Combustibilité
- Nom féminin singulier
Définition
- qualité des corps combustibles, pouvant se consumer
"combustibilité" dans l'encyclopédie
-
PHLOGISTIQUE
- Écrit par Georges KAYAS
- 4 175 mots
En effet, le phlogistique, agent universel de la combustibilité et des principales propriétés chimiques et même physiques des corps, rendait compte de l'ensemble des connaissances chimiques. Ce principe s'apparentait aux autres agents impondérables qu'étaient la lumière, le magnétisme, l'électricité. Il n'était en contradiction avec aucune des grandes métaphysiques de la matière : les cartésiens retrouvaient les effets du mouvement et la forme des substances à la base des propriétés chimiques ou physiques des corps ; les atomistes retrouvaient les particules et les newtoniens la notion d'affinité.
-
GAZ ANALYSE DES
- Écrit par Henri GUÉRIN
- 35 967 mots
- 9 médias
En outre, ses caractères organoleptiques (couleur, odeur déterminée avec précaution sur une bulle) et certaines propriétés aisées à déterminer (inflammabilité spontanée à l'air, combustibilité, comportement sous l'action de la chaleur, de l'eau et de la potasse) permettront en général de le classer dans un groupe à l'intérieur duquel on parviendra à l'identifier facilement, grâce à des réactions spécifiques.
-
TABAC
- Écrit par Olivier JUILLIARD, Universalis
- 42 732 mots
- 3 médias
Étapes de la production Culture Le tabac cultivé compte un grand nombre de variétés, très différentes les unes des autres par le goût, l'arôme, la combustibilité, la structure ou l'aspect. Ces variations déterminent des « crus » que l'on sélectionne et que l'on mélange de façon à obtenir pour un usage déterminé un produit homogène et constant. La graine de tabac a besoin d'humidité : elle s'imbibe d'eau et gonfle jusqu'à un seuil de saturation à partir duquel des échanges compliqués s'établissent avec le milieu environnant.
-
CHIMIE Histoire
- Écrit par Élisabeth GORDON, Jacques GUILLERME, Raymond MAUREL
- 61 520 mots
- 7 médias
Mais au xvie siècle, on vit aussi Paracelse attribuer les pouvoirs réactifs de la matière au « mercure », au « soufre » et au « sel », c'est-à-dire à trois principes d'action qui sont en acte dans d'innombrables substances, mais qu'exhibent plus particulièrement trois corps : le mercure est le principe de la dissolution manifeste dans le vif-argent ; de même que le principe de combustibilité, le soufre philosophique, se rencontre métonymiquement dans le soufre commun.