sturges (1957), le guerrier jouisseur de The Vikings (Les Vikings) de Richard Fleischer (1958), le gladiateur révolté de Spartacus de Stanley Kubrick (1960), le cavalier solitaire de Lonely are the Brave (Seuls sont les indomptés) de David Miller (1962) et, surtout, le peintre à la marge de la folie de Lust for Life (La Vie passionnée de Vincent Van Gogh) de Vincente Minnelli (1956).
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JUNI JUAN DE (1506 env.-1571)
- Écrit par Marcel DURLIAT
- 2 378 mots
Toujours dans cette ville, mais dans l'église de Santa María, on trouvera l'un de ses plus beaux retables, celui de l'extraordinaire chapelle des Benavente, couverte des stucs de Jerónimo Corral. L'Immaculée Conception et la Rencontre de sainte Anne et de saint Joachim, les plus beaux morceaux du retable, annoncent déjà l'art d'un Juan Martínez Montañés.