Ascensionnel
- Adjectif masculin singulier
Définition
- en aviation, tendant à monter ou à faire s'élever
"ascensionnel" dans l'encyclopédie
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ISAÏE ASCENSION D'
- Écrit par Universalis
- 2 062 mots
Le troisième ouvrage, appelé « L'Ascension (ou la Vision) d'Isaïe », fut également écrit par un auteur chrétien au début du iie siècle ; il contient une description des sept degrés du ciel, parallèle à celles du Second Livre d'Énoch et du Nouveau Testament. Les deux parties chrétiennes de ce livre sont des apocalypses, bien qu'elles rapportent certains détails historiques concernant l'Église de la fin du ier siècle qui concordent avec les descriptions que l'on trouve dans la IIe Épître de Pierre, la IIe Épître de Paul à Timothée et dans les lettres de Clément de Rome.
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ASCENSION DE JÉSUS
- Écrit par Universalis
- 4 818 mots
Cette version de l'Ascension est particulièrement fréquente dans la décoration des églises romanes françaises.
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ASCENSION DE CONSTANTIN (repères chronologiques)
- Écrit par Xavier LAPRAY
- 1 060 mots
305 Abdication de Dioclétien, fondateur de la tétrarchie. 306 Constantin acclamé César en Bretagne ; Maxence prend le titre de princeps à Rome. 307 Maxence bat Sévère envoyé pour le combattre. 308 Tentative de remise en ordre de Galère : Constantin confirmé comme César ; Maxence déclaré usurpateur ; Licinius, nouvel Auguste. 310 Constantin bat Maximien tandis que l'armée de Maxence défait l'usurpateur d'Afrique, Domitius Alexander.
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TIMOTHÉOS (1re moitié IVe s. av. J.-C.)
- Écrit par Bernard HOLTZMANN
- 1 858 mots
155, Athènes) renouvelle le motif de la Victoire, en lui donnant un mouvement ascensionnel : au lieu d'atterrir, elle prend son vol dans un grand remous d'étoffe que le vent commence à gonfler. La torsion du corps sous le vêtement qui le révèle, l'épaisseur mouvementée du manteau témoignent d'un lyrisme emphatique qu'on s'efforce de retrouver sur certaines plaques de la frise du Mausolée d'Halicarnasse, puisque Timothéos serait, vers ~ 350, le créateur du côté sud de cette frise, selon Pline (XXXVI, 31).
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ESSENCE, philosophie
- Écrit par Françoise ARMENGAUD
- 2 712 mots
Nous allons au réel armés de nos concepts, nous n'approchons pas les essences, ni dans un cheminement ascensionnel et ascétique, ni dans un dévoilement, aussi originaire soit-il. La quête de l'essence demeure présente cependant dans la phénoménologie. La « réduction eidétique » husserlienne substitue la considération des essences des choses à leur expérience.