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Contrôleur

  • Nom masculin singulier

Définition

Employé comme adjectif

  1. celui qui contrôle, qui vérifie, qui surveille

Employé comme nom

  1. appareil de réglage

"contrôleur" dans l'encyclopédie

  • GAUDIN MARTIN MICHEL CHARLES, duc de Gaète (1756-1841)

    • Écrit par Jean TULARD
    • 1 861 mots

    Comme contrôleur général, toutes les ordonnances de l'Empire lui passaient sous les yeux. »

  • INTERMEZZO, Jean Giraudoux Fiche de lecture

    • Écrit par David LESCOT
    • 4 182 mots

    Celle-ci devra cette fois choisir entre sa passion des morts et la cour que lui fait le Contrôleur des poids et mesures, qui s'acharne à la gagner aux valeurs terrestres, tandis que le spectre l'attire vers le monde des morts. Un « chœur provincial » orchestré par le Droguiste achève de ramener Isabelle à la vie, avant que le déroulement commun des événements ne reprenne son cours.

  • LASSURANCE LES

    • Écrit par Daniel RABREAU
    • 2 593 mots

    Membre de l'Académie (1699), architecte du roi et contrôleur de ses bâtiments, Lassurance semble avoir été très tôt honoré d'un crédit qui en fit l'émule de Robert de Cotte ou de Germain Boffrand. Après avoir débuté dans la direction des travaux entrepris par l'agence du premier architecte au château de Clagny et aux Invalides, Lassurance construit son premier hôtel parisien en 1700 (hôtel de Rothelin, rue de Grenelle).

  • DESGODETS ou DESGODETZ ANTOINE (1653-1728)

    • Écrit par Christopher Drew ARMSTRONG
    • 5 736 mots

    En 1685, Desgodets est nommé contrôleur de Chambord et, en 1694, il accède au poste prestigieux de contrôleur des Bâtiments du Roi à Paris. En 1694, il obtient l'autorisation royale d'assister aux conférences de l'Académie d'architecture, devenant membre de cette institution en 1698. Mais un terme fut mis à sa carrière après la découverte d'irrégularités dans la comptabilité de l'administration des Bâtiments du Roi.

  • CHEVALIER ÉTIENNE (1410-1474)

    • Écrit par Jean FAVIER
    • 960 mots

    Issu d'une famille d'officiers dont la fortune était déjà faite, Étienne Chevalier fut d'abord au service du connétable de Richemont, puis du roi Charles VII, qui le nomma secrétaire en 1442, contrôleur général des aides en 1445, maître des comptes en 1449 et trésorier de France en 1452. L'un des principaux conseillers du roi, il fut choisi par celui-ci, de même que par Agnès Sorel, comme exécuteur testamentaire.

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