Arénaria
- Nom féminin singulier
Définition
- en botanique, plante de la famille des caryophyllacées
"arénaria" dans l'encyclopédie
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LANDES
- Écrit par Marie-Christine AUBIN
- 5 753 mots
L'actuel paysage forestier date du xixe siècle ; il succède à un paysage de landes sur sols mal drainés et de forêts de feuillus, trouées de clairières de culture sur sols drainés naturellement ; à la fin du xviiie siècle, des pins maritimes avaient été plantés sur les dunes maritimes, et au début du xixe siècle Nicolas Brémontier a généralisé la plantation de gourbet (Ammophila arenaria) sur les dunes, suivie d'un semis de pins ; 700 000 hectares restaient incultes ; la grande action a commencé après 1857, dirigée par Jules Chambrelent, qui a fait creuser des canaux de drainage profonds de 50 centimètres, défoncer l'alios, planter une forêt de pins couvrant 780 000 hectares, et des chênes, le tout s'étendant sur 843 000 hectares.
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CARYOPHYLLACÉES
- Écrit par Jacques MIÈGE
- 11 778 mots
Principaux genres : Arenaria (sabline), Stellaria (stellaire), Cerastium (céraiste)... – Silenoïdées aux feuilles sans stipules, aux sépales soudés et pétales souvent ligulés : Silene, Lychnis, Agrostemma, Dianthus... – Paronychioïdées aux feuilles stipulées, aux sépales libres ou faiblement concrescents. Corolle présente, fleurs hypogynes, capsule : Spergula, Spergularia, Polycarpon ou corolle absente, fleur périgyne, akène : Paronychia, Herniaria, Corrigiola.
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GOBI DÉSERT DE
- Écrit par Guy S. ALITTO, Mikhail Platonovich PETROV
- 11 713 mots
- 1 média
Les étendues sableuses sont couvertes d'arbustes (Haloxylon ammodendron), d'armoises (Artemisia arenaria) et de quelques herbacées annuelles (Agriophylum gobicum) ou vivaces (Timouria villosa). Dans les zones semi-désertiques, la végétation, plus variée, est composée d'armoises et d'herbacées, annuelles (Agriophylum gobicum) ou vivaces (Stipa glareosa, Timouria villosa, Cleistogenes).
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HALOPHYTES
- Écrit par Paul BINET
- 14 673 mots
Ainsi, dans les régions tempérées, en allant de la limite des marées hautes de morte-eau à celle des hautes mers d'équinoxe, on rencontre successivement : – une population végétale ouverte, c'est-à-dire formée de touffes (salicornes ou spartine) ne couvrant pas la totalité du sol ; – un tapis continu dominé par l'obione, mais dans lequel on trouve quelques pieds de salicornes et de spartines ; – une véritable prairie salée formée par une graminée (Puccinellia maritima) accompagnée par des espèces variées dont certaines ne se trouvent que dans les points les plus humides (Triglochin maritimum) alors que d'autres (Festuca arenaria) caractérisent les endroits secs.
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NOMENCLATURE BOTANIQUE RÈGLES INTERNATIONALES DE
- Écrit par Jean-Marie PRUVOST-BEAURAIN
- 54 184 mots
- 6 médias
Tenellae ; Arenaria ser. Anomalae. L'épithète subdivisionnaire ne doit pas être formée du nom de genre précédé du préfixe Eu (ex. : « Carex sect. Eucarex » n'est pas valable) ; elle ne doit pas être identique au nom du genre, sauf si les deux noms ont le même type. Lorsque l'épithète subdivisionnaire est identique à ou dérivée de l'épithète d'une de ses espèces, le type du nom de la subdivision du genre est le même que celui du nom de l'espèce, sauf si l'auteur du nom de la subdivision a désigné un autre type (ex.