Acceptable
- Adjectif singulier invariant en genre
Définition
- pouvant être accepté, valable, recevable
- satisfaisant, correct, pour un travail, un résultat
"acceptable" dans l'encyclopédie
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COMPÉTENCE & PERFORMANCE, linguistique
- Écrit par Louis-Jean CALVET
- 2 136 mots
La tâche du linguiste est alors d'élaborer un modèle de la performance linguistique, ce qui suppose qu'on cerne avec suffisamment de précision la notion d'acceptabilité, qui est du domaine de la performance : qu'est-ce qui fait qu'une phrase syntaxiquement bien formée est jugée acceptable ou non acceptable par un locuteur ? Sa longueur ? Le nombre trop élevé d'enchâssements ? Les réponses sont ici encore floues, car on ne peut se contenter de critères internes à la phrase elle-même : peuvent également jouer des considérations extrinsèques, comme la nature du message (oral, écrit), son support (journal, affiche publicitaire), etc.
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DÉSINENCE
- Écrit par Nicole QUENTIN-MAURER
- 658 mots
La dénomination est à la rigueur acceptable pour le domaine indo-européen, mais pose de sérieux problèmes lorsqu'on doit analyser une langue dont les variations morphologiques sont, par exemple, infixées, ou reposent sur des alternances vocaliques.
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COPENHAGUE ÉCOLE DE
- Écrit par Bernard d' ESPAGNAT
- 4 026 mots
- 2 médias
Les réticences à l'égard de l'interprétation de l'école de Copenhague proviennent des physiciens attachés au déterminisme et, plus généralement de ceux qui considèrent comme difficilement acceptable le fait que cette conception nous interdit d'attribuer par la pensée aux particules atomiques certaines propriétés intrinsèques (position ou vitesse, etc.
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SYLLABUS, en bref
- Écrit par Jean-Urbain COMBY
- 1 082 mots
- 1 média
Cependant, la condamnation d'une erreur n'indiquant pas toujours clairement ce que serait la doctrine positivement correcte, Mgr Dupanloup, évêque d'Orléans, s'ingénia à donner un sens modéré acceptable au texte pontifical.
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PHILOPON JEAN (entre 475 et 480-apr. 565)
- Écrit par Richard GOULET
- 1 458 mots
Philopon entendait réinterpréter la tradition philosophique grecque en un sens qui fût acceptable par les chrétiens, principalement en rejetant les conceptions fortement inspirées par le paganisme du philosophe Proclus. Il concevait l'activité du Démiurge dans le Timée de Platon dans le sens chrétien d'une création temporelle du monde (De aeternitate mundi contra Proclum).