Appendice
- Nom masculin singulier
Définition
- partie secondaire, annexe
Expressions autour de ce mot
- appendice nasal : le nez, ironiquement
"appendice" dans l'encyclopédie
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APPENDICITE
- Écrit par Laurent CHARBIT
- 5 952 mots
Quant aux tumeurs de l'appendice, elles sont très rares : mucocèle, lymphosarcome et carcinoïde appendiculaires. Leur existence justifie cependant l'examen anatomopathologique de tout appendice enlevé.
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CODE, linguistique
- Écrit par Robert SCTRICK
- 3 074 mots
C'est pourquoi le code est souvent invoqué à l'intérieur même du message, notamment dans les énoncés tautologiques, ce qui définit la fonction métalinguistique du langage (« un batracien anoure est un batracien privé d'appendice caudal », « l'appendice caudal est... », etc.). Comme le message est avant tout destiné à véhiculer une information, il est inimaginable qu'un discours soit purement axé sur le code : il faut se rappeler du reste que chacun de ces deux concepts n'a d'existence que par rapport à l'autre, et que le code ne peut se concevoir que comme l'ensemble des conventions auxquelles se réfèrent les partenaires lors de la communication effectuée par le message.
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TROUSSEQUIN
- Écrit par Jean DELMAS
- 635 mots
Les cuirassiers ont des selles à troussequin ras, les dragons et la cavalerie légère un troussequin à appendice appelé « palette ». Au xve siècle, quand les hommes d'armes chargeaient, ils se redressaient sur leurs étriers, le séant sur la culière du troussequin.
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LA DIOPTRIQUE (R. Descartes)
- Écrit par Bernard PIRE
- 985 mots
René Descartes (1596-1650) publie à Leyde (Hollande) La Dioptrique en appendice de son Discours de la méthode pour bien conduire sa raison et chercher la vérité dans les sciences. Il y montre que sa méthode est supérieure à la façon commune. Dans les deux premiers discours, intitulés « De la lumière » et « De la réfraction », il fait l'analogie entre les rayons lumineux et les trajectoires d'une balle envoyée par un joueur de paume.
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BOLYAI JÁNOS (1802-1860)
- Écrit par Jacques MEYER
- 1 197 mots
Ses travaux furent publiés, en 1832, en appendice à un ouvrage de son père. Celui-ci informa Gauss des résultats de son fils ; dans sa réponse, Gauss approuva totalement ces recherches et ajouta qu'il en partageait les résultats depuis de nombreuses années. Déçu de ne pas être le premier mathématicien à les avoir trouvés (il apprit peu après que Lobatchevski était arrivé aux mêmes conclusions que lui), Bolyai ne publia plus aucune œuvre mathématique.