Application
- Nom féminin singulier
Définition
- fait d'appliquer sur
- mise en pratique
- attention, soin mis à réaliser un travail
- en mathématiques, opération de correspondance
- en informatique, logiciel pouvant être exécuté et assurant un ensemble de fonctions précises
"application" dans l'encyclopédie
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AFFINE APPLICATION
- Écrit par Jacques MEYER
- 1 429 mots
On dit qu'une application u de A dans B est une application linéaire affine (ou application affine) si, quelle que soit la famille finie d'éléments (Mi, λi), pour 1 ≤ i ≤ k, où k est quelconque, de A × K, possédant un barycentre G, u(G) est le barycentre des éléments (u(Mi), λi) de B × K. On démontre les résultats suivants : 1. Il existe une application linéaire f et une seule de E dans F telle que, pour tout M et tout N dans A et pour M′ = u(M) et N′ = u(N) : où f s'appelle l'application linéaire associée à u.
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INTERNET Les applications
- Écrit par Danièle DROMARD, Dominique SERET
- 27 660 mots
Une application est un programme plus ou moins complexe, installé sur l'ordinateur d'un utilisateur, en vue d'obtenir une palette de services locaux ou à travers un réseau. Une des applications les plus connues développées sur Internet est le WWW (World Wide Web, ou simplement Web), une application conviviale de consultation à distance de pages multimédias.
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PROJECTIVES APPLICATIONS
- Écrit par Jacques MEYER
- 1 987 mots
On peut donc déduire de f une application g de P(E) — P(N) dans P(F) par passage au quotient. L'application g est dite application linéaire projective ou encore, par abus de langage, application projective de P(E) dans P(F). Notons que f et λf, où λ est un scalaire non nul, donnent la même application déduite. Réciproquement, si l'on se donne une variété linéaire projective P(N) et une application projective g de P(E)—P(N) dans P(F), toutes les applications linéaires dont g est déduite s'obtiennent à partir de l'une d'entre elles par multiplication par un scalaire non nul.
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ÉLECTRICITÉ Lois et applications
- Écrit par Jean-Marie DONNINI, Lucien QUARANTA
- 26 245 mots
- 8 médias
On réalise ainsi des « circuits magnétiques » où des spires de courant (courant excitateur) créent le champ qui agit sur le matériau dont la forme a été conçue en fonction de l'application envisagée (électroaimants, machines électriques, transformateurs...). La force magnétique est à la base du fonctionnement des moteurs : les conducteurs de la partie mobile (le rotor) parcourus par des courants sont soumis à un champ magnétique, les forces de Laplace produisent le couple de rotation.
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GÉNOMIQUE Théorie et applications
- Écrit par Louis-Marie HOUDEBINE
- 22 227 mots
Avec la fin du xxe siècle, le génie génétique est entré dans sa maturité. Les techniques de base, définies dans le courant des années 1960, se sont perfectionnées, simplifiées et en partie automatisées. Les plus importantes sont : le clonage de gènes, l'amplification de gènes (PCR, pour Polymerase Chain Reaction), la détermination de la séquence des bases (nucléotides) des gènes, la synthèse chimique des fragments de gène ou de gènes entiers, la mutation des gènes isolés, la construction de gènes fonctionnels et le transfert de gènes dans des cellules, ou des organismes entiers, pour observer les effets produits ou pour exploiter les organismes modifiés de la sorte.