Cabotage

"cabotage" dans l'encyclopédie

• POTERIES DISTRICT DES, Royaume-Uni

  • Écrit par Claude MOINDROT
  • 1 285 mots

  Le kaolin servant à la fabrication de la porcelaine de luxe (services à thé) arrive par cabotage de Cornouailles-Devon jusqu'aux ports de la Mersey et est ensuite acheminé par péniches ou camions jusqu'aux usines. Le district compte de nombreuses firmes de céramique, dont certaines remontent au xviiie siècle et ont une réputation internationale (Wedgwood, par exemple) ; leur main-d'œuvre est en majorité féminine.

• KERKENA ou KERKENNA ÎLES

  • Écrit par Roger COQUE
  • 1 147 mots
  • 1 média

  Jadis, le cabotage, pratiqué avec des barques à fond plat et à voile carrée (loudes), leur fournissait quelques ressources accessoires. La population, dense, se groupe dans de gros villages compacts. L'émigration, temporaire ou définitive, vers Sfax ou Tunis, à la recherche de petits emplois ou de modestes fonctions publiques s'est ralentie du fait de l'accroissement du tourisme.

• EXPÉDITIONS PORTUGAISES EN AFRIQUE

  • Écrit par Pascal BURESI
  • 1 231 mots
  • 1 média

  Cette esquisse de navigation hauturière à la voile, qui prend le nom de volta, rompt avec la tradition du cabotage. Cette avancée ouvre une porte sur le monde de l'Afrique noire avec, dès 1444, le passage du cap Vert et l'arrivée à l'embouchure du Sénégal.

• SOUTHAMPTON

  • Écrit par Claude MOINDROT
  • 1 456 mots
  • 1 média

  Il possède le deuxième plus grand terminal de conteneurs du Royaume-Uni ; il a un gros trafic pétrolier (importation de brut pour la raffinerie de Fawley, la plus importante des îles Britanniques, et cabotage de produits raffinés). Autour de la raffinerie s'est constitué un complexe pétrochimique (caoutchouc synthétique, semi-produits pour la fabrication des plastiques).

• GABÈS

  • Écrit par Roger COQUE
  • 1 457 mots
  • 1 média

  Jadis point d'aboutissement d'un trafic caravanier transsaharien, Gabès a connu une certaine prospérité, mais les ressources du cabotage n'ont guère résisté à la concurrence de la voie ferrée et, surtout, de la route. Sous le protectorat français, la ville a dû une bonne partie de son activité à son rôle de principale place militaire du Sud tunisien, complété par celui de marché régional et de petit port de pêche.