Ajonc
- Nom masculin singulier
Définition
- en botanique, arbrisseau épineux de la famille des papilionacées
"ajonc" dans l'encyclopédie
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TIGE, botanique
- Écrit par Delphine CARTIER, Didier LAVERGNE
- 14 462 mots
- 7 médias
Ainsi, des épines peuvent avoir valeur de rameaux (aubépine, Rosacées), de feuilles (ajonc, Papilionacées) ou de racines (macaranga, Euphorbiacées). Toutes ces épines ne sont qu'analogues car, si elles sont de même forme, elles sont par contre de nature différente. En revanche, des organes de même nature peuvent présenter des aspects très différents ; on parle dans ce cas d'homologies : les dards des Aubépines, les cladodes du Fragon petit-houx, les vrilles de la Vigne, le tubercule de la Pomme de terre sont tous des tiges.
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NOMS VERNACULAIRES FRANÇAIS (botanique)
- Écrit par Jean-Marie PRUVOST-BEAURAIN
- 21 358 mots
- 2 médias
Dans certains cas, ces noms de formations végétales ou de plantations ont plusieurs variantes régionales : ajonnière (ajonc ; ou jannière, janais, janvie), boulaie (bouleau ; ou bouleraie, bétulaie, boulère, bouloie...), buissaie (buis ; ou buissière, buxaie), noyeraie (noyer ; ou noiseraie, nauraye, nougeraie...), pommeraie (pommier ; ou pommière, pommelière, poumarède), subéraie (chêne-liège ; ou surrède, surède, surveraie.
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BRETAGNE
- Écrit par Jean MEYER, Jean OLLIVRO
- 36 621 mots
- 3 médias
) ou des grèves (grève rose de Trégastel, galets dans la baie d'Audierne), le tombolo de Quiberon ou le sillon de Talbert (dune naturelle de galets s'avançant dans la mer), des types variés d'encadrements granitiques autour des fenêtres, des végétations à base de landes présentant des contrastes très vifs suivant les lieu (lande bleue à grémil prostré de la presqu'île de Crozon, lande sèche à ajonc et bruyère du cap Fréhel.
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OCCITANES LANGUE ET LITTÉRATURE
- Écrit par Pierre BEC, Charles CAMPROUX, Philippe GARDY
- 40 292 mots
- 1 média
armuelle « arroche » ; afartar, hartar « rassasier » ; borrèc, borrego « agneau d'un an » ; calar, callar « se taire » ; campana, campana « cloche » ; flac, flaco « faible » ; garganta, garganta « gorge » ; laganha, lagaña « chassie » ; lairar, ladrar « aboyer » ; lenha, leña « bois de chauffage » ; pèrna, pierna « fesse, jambe » ; òrt, huerto « jardin »), ou de mots spécifiques (fonds aquitano-pyrénéen : andralh, andrajo « guenille » ; bruèissa, bruja « sorcière » ; esquèr, izquierdo « gauche » ; morre, morro « museau » ; toja, tojo « ajonc épineux »), ou encore de termes de provenance arabe inconnus de la langue d'oïl (alcavòt, alcahuete « entremetteur » ; alquitran, alquitrón « goudron » ; taüt, ataúd « cercueil »).